La Grande Chaloupe

Dans un petit village très éloigné d’ici, vit un jeune mousse nommé Mathieu qui habite tout seul sur un petit bateau au bord du quai. Il part souvent en mer sur un grand navire accompagné d’un équipage et d’un vieux marin. Un jour, le vieux marin lui commande de se préparer pour un long voyage mais Mathieu refuse prestement en expliquant que le temps n’est pas idéal. Le vieux marin têtu argumente avec Mathieu en lui disant qu’il connait assez bien la mer pour savoir s’il est juste de partir ou non

involontairement les épaules ; et quand il se fut mis plus loin, du même côté, il la regarda. Elle avait un large chapeau de paille, avec des rubans roses, qui palpitaient au vent, derrière elle. Ses bandeaux noirs, contournant la pointe de ses grands sourcils, descendaient très bas et semblaient presser amoureusement l’ovale de sa figure. Sa robe de mousseline claire, tachetée de petits pois, se répandait en plis nombreux. Elle était en train de broder quelque chose ; et son nez droit, son menton

rôle d’analepse (retour en arrière). Les termes appartenant au champ lexical de la navigation nous apprennent qu’un « vaisseau s’est brisé contre les rochers » et qu’on ne sait si quelques personnes ont réussi à se sauver du « naufrage » sur « la chaloupe ». Ces événements ne permettent pas seulement au spectateur de reconstituer le passé proche, ils placent les personnages dans une situation précaire qui risque de les obliger à modifier leur mode de vie et leur relation. La situation

tel {text:soft-page-break} qu'il n'en a jamais vu. Celui-ci, comme pour le provoquer jaillit devant lui dans toute sa splendeur. Puis il replonge aussitôt comme s'il n'était venu que pour le défier. L'espadon est tellement fort qu'il entraîne la chaloupe du vieil homme loin des côtes et le pêcheur ne peut qu'attendre et espérer. La bataille sera longue. Santiago sortira vainqueur de cette lutte épuisante, mais constatera, hélas à son retour à terre que les requins ne lui ont laissé que la carcasse

Séquence 7 : De la poésie romantique à la poésie surréaliste (19ème- début 20ème) Objectif: Se constituer une anthologie (recueil de poèmes) qui définit les caractéristiques des 4 grands mouvements: * Le Romantisme (Hugo, Musset, Vigny, Lamantine) * Le Parnasse (Gauthier « l'Art pour l'art ») * Le Symbolisme (Rimbaud, Verlaine) * Le Surréalisme (1ère partie du XXe) I. Définitions II. Anthologie Le Romantisme : Au XVIIIe siècle : On désigne des sentiments et des aventures

succès complet, qui restera dans les annales de l’Histoire. Ils étaient partis depuis trois ans, alors qu’ils avaient couvert plus de 60 000 milles marins, Cook n’avait perdu que quatre hommes. Ce voyage lui valut d’être reconnu comme l’un des plus grands navigateurs de tous les temps. Troisième voyage (1776-1779) Pour son dernier voyage, Cook commandait à nouveau le HMS Résolution. L’expédition explora tout d’abord les îles Kerguelen où il accosta le jour de Noël 1776, puis fit escale en Nouvelle-Zélande

personnage qui attire le plus le public. Sa complicité avec le public est grande. a il est en effet celui qui donne le "fil conducteur" de l'intrigue au public. P z A z B a Fiche de lecture l'île des esclaves, Marivaux. Scène 11 X X X X X 6) Résumer de la pièce par scène : Scène 1 : Arlequin est le valet d'Iphicrate, ils sont tout les deux rescapés d'un naufrage. Iphicrate veut chercher ceux qui on réussi a se sauver de la chaloupe. Sauf qu'ils se situent sur l'île des esclaves où tous les maîtres

Saint-Esprit. En 1923 il rentre au Collège Libermann de Dakar dont il sort bachelier en 1928 et bénéficiaire d'une demi-bourse du gouvernement français. La même année il embarque pour la France où il rentre au Lycée Louis-le-Grand. En 1931 il entre en Khâgne toujours au Lycée Louis-le-Grand, où il rencontre George Pompidou, Paul Guth, Robert Verdier, Henri Queffelec. En 1933 Léopold Sédar Senghor devient le premier agrégé africain de l'Université. La même année il sollicite et obtient la nationalité Française

Commentaire Organisé Marivaux inspiré des philosophes des Lumières a dans de grand nombre de ses œuvres évoqué les injustices de son temps. Dans la pièce « L’Ile des Esclaves » ; il aborde le thème de l’esclavage. Cette œuvre comique nous décrit une Ile où les rôles « maîtres/esclaves » sont inversés. L’auteur utilise donc un renversement de situation afin de ne pas exposer son texte aux censeurs. Dès la première scène l’écrivain raconte le naufrage d’arlequin un valet et de son maître

également bien enfermé dans son rôle, si l’on peut dire. En tout cas, il est « assigné » à ce rôle : « Mon cher patron, vos compliments me charment ; vous avez coutume de m’en faire à coups de gourdin qui ne valent pas ceux-là, et le gourdin est dans la chaloupe. » Ironie, bien sûr, du valet, ici. Ironie de celui qui sait que son maître ne peut plus rien contre lui. Nous y reviendrons. Mais je remarque que le valet, dans cette « dispute », reste le valet : « Mon cher patron ». Du moins dans un premier