La Liberté Est Innée

hommes le bonheur en échange de leur liberté. (Dostoïevski) B/ Pour déchiffrer les comportements humains, il faut chercher ce qu'ils fuient et non ce à quoi ils aspirent. (Schopenhauer) 1 Les hommes fuient la douleur plus qu'ils n'aspirent au plaisir. 2/ Là où toute douleur a disparu, c'est l'ennui et non le bonheur qui est au rendez-vous. L'ennui est le signe que le bonheur est inaccessible, voire n'est qu'une idée creuse. • « Il n'existe qu'une seule erreur innée, celle qui consiste à croire que

l’homme” selon l’expression de Hobbes, il devient nécessaire de recourir à la protection d’un État afin de prévenir les excès des comportements humains. L’État doit assurer à chacun des droits identiques sans quoi aucun citoyen n’acceptera de perdre sa liberté pour se soumettre à des lois. Il faut que soit créée une égalité des droits et des devoirs, une justice, si l’on veut donner naissance à un État pérenne qui ne soit pas remis en cause perpétuellement par des revendications égalitaires. Le seul

faire attention au mot « bien », nous saisissons que celui-ci suggère une irritation, un agacement. Cela vient très probablement du fait que le travail nous priverait de quelque chose. De quoi ? Manifestement de notre liberté. C’est donc un sujet qui porte sur travail et liberté . On peut formuler le problème en ces termes : le travail est-il ce qui nous aliène ou bien ce qui nous libère ? Le verbe « pousser » exprime l’idée d’une cause qui agirait sur nous, ce qui vient

1-la conscience comme substance Spiritualistes : Doute de tout, pas de vérité, tranquillité de l’esprit. Mais le septique se contredit car il dit à la fois une vérité et dit qu’il n’y a pas de vérité. Relativistes : A chacun sa vérité, liberté de pensée  donc aucune vérité commune  Objection ; chacun sa vérité = vérité commune  Aucune communication possible. La conscience peut-elle nous tromper ? La conscience, illusion du sujet ? La conscience est ambiguë : si rien n'est connaissable

la Différence, il indique l’ensemble des caractères qui distinguent une chose d’une autre, un être d’un autre ou encore un groupe d’un autre. Partant de ce fait, le Droit à la différence peut être défini comme la possibilité ou la volonté ou la liberté dont dispose chacun d’avoir des signes ou attitudes distincts de ceux des personnes vivant avec lui. C’est un droit qui permet de ne pas agir obligatoirement dans le même sens que toute autre personne parce que l’on pense trouvé on épanouissement

dans la mesure où l’homme a la particularité de mener une vie pratique de la partie « rationnelle » de l’âme. L’excellence de l’homme ne réside pas seulement dans l’usage de celle-ci mais bien dans son exercice. Il reconnait que la vertu n’est pas innée toutefois c’est ce que nous possédons d’une autre façon que par nature et qui ne survient que lorsque la raison produit ses effets. La vertu s’acquiert donc « contre-nature », bien que tout homme soit disposé par la nature à acquérir la vertu, si nous

faire et ce qu'il ne faut pas faire. Ils instaurent parfois même, des punitions, afin de nous faire réfléchir sur nos actes s'ils ont été mauvais et s'ils n'ont pas suivi la morale qu’ils nous ont enseignée. Un jeune enfant possédant une entière liberté dans ses actes et dont les parents ne se soucient pas particulièrement de l'éducation aura plus tard une conception différente de la conscience morale par rapport à un enfant qui aura, dans sa jeunesse, reçu de ses parents une éducation concernant

permises. Les normes sociales ne sont pas fixes et figées. Elles sont dépendantes du groupe social qui les a définis et, plus généralement, de la culture ou de l’histoire. Une norme sociale est toujours l’expression d’une collectivité donnée et n’est pas innée : elle s’impose à l’individu par l’intermédiaire d’une transmission sociale et repose sur une attribution de valeur. Elle définit un ensemble d’événements désirables pour le groupe qui émet la norme. La valeur est indépendante de tout critère de vérité

un élément essentiel, un moteur pour un enseignement réussi. Il me semble qu’au plus jeune âge la créativité était innée chez chacun de nous mais le système scolaire classique de nos jours parait être une certaine entrave au développement de celle-ci. La créativité est une part entière de l’homme qui, si elle n’était pas trop maitrisée par l’école actuelle, serait une part de liberté et une véritable ouverture de soi au monde. En pédagogie, la créativité peut servir à tout niveau, à se débrouiller

fait justement selon de règles bien précises, comme la tragédie antique ou la peinture du moyen âge ? Si la question était posée par rapport à ces périodes, la réponse négative s'imposerait. Mais dans la modernité l'art est vu comme un domaine de liberté. Nous allons considérer cette façon de voir l'art, sous l'impératif de création, d'aller vers l'inconnu, comme le voulait un Baudelaire. Se passer de règles voudrait dire que l'art se met en dehors des carcans que la culture d'une société lui impose