La Lectrice

passeur: c'est Josefina qui tous les six mois, sélectionne deux romans d'amour bien tristes avec happy end dont elle est elle-même friande. Sans doute parce qu'elle cherche, comme le vieux, une image idéalisée de la vie et de l'amour, elle est une lectrice naïve, au premier degré. Le dentiste, plus averti, ne se voyait pas entrant dans une librairie pour réclamer ce genre d'ouvrages par peur du ridicule. Mais on remarquera qu'il ne fait rien pour amener le vieux vers une littérature plus digne de ce

dernier, la Médaille du Lieutenant-gouverneur pour les aînés. Pierre Duchesne, Lieutenant-gouverneur du Québec, lui a remis cette distinction pour l’ensemble de son action bénévole qui a eu une influence positive dans sa communauté. Madame Baribeau est lectrice bénévole pour Lire et faire lire depuis 2006 au Centre d’action bénévole des Riverains. Franciene Mucci, secrétaire du conseil d’administration de Lire et faire lire, a reçu le prix Hommage bénévolat-Québec. Madame Mucci a été récompensée pour

ménage. Passé du couple : sa femme commence à lui parler de Rodolphe (1885)  II Passé de Louis enfant : son père, sa mère, de souche paysanne, économe, un élève bûcheur atteint d’hémoptysie. Présent de l’énonciation : ennuie-t-il sa femme, sa lectrice ? Passé de Louis adolescent : séjour à Arcachon. Amours tarifiées. Pénibles relations avec sa mère. Retour à Bordeaux. Etudes de droit. Haine de la religion. Découvre sa passion de la terre, de l’argent – un substitut à l’Amour et humain et Divin

la plage de Marathon. L’autre explication plus concrète est que l’auteur de ce roman est fascinée par la mythologie grecque et par cette cité, depuis sa création jusqu’à aujourd’hui. Ce roman a été crée dans le but que les lecteurs et les lectrices soient captivés par cette aventure fascinante pour une plongée dans une véritable et étonnante histoire de la mythologie de la Grèce antique. De même, ce roman a pour but de nous faire revivre en direct à la bataille de Marathon en 490 av. JC

en dise le contraire, car il a pour seul but de manipuler Mme. de Volanges afin qu’elle ne change pas d’avis sur au sujet du mariage de sa fille avec M. de Gercourt. Mais cette lettre a « deux lecteurs », la pauvre correspondante de la Marquise, lectrice intra-diégétique de la lettre qui va « tomber dans le piège » des mots de la Marquise, et nous, lecteurs extra-diégétiques, qui connaissons parfaitement les intentions de cette dame, depuis le début de l’histoire. Et c’est justement notre statut

Paris, Seuil, 1998, coll. Liber, 134 p. 2 Agnès Fine Pierre BOURDIEU, La domination masculine, Paris, Seuil, 1998, coll. Liber, 134 p. 1 2 Comment faire un compte rendu de ce livre, court mais dense, que la plupart des lecteurs et lectrices de Clio ont probablement lu dès sa parution, il y a déjà deux ans, et qui a fait déjà l'objet de nombreuses critiques ? Il faudrait pouvoir tenir compte de ces dernières ainsi que des réponses apportées par l'auteur pour s'inscrire à mon tour dans

semble améliorer la fonction barrière de la peau. Résultat de l’auto-évaluation : les femmes ont trouvé leur peau « plus saine voire moins sèche ». • Une étude auprès de consommateurs pour la magazine Marie Claire réalisée en 2007 auprès de 200 lectrices déclarant avoir la peau sèche et/ou sensible. Consommation moyenne : 2 pots par jour pendant 6 semaines. Résultat : 80% des testeuses seraient convaincues des bienfaits d’Essensis sur la peau. • Une étude bibliographique qui est basée sur une sélection

proposant ses normes sexuelles. Aussi, des magazines comme Vingt ans en France (dont le lectorat a en réalité seize ans), font écho à l’imagerie pornographique et la normalisent incroyablement. Un test dudit magazine range dans trois catégories les lectrices : « 1° La super extra-salope : « C’est bien, tu vas peut-être un peu loin, mais tu as de l’humour » ; 2° La salope normale : « Tu es fille de ton temps, moderne, c’est bien : tu as des aventures et un peu de sentiment, mais tu ne te laisserais pas

trouble, elles s'entremêlent, se confondent, et on le voit notamment avec les pronoms utilisés, le plus souvent « je », ou « moi » ( là où on pourrait penser que Jekyll aurait utilisé « il » pour désigner Hyde ), ce qui brouille les lecteurs et lectrices, on ne sait plus à qui il fait référence ; « j'eus le cœur

(autre que les espaces domestiques communs que sont la cuisine ou le salon) pour pouvoir écrire dans de bonnes conditions. En lisant ces pages pratiques, on comprend bien la force transformatrice (voire performative) d’écrits permettant à leurs lectrices et lecteurs de se projeter dans un avenir désiré – et possible !3 /Dès lors que la route est connue – ne serait-ce qu’entrevue – il est permis de se projeter dans un avenir souhaitable et de se libérer d’un passé pesant. C’est ce qui explique l’emploi