La Grande Chaloupe

Le public n’est pas déçu quand il voit déambuler Arlequin avec certains de ses attributs habituels : sa fonction de serviteur (il fait partie de la catégorie des zanni : ce sont des valets qui offrent une amusante galerie de caractères dessinés à grands traits (Scapin et Polichinelle en font aussi partie), son goût immodéré pour la boisson (l’important pour lui est d’avoir sauvé sa « pauvre bouteille ») et son rire insolent agrémenté de lazzi (les lazzi étant des plaisanteries et des jeux de scène

est très rude. C’est le 31 mai 1911 que le Titanic est mis à l’eau. Ce bateau possède trois hélices qui fonctionnent avec deux moteurs à vapeur et une turbine d’environ 15 000 chevaux chaque. Le paquebot mesure 269 m de longueur, c’est donc le plus grand de tous les paquebots jamais construits. Figure 1, la construction du bateau Figure 1, la construction du bateau Deuxièmement, la croisière aura lieu le 10 avril 1912. Le Titanic est très luxueux et comporte 3 classes. Les passagers de la 1re

LA BEAUTE FEMININE SELON BAUDELAIRE1/ La beauté, la grâceChamp lexical de la noblesse « fastueuse, noble, majestueuse »Associée à l’art « jambe de statue », à la « beauté », au luxe.Impressionnante, par les mots qui évoquent la grandeur « longue, grand, majestueuse », la silhouette, l’allure globale d’abord. Enumération d’adjectifs mélioratifs qui dessinent une belle silhouette « longue, mince » et caractère tant physique que moral : « agile et noble ». Enjambement qui donne de l’ampleur.Phrases

TEXTE 1 Cette héritière était alors un des grands partis qu'il y eût en France ; et quoiqu'elle fût dans une extrême jeunesse, l'on avait déjà proposé plusieurs mariages. Madame de Chartres, qui était extrêmement glorieuse, ne trouvait presque rien digne de sa fille; la voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la cour. Lorsqu'elle arriva, le vidame alla au-devant d'elle; il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur

cher Arlequin, est de tuer tous les maîtres qu'ils rencontrent, ou de les jeter dans l'esclavage. » . Alors que l’on voit Iphicrate tout tenter pour rentrer : « Allons, hâtons-nous, faisons seulement une demi-lieue sur la côte pour chercher notre chaloupe, » Arlequin sent son avantage et répond à la question : « Méconnais-tu ton maître, et n'es-tu plus mon esclave ? » par : « se reculant d'un air sérieux. Je l'ai été, je le confesse à ta honte ; mais va, je te le pardonne ; les hommes ne valent rien

groupe de personnage moribond qui est regroupés autour d’un personnage âgé. Ce vieillard tourne le dos au reste du groupe tandis que la main droite de ce dernier tient un cadavre, il a l’air accablé. Ce radeau vient d’essuyer une tempête, on voit une grande vague et le vent qui s’engouffre dedans. Le vent pousse des nuages extrêmement sombres. L’impression générale qui se dégage est un drame intense qui est en train de se jouer. On est ici au maximum de cette tension entre espoir et désespoir.

j'envie maintenant leur sort. ARLEQUIN. −  Hélas ! Ils sont noyés dans la mer, et nous avons la même commodité. IPHICRATE. −  Dis-moi; quand notre vaisseau s'est brisé contre le rocher, quelques-uns des nôtres ont eu le temps de se jeter dans la chaloupe; il est vrai que les vagues l'ont enveloppée : je ne sais ce qu'elle est devenue; mais peut-être auront-ils eu le bonheur d'aborder en quelque endroit de l'île et je suis d'avis que nous les cherchions. ARLEQUIN. −  Cherchons, il n'y a pas de mal

calypso, le mento, la musique de la Martinique, de la Guadeloupe, tu le retrouves dans le hi-life, mérengue. De plus cette attirance vers l' "after-beat" se retrouve dans les églises, avec les rythmes des tambourins, des claquements des mains… Une grande part du mento provient de la musique populaire. Mais nous avons aussi des traditions folk très fortes, qui pénètrent dans la musique à différentes étapes de son développement. Par exemple tu as la musique Burru, le tambour traditionnel africain sur

Pour faire du feu j’assemblais du feuillage sec au pied d’un arbre puis je lançais une pomme de pin enflammée dedans. Ainsi, je pouvais manger de la viande. « -Très imaginatif ! Me fit remarquer mon ami » Un jour j’ai fait la rencontre du plus grand bandit de cette époque, Jean des Bruyères je l’ai aidé à se caché de la police qui le recherchait. Nous sommes devenus amis, il aimait beaucoup lire je lui donnais donc tous mes livres et c’est grâce à lui que je repris goût à la lecture. J’ai lu toutes

Mme Arnoux comprise. On remarque par ailleurs plus tard dans l'extrait l'endroit où se déroule le coup de foudre, n'étant pas précisé dès le début dû à l'éblouissement de Frédéric par Mme Arnoux ; en effet, la réplique "il affectait d'observer une chaloupe sur la rivière" (L.15) nous