La Joconde

qu'ils représentent une forme. Guillaume Apollinaire a beaucoup utilisé cette forme et ses calligrammes restent parmi les plus célèbres. Pourquoi Apollinaire a-t-il été incarcéré à la prison de la Santé? Il est accusé de complicité de vol de la Joconde parce qu'une de ses relations (Géry Piéret) avait dérobé des statuettes au Louvre et lui avait offert. Il est alors emprisonné durant une semaine à la prison de la Santé. Quelle est son attitude lors de la première Guerre mondiale? Comment se termine

qu’une représentation. Donc si j’avais écrit sous mon tableau « ceci est une pipe », j’aurais menti ! » • Marcel Duchamp crée «L.H.O.O.Q», parodiant la Joconde. Son titre est à la fois un homophone du mot anglais look et un allographe que l’on peut ainsi prononcer : « elle a chaud au cul ». Il s’agit d’une vulgaire carte postale reproduisant la Joconde. Duchamp l’a surchargée d’une moustache, d’un bouc et des lettres qui donnent le titre à l’œuvre. L ‘œuvre s’inscrit dans le courant des ready-made que

plus loin, de chercher dans une encyclopédie ou un manuel si "c'est bien comme ça que ça se passait", de comparer avec aujourd'hui, d'en parler avec d'autres: "tiens ! tu savais toi qu'au Moyen-Age ....? " Exemple : dans le livre « Au temps où la Joconde parlait » de Jean Diwo, un des protagonistes, Antonello da Messina1, a réellement existé, mais son périple jusqu’à Bruges afin de rencontrer le grand maitre peintre Jan Van Eyck et son apprentissage de la technique de peinture à l’huile plus moderne

Nous devons faire l’effort de remonter le temps pour nous rapprocher de l’artiste et de son œuvre. L’exemple est donné par Daniel Arasse qui a fait un important travail de recherches sur Léonard de Vinci et son époque pour mieux comprendre la Joconde. Ainsi, nous devons lorsqu’une œuvre est connue, effacer la connaissance que nous en avons, souvent importée par la lecture et les conversations, pour la découvrir avec des yeux neufs comme si elle était nouvelle. Cela permet alors de neutraliser

ans il retourne en Catalogne. Le Gigantisme atteint ses dernières toiles, pleines de personnages dionysiatiques et ou il réunit toutes les tendances en –isme : pointillisme, surréalisme, tachisme, etc. En 1964, il fait une reproduction de la Joconde avec ses propres traits. En 1979, il est reçu a l’institut de France. Pour présenter ses œuvres au centre Georges Pompidou à Paris et ensuite à la Tate Gallery de Londres. Mais il s’intéresse à plein d’autres arts comme le cinéma, la photographie

tout au long de l'histoire de l'art. Certes, à compter du XVe siècle, chaque époque compte un chef d’oeuvre axé sur l’expression d’une émotion qui symbolise, du reste, assez bien l’état d’esprit propre à chaque période. Par exemple le sourire de la Joconde au XVIe siècle ou l’extase de sainte Agnesse qui incarne la joie qui explose au XVIIe siècle. Il faut attendre l’avènement des arts populaires de la bande dessinée et du cinéma au XXe siècle pour que les émotions s’imposent comme un des traits majeurs

rassembler des collections. Le portrait se diffuse dans la noblesse comme dans la bourgeoisie, il devient indispensable et les techniques ne cessent de s’améliorer. Un des plus célèbres portraits est surement celui de la Joconde par Léonard de Vinci. Au début du XVe siècle La Joconde marque un moment crucial dans l'évolution du portrait. Le siècle voit aussi s'installer de nouveaux outils : nouveaux vernis, toile (qui remplace le bois), chevalet ; et aussi de nouvelles techniques : perspective centrale

dans notre vie ? Mais peut-on vivre sans ? Sont-elles toutes indispensables ? Qu’elles sont celles qui peuvent-être qualifiées d’utiles ? Sommes-nous dépendants des illusions ? Ainsi la Joconde peinte par Leonardo De Vinci témoigne de l’illusion d’optique crée. Sous n’importe quel angle de vue, la Joconde semble nous regarder droit dans les yeux. Il y a ainsi des illusions d’optique qui fausse la perception visuelle : qui n’a pas fait l’expérience de regarder une forme un schéma qui peut être

d’un autre œil. En troisième lieu, certains écrivains et artistes représentent la beauté de l’art. En ce qui concerne La Joconde de Leonard de Vinci, ce qui frappe au premier coup d’œil c’est la beauté, le sourire énigmatique, et aussi son regard, qui suit quelque soit l'angle où l’on se place. Leonard de Vinci a mit en valeur la beauté de la Joconde et non son histoire. Quant a Courbet et son œuvre La Pauvresse du Village (1867), il représente des scènes familières qui on pour but

: « Tringlot se trouva brusquement en face d’un carrefour de chemins creux » (p.361). Le premier désir de Tringlot est de disparaitre des yeux de ses poursuivants et il a pour visée de gagner le nord en parcourant ses étendues pastorales. De haut Jocond, Tringlot veut gagner deux lieux qui vont jouer un rôle essentiel dans l’élaboration de son nouveau moi : Quêlte et Saint Georges. Quelte est le lieu ou se trouve le château de Casagrande et de la baronne et c’est là où Tringlot découvre des existences