La Gloire De Mon Père

son père choisirait. Elle dû suivre son père et quitter Rome, alors Sévère s’en alla dans l’armée pour mourir avec la renommée. En Arménie, elle plut à Polyeucte, son père ravi conclut l’hyménée, par devoir, elle se soumit à cette affection. Pauline a rêvé de Sévère, elle a rêvé qu’il voulait tuer Polyeucte par vengeance car elle avait préféré ce dernier à Sévère. Le père de Pauline a contribué au meurtre, il l’a poignardé. Stratonice la rassure, affirmant que Sévère est mort et que son père chérit

par une affirmation :« En cet affront mon père est l'offensé, Et l'offenseur le père de Chimène ! » Motif de la douleur : -percé : concrétise la douleur et fait comprendre l'intensité de celle-ci au public -strophe 1 : douleur exprimée dans champ lexical « atteinte mortelle », « misérable », « malheureux », « injuste rigueur », « abattue » Les antithèses et les symétries accentuent l'effet du dilemme de Rodrigue : – Strophe 2 : « venger un père » / « perdre une maîtresse »(v. 303), «

D’abord intitulé Gloire et Malheur, ce court roman rédigé en 1829 parut en 1830 chez Mame-Delaunay et connut 4 autres éditions et autant de remaniements jusqu’à la dernière édition Furne 1842 qui fut elle même corrigée indéfiniment et qui parut sous le titre de La Maison du chat-qui-pelote [1]. I. L'HISTOIRE Monsieur Guillaume, marchand drapier de Paris, a deux filles à marier. Elles font deux mariages « bien différents ». Virginie, l'aînée, épouse le commis, successeur de son père : mariage solide

titre est : La gloire de mon père de Marcel Pagnol paru en 1957 ou il raconte sont enfance. Il as vécu dans une petite famille , avec un père professeur des écoles, sa mère et sont frère Paul. l'histoire se déroule au début des années 1900 , puis un jour pendant les grandes vacances lui, ses parents, son oncle et sa tante décident de partir en vacances et de louer une maisonnette dans un désert de garrigue. Ce livre décrit les vacances de Marcel, l'ouverture de la chasse avec sont père et sont oncle

est donc contraint de consulter l’oracle Calchas, qui lui ordonne de sacrifier sa fille, Iphigénie, afin d’apaiser la déesse Diane. Dans le chaos provoqué par les indécisions d'Agamemnon, Iphigénie se soumet aux volontés de son père. Ambition d'Agamemnon, désir de gloire d'Achille, orgueil de Clytemnestre, jalousie d'Ériphile : la pièce donne à voir des passions déchaînées qui, toutes, font d'Iphigénie leur victime. Comme chez Euripide dans Iphigénie à Aulis, le personnage le plus fort moralement

offenserait Chimène, sa promise, mais ne pas venger son père aboutirait au déshonneur. Plan : I. Le Dilemme de l’amour et de l’honneur. 1. Rodrigue, objet du « dilemme cornélien ». 2. Une esthétique du balancement. 3. Un système d’opposition. II Un héros face à ses angoisses. 1. La crainte et la peine. 2. Le lexique de la mort et de la maladie. 3. La peur de la « gloire ternie ». III La progression du monologue. 1. Volonté de gloire et de vengeance. 2. La raison éclairée : recul

contraintes. Lié aux forces qui animent l’univers. -éclats de la beauté : sensations sont exaltées par des métaphore qui en révèle la beauté (c’est un monde où les masques et les miroirs troublent les certitudes). Écrivains baroques Corneille : honneur, gloire, sens du devoir, héroïsme, sacrifice De Viau : anticonformistes, libertains. Il est indifférent aux règles et aux modèles, il exprime librement ce qu’il ressent St-Amant : recherche l’originalité dans la variété des thèmes : paysages merveilleux

Octave et Léandre pour résoudre des problèmes. Il aime bien tromper Argante et Géronte. On découvre, au fil de la pièce, que Scapin est aussi un homme avide de vengeance. * Gorgibus, Les Précieuses ridicules - Gorgibus est le maître des lieux, père de Magdelon et oncle de Cathos. C’est un « bon bourgeois » selon le contexte de la pièce, autoritaire et homme de bon sens. Il mène sa maison avec simplicité et veut marier sa fille et sa nièce à deux prétendants honnêtes mais se retrouve désemparé

légendaire de la Grèce. Dans Iphigénie, il choisit ainsi de relater l’un des épisodes les plus pathétiques et les mieux connus de la famille maudite des Atrides, relaté avant lui notamment par Euripide : celui du sacrifice d’Iphigénie par son propre père. Dans la préface de la tragédie, il rend hommage aux génies antiques et dit « la vénération qu[’il a] toujours eu pour les ouvrages qui nous restent de l’antiquité ». L’invention passe donc pour Racine par l’imitation des chefs-d’œuvre de l’Antiquité

cependant que d’une sainte horreur Je vais chantant votre gloire plus belle. 2 Le Babylonien ses hauts murs vantera, Et ses vergers en l’air, de son Éphésienne La Grèce décrira la fabrique ancienne, Et le peuple du Nil ses pointes chantera : La même Grèce encor vanteuse publiera De son grand Jupiter l’image Olympienne, Le Mausole sera la gloire Carienne, Et son vieux Labyrinth’ la Crète n’oubliera. L’antique Rhodien élèvera la gloire De son fameux Colosse, au temple de Mémoire : Et si