La Grosse Tête

Elle le reçoit, relève la tête : il a disparu. Elle ouvre interloquée le petit papier. Pendant ce temps, en fond, on voit monsieur Destin qui donne son papier à une passante qui se fait écraser dans les 2 secondes qui suivent. On voit toujours au loin le conducteur descendre de la voiture, tirer le corps mort sur le bas côté puis reprendre le volant comme si de rien était. Le papier dit : « COURS DE DANSE » avec l'adresse de la salle de sport Elle relève la tête, les yeux pleins d'étoiles

cotés Marionnettes recommencez. TETE, EPAULE ET GENOUX, PIEDS Tête, épaules et genoux, pieds, Genoux pieds ! Tête, épaules et genoux, pieds, Genoux pieds ! Et les yeux, les oreilles, La bouche et puis le nez ! Tête, épaules et genoux, pieds, Genoux pieds !  J’AI UN GROS NEZ ROUGE J'ai un gros nez rouge Des traits sur les yeux

Roderick peint, il semble littéralement concentré sur sa toile. Le premier plan nous montre le visage de l’artiste, de face. Muni d’un pinceau dans la main droite, il se rapproche lentement, le regard vide, comme absorbé par son œuvre. La suite de gros plans qui suit nous montre alternativement, sa main, son tableau très sombre, sa palette et son visage. Il se retourne, pour voir son modèle, crispe le visage et se met à râler. Un raccord regard nous montre sa femme, exténuée, prête à s’écrouler.

 Parle aux enfants d'Israël, et dis-leur: Lorsque quelqu'un d'entre vous fera une offrande à l'Éternel, il offrira du bétail, du gros ou du menu bétail. 1.3  Si son offrande est un holocauste de gros bétail, il offrira un mâle sans défaut; il l'offrira à l'entrée de la tente d'assignation, devant l'Éternel, pour obtenir sa faveur. 1.4  Il posera sa main sur la tête de l'holocauste, qui sera agréé de l'Éternel, pour lui servir d'expiation. 1.5  Il égorgera le veau devant l'Éternel; et les sacrificateurs

aimaient mieux nager dans les douves que de grimper et rester sous une feuille de bardane pour bavarder avec elle. Enfin les oeufs craquèrent l'un après l'autre, on entendait: "clac clac !", tous les jaunes d'oeufs étaient devenus vivants et sortaient la tête. - Coin, coin ! disait la cane. Et les canetons s'agitaient tant qu'ils pouvaient, et regardaient de tous les côtés sous les feuilles vertes, et la mère les laissait regarder autant qu'ils voulaient, car le vert est bon pour les yeux. Comme le monde

Trop gros pour Noël Avec tout les cadeaux dans le traîneaux, le père Noël s'envola du sol en quelques secondes. En faisant la tournée des maisons, le père Noël mangea tout les biscuits même la grosse assiettes de Noël . Après la quinzième maisons, le pauvre homme ce coinça le ventre dans une cheminée d'une famille très pauvre. Il faut vite me sortir de là sinon plusieurs enfants n'auront pas de beau Noël cri-t-il a ses lutins. Ayant une brillante idée il décide de mettre de la neige tout

entrecouper de plans plus rapprochés. On parle également de plan large. Plan général (PG) Le plan d’ensemble (PE) Le plan d’ensemble, ou plan en pied, se concentre plus précisément sur un ou plusieurs personnages. Ceux-ci sont cadrés des pieds à la tête. On veille traditionnellement à laisser un minimum d’espace libre en dessus et au-dessous des personnages. On utilise très souvent cette valeur de plan pour cadrer des sujets en mouvement. Plan d’ensemble (PE) Le plan américain, ou plan

diverses (plan d'ensemble, gros plan...) selon l'effet recherché. Le Plan général montre un vaste paysage. Le Plan d'ensemble présente un personnage qui est situé dans un décor, un environnement : c'est ce décor, qui est important. Avec le Plan de demi-ensemble, le personnage prend le pas sur le décor mais celui-ci reste très présent. On met alors l'accent sur l'action des personnages dans un décor. Dans un Plan moyen (plan-pied) le personnage est montré en entier, de la tête aux pieds. Le Plan italien

Quel sport se joue a treize ? ....Le rugby a treize parce que le rugby a 15 c'est ... c'est pas euh ? - Bon les gars s'oir on fait la teuf , ... y'aura des filles -Et y'aura du gros son ? - Et des filles ! -Et touts nos potes ! -Et des filles ! -Et des chips ! Ouais bah voilà ! Le réveil sonne dans ma tête tout est à l'envers J'ouvre un oeil au radar, j'ai plus aucun souvenir d'hier Soudain le doute m'habite j'sens qu'on bouge sous les draps Flash back la jolie blonde Natacha ou Sabrina

avait des rayons. Puis, il me venait des rires de gamine, du grenier voisin, qui était peuplé de toute une famille, le père, la mère, et une bambine de sept à huit ans. Le père avait un air anguleux, la tête plantée de travers entre deux épaules pointues. Son visage osseux était jaune, avec de gros yeux noirs enfoncés sous d’épais sourcils. Cet homme, dans sa mine lugubre, gardait un bon sourire timide; on eût dit un grand enfant de cinquante ans, se troublant, rougissant comme une fille. Il cherchait