La Lanterne

encore un en-haut et un en-bas ? N'errons-nous pas comme à travers un néant infini ? Le vide ne nous poursuit-il pas de son haleine ? Ne fait-il pas plus froid ? Ne voyez-vous pas sans cesse venir la nuit, plus de nuit ? Ne faut-il pas allumer les lanternes avant midi ? N'entendons-nous rien encore du bruit des fossoyeurs qui enterrent Dieu ? Ne sentons-nous rien encore de la décomposition divine ? — les dieux, eux aussi, se décomposent ! Dieu est mort ! Dieu reste mort ! Et c'est nous qui l'avons tué

vieux que pendant la semaine entière qui précéda le meurtre. Et, chaque nuit, vers minuit, je tournais le loquet de sa porte, et je l’ouvrais, — oh ! si doucement ! Et alors, quand je l’avais suffisamment entrebâillée pour ma tête, j’introduisais une lanterne sourde, bien fermée, bien fermée, ne laissant filtrer aucune lumière ; puis je passais la tête. Oh ! vous auriez ri de voir avec quelle adresse je passais ma tête ! Je la mouvais lentement, — très, très lentement, — de manière à ne pas troubler le

bcp plus courte que le questionnement et apporte des réponses simple et courtes en gros en deux vers (du vers 29 au vers 30) produit un effet comique. Passage d’une question pertinente et sérieuse à une question loufoque : ne tiens-je pas une lanterne à la main Le quiproquo de situation : Sosie se retrouve face à son double, qui lui connait juste sa vie privée. Donne de la vivacité au texte rimes embrassées. L’action du comique : ne m’as-tu pas roué de coups ; et le truc avec le courroux. Sosie

gauche à droite. Ce n’est pas le sens habituel car d’habitude les regards vont du centre vers les cotés. VI. LUMIERE Les trois points lumineux sont tout d’abord la lampe en forme d’œil qui peut symboliser le regard du peintre sur cet évènement. La lanterne que tient le fantôme dans sa main. Il montre l'indignation de la communauté internationale qui veut faire la lumière sur ce qui vient de se passer. Et les ouvertures vers l’extérieur. VII. DOULEUR Les signes de douleur sont clairement exprimés

Florian La lanterne magique (1709). Messieurs les beaux esprits, dont la prose et les vers Sont d'un style pompeux et toujours admirable, Mais que l’on n'entend point écoutez cette fable Et tâchez de devenir clairs. Un homme qui montrait la lanterne magique Avait un singe dont les tours Attiraient chez lui grand concours. Jacqueau (c'était son nom), sur la corde élastique, Dansait et voltigeait au mieux, Puis faisait le saut périlleux; Et puis sur un cordon, sans que rien le soutienne

j’avais aussi remarqué que maman n’avait pas emporté de manteau, ils étaient tous dans sa penderie. Puis, je vis des milliers de lanternes dans le ciel, j’ignorais complètement d’où elles venaient, je me laissai emporter par leur beauté… Je sentis ensuite une présence derrière moi, je me retournai à peine que la personne se trouva déjà à ma hauteur. Il regardait les lanternes avec un petit sourire avant de m’adresser enfin la parole… _ C’est magnifique n’est-ce pas ? _ Oui… D’où viennent-elles ? _

légende de Jack-o'-lantern (Jack à la lanterne), condamné à errer éternellement dans l'obscurité entre l'enfer et le paradis en s'éclairant d'un tison posé dans un navet. Le navet fut progressivement remplacé par une citrouille, elle-même remplacée quelquefois par un potiron ou un autre légume : on le découpe pour y dessiner, en creux, un visage grimaçant, puis on place une bougie en son centre. Même s'il y a une tradition des Îles Britanniques consistant à sculpter une lanterne à partir d'un rutabaga

Rabelais et la Dive Bouteille                     Notre noble Lanterne nous éclairant et nous conduisant en toute gaieté, nous arrivâmes à l’Île désirée, où se trouvait l’oracle de la Dive Bouteille.                 Approchant du Temple de la Dive Bouteille, Panurge et Pantagruel passent au milieu d’un grand vignoble planté de toutes espèces de vignes comme Falerne, Malvoisie, Muscadet, Tabbia, Coussy, Anjou, Grave, Beaune, Corse, Verron, Nérac et autres... Le dit vignoble fut jadis planté avec

lugubre de la vie…………………………... p.3 a. Dépression et déchéance……………………………………………………………………….……p.3 b. Questionnement sur la vie et la mort………………………………………………..p.3 III- Conclusion ……………………………………………………………………………………………….. …. p.4 IV- La Rue de la Vieille-Lanterne : le suicide de Gérard de Nerval………………………………………………………………………………………………………………p.5 Bibliographie ……………………………………………………………………………………………….. p.6 Introduction L’œuvre de Gérard de Nerval, longtemps oubliée des

délimitée, à droite, par une femme qui s’enfuit, et à gauche par un soldat mort, par la ligne imaginaire qui part de sa main. Elle part de la lanterne. Ces deux personnages font la liaison entre les différentes parties du tableau. A la base de la pyramide, la mort est représentée par le soldat, et au sommet c'est la revanche qui y est symbolisée, par la lanterne brandie. Il y a une opposition entre l’élan de la femme de droite qui se dirige vers la lumière et le taureau qui s’en détourne. Quatre