La Grande Recre Part Dieu

(1813) fait connaître les grandes œuvres allemandes aux Français. 2,11) Romantisme d’introspection -inspiration autobiographie (héros tourmenté) -Narrateur, personnage (je) -Écrivains : ChateauBriand, Alfred de Musset, George Sand. 2,12) Roman historique -Voir les misérables p.311 -Depuis 1820, la renaissance du sentiment national donne aux écrivains le goût de mêler l’imagination à la vérité historique. -Exemple : Notre-Dame de Paris (1831), Hugo y recrée le Paris médiéval avec un

C’était à l’époque où j’avais entre six et sept ans, l’âge-même où l’innocence et la naïveté sont à fleur chez l’enfant. Mise à part une petite chemisette toujours tâchée et une coupe de cheveux de garçon, j’aimais me considérer comme l’une des plus belles filles de ma classe. Gamines, ma sœur et moi vécûmes de nombreuses mésaventures dont une qui restera toujours gravée dans ma mémoire : Je me revois ce jeudi matin, les yeux pétillants de malice et le visage dominé par une convoitise exubérante :le

classe a cause de son poids. (William Hackendown et sa bande) Il est toujours sur la lune et la maitresse le lui reproche souvent. Il aime aussi par-dessus tout les histoires et commence même à écrire son premiers livre mais sa personne ne le sait a part Harold. Ed vit dans un petit village de la campagne dont le nom n'est pas mentionnée dans le livre, c'est un tout petit village, on en fait vite le tour. Elle est situer au milieux de la foret, une foret très dangereuse et très dense personne ne s'y

Léopoldine n’est pas très présente dans ce poème mais il fait référence a elle, on peut constater dans ces vers que c’était une fille heureuse comme nous l’indique « rire » V14. A TRAVERS LE POEME 5 : Elle avait pris ce pli… Victor Hugo nous fait part de la personnalité de Léopoldine bien qu’elle ne soit presque jamais citée dans ses poèmes. Il parle ici de son enfance ; « son âge enfantin ».Son père le fait revivre grâce aux mots qu’il emploie. On remarque l’utilisation du discours direct au vers

douleur En la forest de Longue Attente.Ay je dont tort, se je garmente*Plus que nulle qui soit vivante ? Par Dieu, nannil, veu mon malheur, Car ainsi m'aid mon Createur Qu'il n'est peine que je ne sente En la forest de Longue Attente.(*) je me lamente Marie de CLÈVES   (1426-1487) Des rosesUn jour de may, que l'aube retournee Rafraischissoit la claire matinee, Afin d'un peu recreer mes esprits, Au grand verger, tout le long du pourpris Me promenois par l'herbe fraische et drue, Là où je vis la rosee espandue

XIX°s : Stendhal : « Un roman est un miroir qui se promène sur une grande route. Tantôt il reflète à vos yeux l'azur des cieux, tantôt la fange des bourbiers de la route. Et l'homme qui porte le miroir dans sa hotte sera par vous accusé d'être immoral ! Son miroir montre la fange, et vous accusez le miroir ! Accusez bien plutôt le grand chemin où est le bourbier, et plus encore l'inspecteur des routes qui laisse l'eau croupir et le bourbier se former ». Stendhal : « Un roman est comme un archet

le monde onirique ? On se demandera quel rapport le poète entretient-il avec le monde ? Le poète se doit-il de formuler le monde tel qu’il est, tel qu’il s’offre à nous à la manière d’un peintre réaliste, ou bien doit-il le transfigurer voire le recréer par le langage ? Nous verrons, dès lors, en quoi le poète est celui qui puise son inspiration dans le monde réel ; comment il rend ce qui apparaît à première vue apoétique (la crudité du monde voire son prosaïsme) un sujet éminemment poétique et en

la poésie, à travers tous différents siècles et grande variété d’auteurs cherchant à partager leurs sentiments surtout de nostalgie, ou d’amour. La poésie lyrique se base surtout sur les sentiments de malheur ou de désespoir qui viennent, la plupart du temps, de la nostalgie. Paul Verlaine, dans ses extraits de « Melancholia », écrit plusieurs poèmes se rappelant de son amour pour Elisa Moncomble. L’un d’eux est Après trois ans dans lequel il recrée une scène de rencontre qu’il eu avec elle trois

nature humaine avec la théorie de l’évolution de Darwin, le XXe siècle avec le clonage animal - et peut-être pour bientôt, celui de l’homme - semble remettre en cause pour le profane, l’existence des religions pour qui l’homme a été créé, à l’image de Dieu? Seule une foi bien assumée et comprise permet pour le croyant de relativiser entre le comment de la science et le pourquoi de la religion.(1) En mai 1953, un jeune chercheur de 23 ans de l’Université de San Diego (Californie), Stanley Miller, provoqua

l’extérieur. Dans la modernité, l’œuvre d’art est la singularité de l’artiste, il affirme sa subjectivité. La modernité est la rupture avec la tradition. On passe de l’hétéronomie à l’autonomie. L’hétéronomie est l’idée que la règle vient de l’extérieur (Dieu, la tradition, la nature), elle vient d’une source extérieure aux hommes, ils doivent la connaitre et s’y soumettre. L’autonomie, c’est le monde où l’on se fixe soi-même la règle par laquelle on va évaluer tous nos comportements. Cette modernité