La Jeunesse N Excuse Pas Tout

sur la position de celui qui y intervient. Derrière la confusion que permet ce terme d’“ insécurité ”, il est en effet patent que c’est fondamentalement de “ la violence des jeunes ” – et surtout des “ jeunes de banlieues ” – dont il est question. Tout discours sur ce thème est donc surchargé d’enjeux et il apparaît nécessaire de signaler quelques logiques de construction de ces discours politiques et médiatiques sur “ l’insécurité ” avant de poser les bases d’un autre type de réflexion [1].

objectifs et sa méthode ? Nous verrons tout d’abord les motivations de l’historien, avant de nous demander si Salluste est un historien Cicéronien. I – Les motivations de l'historien La préface de l'ouvrage nous éclaire clairement sur les objectifs poursuivis par l'auteur. En revanche il apparaît bien difficile de hiérarchiser ces derniers. Ainsi, est-ce la quête de gloire qui motive Salluste en premier lieu, ou bien plutôt se considère-t-il avant tout comme un citoyen romain au service de l'état

sont les personnages par le cadre de vie. Cette volonté de faire vrai n’empêche pas Balzac de donner son avis à tous propos et de vouloir communiquer des impressions subjectives aux lecteurs. Ainsi, il commence par une description du quartier et tout est fait pour produire une impression négative, ce quartier serait un lieu sans vie, laissé à l’abandon entre cimetière et prison. On passe ensuite à l’extérieur de la maison dont la longue description confirme l’impression de pauvreté et l’abandon

service de soins intensifs où j’ai été soigné température et tension sont prises par le même agent. Les résultats des mesures le concernant sont reportés sur des feuilles volantes distinctes, sous-entendu sujettes à éparpillement. Dans « mon » service toutes les données concernant un patient (mesures, médicaments, observations du corps médical et des personnels soignants) sont reportées dans un cahier unique, il ne s’y trouve pas, comme pour lui, d’agent dont l’unique tâche consiste à changer la carafe

d'une part, que les conquêtes de la vie de l'esprit ne sauraient réduire à néant ou endiguer définitivement la force du pulsionnel et, d'autre part, que l'accumulation de tout ce qui nous est arrivé, sans être traité psychiquement, accentue l'usure du psychique et en réduit la plasticité créatrice. M'est alors apparu, dans tout son ampleur, que l'écart qui existait entre la représentation psychique du corps, construite au fil des ans, et le soma sur lequel en son extrémité est ouvert le Ça. Le

de la panoplie législative 48 B. Des mesures de prévention 50 III. Remèdes a la délinquancejuvénile 50 A. Exemples du passé 50 B. Exemples modernes 51 ***Conclusion générale 54 Bibliographies 55 "On a souvent oublié que le criminel est avant tout un être humain qui ressemble bien plus aux autres être humains qu'il n'en diffère (...). Comme les autres hommes le criminel construit sa vie, la dirige, se trompe, rectifie, s'exalte et souffre. Comme les autres hommes, il est inconscient des influences

formation et d’une part d’irresponsabilité liée à l’âge, on ne peut juger les mineurs de la même façon que les adultes. C’est pourquoi nous allons nous demander « comment lutter contre la délinquance juvénile, aujourd’hui en France ». Nous allons tout d’abord définir ce qu’est la délinquance, en nous intéressant à l’arsenal judiciaire en place en France ainsi qu’aux impacts de celle-ci. Dans un deuxième temps nous allons analyser les différentes causes, psychologiques, sociétales et culturelles

Dissertation sur : existe t-il des limites à la liberté d'expression? Voltaire affirmait ces propos: >Soutenons la liberté de la presse, c’est la base de toutes les autres libertés, c’est par là qu’on s’éclaire mutuellement. Chaque citoyen peut parler par écrit à la nation, et chaque lecteur examine à loisir, et sans passion, ce que ce compatriote lui dit par la voie de la presse. Nos cercles peuvent quelquefois être tumultueux : ce n’est que dans le recueillement du cabinet qu’on peut bien

l’enfance et l’âge adulte était marqué par des rites initiatiques. Chez les romains, l’adolescence était une période d’indulgence de la part des adultes. Pour les filles, la vie d’une jeune romaine variait selon sa position sociale. Elle était considérée tout au long de sa vie comme une enfant : elle était sous la dépendance de son père à son plus jeune âge, et lorsqu’elle se mariait, elle était sous la dépendance de son mari. Le terme adolescent ne s’étendait donc qu’aux garçons à cette époque. Notre

dans l'histoire, et d'après nos exemples, on a pu remarquer que certaines cultures, considérées à une certaine époque comme antithèse de la culture dominante, sont acceptées et reconnues par la plupart de la société comme éléments de culture légitime tout à fait banals. La culture légitime c'est, d'après Bourdieu (1930-2002), sociologue français qui a beaucoup travaillé sur les mécanismes de reproduction de hiérarchie sociale, « tous les savoirs et connaissances qui apparaissent légitimes au yeux de