La Jamais contente

j'aime à jamais, ma soeur d'élection, Quand même tu serais une embûche dressée Et le commencement de ma perdition ! Quand même tu serais une embûche dressée Et le commencement de ma perdition ! Maudit soit à jamais le rêveur inutile Qui voulut le premier, dans sa stupidité, S'éprenant d'un problème insoluble et stérile, Aux choses de l'amour mêler l'honnêteté ! Celui qui veut unir dans un accord mystique L'ombre avec la chaleur, la nuit avec le jour, Ne chauffera jamais son corps

différences ? Si J. cependant s’adresse en premier au singe, c’est parce que ce dernier ressemble le + à l’homme, mais aussi parce qu’il est le + laid « et pour cause… » - l’animal /homme : des attributs humains « pieds, portrait, mon frère, un colosse, contents d’eux… », ils ont un langage soutenu (cf le dialogue), leurs prises de parole diminuent au fur et à mesure de leur importance jusqu’à la « liquidation » de « notre espèce » en 1 vers avec enjambement : « …Mais parmi les plus fous/Notre espèce excella…

marmaille, la vie n'est jamais ennuyeuse. Mais quand les bombes commencent à exploser partout où il passe, attirant les regards soupçonneux de la police et de ses collègues de travail, il devient rapidement vital pour le héros de trouver pourquoi, comment, et surtout qui pourrait bien lui en vouloir à ce point-là… Benjamin Malaussène est bouc émissaire. Pas officiellement, bien sûr... sur le papier, il est vérificateur technique. Mais dans les faits, il ne vérifie rien, et se contente, lorsqu'un client

journée et les endroits où il doit se rendre. Ces endroits sont d’ailleurs souvent « trop loin ». Durant sa journée, ce n’est jamais ce à quoi il s’attendait, pour la plus parts des familles qu’il visite pour en prendre l’argent, ils le lui donne souvent, donc il n’est pas content. Et dans les rares cas ou les pauvres gens n’ont guère de quoi payer, il n’est pas non plus content, ou c’est du moins ce qu’il fait paraître. Après sa journée, il rentre chez lui fort blasé de cette journée. Il ne félicite

Le sapin et l’oiseau de Noël Il était une fois un oiseau qui vivait dans une forêt. Il fit son nid en haut d’un petit sapin. Le sapin était content d’avoir un compagnon aussi gai. Mais une idée folle vint à l’oiseau et il dit au sapin : « Tu ferais un adorable sapin de Noël – Mais je suis trop petit ! – Au contraire, c’est parfait – Mais je n’ai aucune envie d’être un sapin de Noël ! – Pourtant, ici, tu es couvert de givre tout l’hiver, le pied dans la neige, alors que, si tu étais un sapin de Noël

journal ? La lumière est bien meilleur ici. L- Oui bien sûr asseyez-vous. T-Puis-je vous tutoyer ? L- Il n'y a aucun problème. T-(Très direct)-Je vais être franc avec toi ! L-(légèrement paniquée)-Heu...Oui ? T-Tu me plais énormément. L-(contente)-Ha d'accord. Comment t’appelles-tu ? T-Tom et toi ? L-Moi c'est Lyly. T- Quel joli prénom. L-Merci beaucoup. T-Tu es une femme tellement intéressante ! L-(Emue)-Je suis flattée, d'autant de compliment de ta part. ------------------------------------------------

C'est sans doute quand on a l'habitude du tout qu'on ne peut plus se contenter du peu... C'est sans doute ce manque de "manque" qui est à l'origine de tout... Comment pouvons nous tomber si bas quand on vient de si haut... comment pouvons nous tomber si bas quand on vient de si haut... comment pouvons nous tomber si bas quand on vient de si haut... j'ai beau répété, aucune réponse ne me parvient... AUCUNE... RIEN... non, rien qu'un vide... Pourquoi... pourquoi y a-t-il touché une première fois

reflexion sur nous même. De plus, l'oeuvre d'art authentique ne peut pas être « produite » grâce à l'intelligence, qui est incapable de recréer un monde qui n'est plus, alors que les impressions, les sensation (auditives, olfactives ou visuelles) le sont. Jamais l'intelligence n'aurait pu aider le narrateur à évoquer Venise, alors que ces simples dalles de l'hôtel de Guermantes lui rappellent le baptistère de Saint-Marc. Nous pouvons par ailleurs retrouver la conception que se fait le narrateur de l'oeuvre

de vie simple ». Comme tous ces mots sont employés dans une forme d`expression, on va définir les mots clés soulignés. Selon la définition de Larousse être heureux est celui : « qui jouit du bonheur, qui est durablement content de son sort », « qui est très satisfait, très content de ce qui lui advient ou de ce qui se produit en général ». Libre : « Qui n'est soumis à aucune contrainte, à aucun contrôle, à aucune restriction ». Simple : « Qui est réduit à l'essentiel, sans recherche, sans apprêt,

philosophie guérit notre âme, elle la libère du poids de nos passions (peur, inquiétude, chagrin…) : «il n’est jamais trop tôt, qui que l’on soit, ni trop tard pour l’assainissement de l’âme ». La philosophie est une discipline ou un art qui procure la santé de l'âme. Jeune ou vieux, nous avons toujours intérêt à la pratiquer. Procurant la santé de l'âme, elle procure le bonheur, et il n'est jamais trop tôt ou trop tard pour y avoir droit. L'homme âgé méditera sur le temps passé et les biens qui lui ont