La Jeune Parque

parole au bateau lui même. Ces poèmes représentent une tentative d'atteindre un état de confusion par la désorientation des sens. Rimbaud est également connu pour son histoire d'amour tumultueuse avec son ami et poète Paul Verlaine (1844-1896), le jeune homme aura tiré avec une arme a feu sur Verlaine ou dailleurs Verlaine évoque cet épisode dans sn receuil de poèmes, Romance sans paroles (1874) Stephane Mallarmé (1842-1898) fu un autres poète influent de cette époque. Sa célèbre œuvre, L'Après-midi

qu’il existe de nombreuses possibilités. Etymologiquement, le mot  « Fée » vient de fatum en latin qui signifie « destin ». « On le voit, les fées ont quelque chose à voir avec l’idée de destin et [dans cette perspective] leurs ancêtres divines, les Parques. On notera au passage que ces divinités étaient trois, tout comme le seront très souvent les fées dans les contes[7]. Ce lien avec les divinités antiques est encore renforcé lorsqu’on s’arrête sur l’idée de fée marraine. Les Carmentes, Anteverta et

l’arrose;La grâce dans sa feuille, et l’amour se repose,Embaumant les jardins et les arbres d’odeur;Mais battue ou de pluie, ou d’excessive ardeur,Languissante elle meurt feuille à feuille déclose.Ainsi en ta première et jeune nouveauté,Quand la terre et le ciel honoraient ta beautéLa Parque t’a tuée, et cendre tu reposes.Pour obsèques reçois mes larmes et mes pleurs,Ce vase plein de lait, ce panier plein de fleurs,Afin que vif, et mort, ton corps ne soit que roses. Second livre des « Amours », « Sur la

allons voir si la rose » fait partie du receuil « Les Odes » ( 1550-1552 ). J’ai choisit ce poème car il est vivant, animé. Le poète décrit une jeune fille en la comparant à une rose. De plus, son recueil a fait la gloire de Ronsard, c’est une des oeuvres marquantes du XVIeme siècle. Dans ce poème lyrique, Ronsard écrit à Cassandre, c’est une jeune fille qu’il a rencontré à la cour qui lui a laisser un bon souvenir. Les thèmes abordés sont l’amour, la jeunesse, la beauté. -Deuxième poème :

la profondeur du traumatisme créé en lui par cette nouvelle et encore non résolu à ce jour : « Le Titanic est encore aujourd'hui la hantise de ma vie. ». Le navire convoyait sans nul doute de manière diffuse les espoirs et l'optimisme de toute une jeune génération qui devait sombrer à peine quelques années plus tard 1. H.-R. Jauss, « 1912: Threshold to an Epoch. Apollinaire's Zone and Lundi rue Christine », Yale French Studies, n°74, 1988, p. 39-66. 8 Partie 1 : La Belle Époque dans la

« Comme… », vers 1, « Ainsi… », vers 9. Ensuite, nous voyons que la rose a bien des points communs avec une jeune fille : sans être totalement personnifiée, elle est caractérisée par un vocabulaire plutôt réservé à un être humain : « jeunesse », au vers 2, « grâce » et « amour », au vers 5, « languissante » et « elle meurt » au vers 8. Ces mêmes éléments caractérisent la femme aimée (« en ta première et jeune nouveauté », vers 9, « beauté », vers 10, « t’as tuée », vers 12, par exemple), rapprochant ainsi

apprend qu’il doit porter l’étoile jaune et qu’aucun juif n’a le droit de posséder plus de deux mille zlotys. Les nazis promulguent des dizaines de lois impossibles à observer et toute infraction est punie de mort. Comme tous les juifs,il se retrouve parqué dans le ghetto de Varsovie, avec les siens. Il partage les souffrances et les humiliations des juifs,échappe à la déportation, mais voit sa famille partir pour les camps. C'est l’horreur, lorsque les premiers tris sont organisés, les petits enfants

oriente la perspective dans un segment narratif déterminé ; dans l'excipit – contrairement à l'incipit où le roman s'ouvre sur un récit non focalisé, sur une vision omnisciente de l'auteur - , on ne quitte pas le point de vue d'Etienne Lantier, le plus jeune des fils de Gervaise Macquart. Zola adopte pour conclure son récit le point de vue limité d'un seul personnage. Dans le cadre d'une focalisation interne, la vision repose sur une restriction du champ visuel du personnage. Le narrateur (le romancier

choix de ne pas se laver pour faire fuir le potentiel agresseur par son odeur nauséabonde. Puis il y a celles qui ne veulent garder leur féminité et essaye tant bien que mal d'être apprêtée. Dans cette même thèse, la sociologue faisait état d'une jeune femme de 23 ans qui soignait son hygiène pour espérer être hébergée par d'autres femmes en « solidarité féminine ». Entre la vie et la survie, il y a la nuit. « Ces gens là sont assis à l'intérieur d'eux-mêmes, c'est dans la relation du soir

« Comme… », vers 1, « Ainsi… », vers 9. Ensuite, nous voyons que la rose a bien des points communs avec une jeune fille : sans être totalement personnifiée, elle est caractérisée par un vocabulaire plutôt réservé à un être humain : « jeunesse », au vers 2, « grâce » et « amour », au vers 5, « languissante » et « elle meurt » au vers 8. Ces mêmes éléments caractérisent la femme aimée (« en ta première et jeune nouveauté », vers 9, « beauté », vers 10, « t’as tuée », vers 12, par exemple), rapprochant ainsi