La Lecture Est Elle Un Simple Divertissement

choquent plus. Ennui  télé et ordi = récréatif, empêche l’ennui, ce qui est source d’imagination, d’inspiration et de créativité. TV = perte de temps, on peut s’enrichir d’une manière plus créative, telle que la poterie, la musique, le jardinage, la lecture, l’écriture, l’art. On recopie ce qu’on voit (à la télé...) et n’inove plus. Télé donne image directement, livre fait réfléchir. Exemple : prisonnier, si avaient tv, ne trouveraient pas manière de s’échapper. Le fait d’inover va augmenter la confiance

Être capable de produire un texte prescriptif.Niveau : Tronc commun. Séquence : Les genres de textes. Activité : Lecture méthodique. Intitulé : Les genres des textes. Support : 4 textes de différents genres. Durée :

facilité de lecture de l’apologie. Puis, dans une seconde partie, nous nous pencherons sur le fait qu’une histoire d’animaux n’est pas représentative de l’Homme, qu’elle est moins crédible qu’un ouvrage de réflexion et qu’un sujet important ne doit pas être caricaturé. Nous verrons que le divertissement est un puissant véhicule de l’information. 1ere Partie Tout d’abord la fable a plus d’effet sur les enfants car elle a un aspect concret et une forme figurative. C’est un récit court et simple qui

nommée Spleen et Idéal qui présente le poète déchiré entre la quête d’un idéal esthétique et des moments de profonds désespoirs liés à la perte d’inspiration. L’extrait proposé, L’albatros, est le 2e poème de cette section et en est donc la clé de lecture. Baudelaire raconte une anecdote réelle, inspirée lors de son voyage sur l’île Maurice, dans laquelle l’oiseau est confronté à la cruauté des marins. Tout d’abord, nous nous intéresserons à la capture de l’oiseau

demander si le spectateur, ou bien le lecteur si il s'agit d'une pièce écrite, peut se projeter facilement dans la peau d'un personnage, et pourquoi. Le théâtre, bien qu'il soit destiné à être vu, n'est le plus souvent découvert qu'au travers de la lecture. Il est juste de dire que chaque lecteur est aussi spectateur en imaginant ce qu'il lit. Que ce soit sous forme écrite ou bien sous forme de spectacle, chaque pièce peut apporter réflexion à tout bon entendeur. L'auteur utilise un scénario, une action

6, qu'Euphrosine serait promise à Arlequin; à la scène 7 Cléanthis a ordonné à son ancienne maîtresse d'accepter l'amour d'Arlequin. II. Projet de lecture La scène 8 marque la véritable "bascule" de la pièce. Le registre comique rencontre brutalement le registre pathétique, voire tragique. L'œuvre quitte le domaine du simple divertissement et peut alors prendre toute sa portée morale. III. Composition au passage 1. Arlequin s'approche d'Euphrosine :intimidé, il ne sait comment débuter

dans sa propre réflexion et en lui montrant la conséquence de certaines actions grâce à un monde fictif, totalement imaginé par l’auteur, que le lecteur pourra retranscrire dans la vie réelle. Ce pendant, la première fonction du roman reste le divertissement. En effet, avant de vouloir réfléchir, le lecteur cherche avant tout à se reposer, à se détendre ou sinon, à s’ « évader » du monde réel. Le roman a tout d’abord été le récit d’une aventure fantastique, comprenant un personnage idyllique vivant

réellement revivre un événement. ⇨ Une dramaturgie du miroir Pas de représentation du réel, on tend un miroir au spectateur dans lequel il se reconnaît. Ainsi selon Rey-Flot, les mystères seraient à l’opposé du théâtre de divertissement. La farce, un simple intermède ou un spectacle autonome ? Au moment le plus critique, il sert d’abord à désamorcer la tension. « Farce » du latin médiéval « farca » => farce que l’on met dans un plat ; intermède à l’intérieur d’une représentation

Rochefoucauld et de La Bruyère, dont la compréhension est nécessaire pour analyser l’œuvre de Madame de Lafayette, leur visions du monde étant proches, voire concordantes, je me réfère à l’étude de la pensée de La Rochefoucauld par Jean Lafond, à la lecture des Caractères de La Bruyère par André Stegmann et à celle des Pensées de Pascal par Dominique Descotes. 5 Et finalement, quant à l’analyse de l’œuvre de Madame de Lafayette, je me réfère surtout à la critique thématique et phénoménologique, et

contexte, et éventuellement la place de l’extrait dans un ensemble. 2-présentation de l’orientation de lecture choisie, ou d’une « problématique » 3- annonce du plan adopté pour traiter ce projet de lecture. Ici ces trois éléments sont différenciés par les couleurs : noir / bleu / rouge -le paragraphe de commentaire doit absolument éviter la « paraphrase », c'est-à-dire les redites et la simple description du texte. Pour cela, vérifier la logique de la construction de ces paragraphes : observation