La Jeune Fille Rebelle

dépérir, elle lui confie l'origine du mal qui la consume. Bientôt circule la rumeur de la mort de Thésée, absent depuis de longs mois. Sa succession au trône ouvre une crise politique. Phèdre consulte Hippolyte; mais, troublée par la présence du jeune homme, elle finit par lui avouer qu'elle l'aime. Hippolyte s'enfuit, horrifié. Thésée serait vivant, apprend-on aussitôt après. Phèdre mesure l'horreur de sa situation. Et si Hippolyte venait à parler? Œnone lui suggère de prendre les devants et d'accuser

le livre et des acteurs dans le film: Madeleine, la fille ainée de monsieur de Sainte Colombe, jeune femme maigre, de nature calme voir même silencieuse, quand leur père de colére les enferme elle ne dit pas un seule mot. Toinette, la cadette, est tout le contraire de sa soeur, en effet on nous la représente en tant que jeune femme avec davantage de forme, une personne ronde, de caractére vive et joyeuse, mais aussi colérique: elle se rebelle contre les crises de colére de son père, on le comprend

innocence est la base de l’âge heureux. On dit heureux parce qu’on est naïve pour voir quelque chose. Comme le dit Marie France Mellone dans son poème « L’âge heureux » et également dans le poème « La jeune poule et le vieux renard »de Jean Pierre Claris de Florian abusant de l’innocence de la jeune poule pour ensuite la mangé. La liberté comme le dit Clément Marot dans son poème « L’enfance de Marot » disparait au fur à mesure que la vieillesse nous vienne. Nous y avons découvert un monde bien plus

s’interroge sur Dieu et la condition humaine ou encore « La Cantatrice Chauve », première pièce de l’auteur roumain. // Mais c’est à une autre œuvre phare d’Eugène Ionesco que nous allons nous intéresser. La Leçon, écrite en 1951 met en scène une jeune fille qui, souhaitant obtenir un « doctorat total », se rend chez un professeur particulier. Cependant cette leçon va se transformer en torture morale et physique pour l’élève. Nous allons donc nous demander comment Ionesco, dans la Leçon, établit-il

pierre » Acte I : On est à Naples, au palais de vice-roi, il fait nuit et Don Juan Tenorio se prépare à quitter la duchesse Isabella dont il vient d’abuser en se faisant passer, à la faveur de l’obscurité, pour son fiancé, le duc Octavio. La jeune femme n’y a d’ailleurs pas vu la moindre différence ! C’est lorsqu’elle veut allumer une chandelle qu’elle se rend compte de la supercherie et ameute le palais. Le roi de Naples intervient et veut faire arrêter le coupable qu’il n’a pas pu apercevoir

faustienne. 3 LES ŒUVRES LITTERAIRES INSPIREES DU MYTHE DE FAUST 3.1 La tragique histoire du docteur Faust de Christopher Marlowe (1588) Sa version de Faust est la première œuvre littéraire importante consacrée au mythe. C’était un écrivain rebelle et païen qui a mené une vie tumultueuse. Pour Marlowe, Faust représente un homme nouveau : l’homme de la Renaissance c’est à dire l’humaniste qui se dresse contre l’obscurantisme et le dogme de l’église. C’est aussi , à l’image de Marlowe, un homme

théâtrales de l’Antigone de Sophocle, après la floraison de la fin des années 70 dont parle George Steiner : « 1978-1979 connurent de véritables ‘épidémies d’Antigone’ » 1. Il me semblait alors que d’autres héroïnes, comme Médée, avaient supplanté la fille d’Œdipe et que l’ombre écrasante d’Anouilh et de Brecht était un frein à l’invention créatrice. Antigone aurait déserté la scène pour venir hanter les romans, ceux d’Henry Bauchau par exemple. Mais, comme souvent, les choses étaient plus complexes

tout cela (scène 7).C'est dans cette même scène que meurt Phèdre, qui s'est empoisonnée et confesse sa faute. Thésée anéanti prend comme décision d'adopter Aricie comme sa fille. 1 2) ANALYSE DES PERSONNAGES PRINCIPAUX Phèdre est d’abord un personnage tragique. Ses origines sont à la fois nobles et divines. En tant que « fille de Minos et de Pasiphaé » (Acte I, Scène 1), elle est liée à la fois au soleil (par sa mère) et aux Enfers (par son père). Cette hérédité qu’elle porte fait qu’elle subit

chronique de 1830 mettant en scène la diversité des milieux sociaux, l’échec d’une ascension sociale, un parvenu rebelle, une société bloquée, l’hypocrisie générale de la pratique religieuse, l’importance de l’argent. Le roman est inspiré d’un fait divers tiré de la Gazette des tribunaux, l’affaire Berthet. Le Rouge et le Noir symbolisent l’Armée et l’Église, les deux carrières par lesquelles le jeune héros croit pouvoir conquérir le monde. Julien Sorel, fils de charpentier, acquiert une solide culture grâce

ses gardes... Les personnages principaux Antigone : Fille d'OEdipe Le Prologue nous la décrit comme la petite "maigre jeune fille noiraude" (p. 9). D'après Ismène : "Pas belle comme nous, mais autrement" (p. 29), d'après sa nourrice "elle n'est pas assez coquette !" (p. 17) et d'après elle-même : "je suis laide !" (p. 96), "je suis noire et maigre" (p. 41). Antigone aurait voulu être un garçon : "Ai-je assez pleuré d'être une fille !" (p. 29). Antigone aime la vie : "Qui se levait la première