La Littérature Critique La Société

poésie de Kovács Ákos Ákos Kovács et sa poésie sont les sujets des quelques pages qui vont suivre, pour vous présenter ma perception de la littérature du 20.-eme siècle. Mon choix peut paraitre curieux aux premiers abords, puisqu’il y a énormément d’auteurs plus connu de la littérature dite classique. En effet ce n’est pas la littérature qui nous vint á l’idée e premier quand on évoque son nom, plutôt ses chansons et refrains tant entendus des médias. En regardant de plus prés, entre

que les arts ou les sciences mais ouvre aussi de nouveaux horizons aux Hommes, comme l'esprit critique, alors pourquoi peut-on trouver encore de nos jours de l'intérêt à l'étude de l'humanisme et de la renaissance ? Afin de répondre à cette question nous étudierons les mutations culturelles et anthropologiques de cette période pour ensuite développer l'idée d'actualité et de modernité de la littérature humaniste. Le XVIe siècle est le siècle de la renaissance, de la réforme et des guerres de

engagement. L’homme est le seul être vivant sur la terre qui possède la capacité de parler, c'est-à-dire agir et réagir avec les autres. En partant de cette réalité. La littérature prend naissance depuis notre existence. Par là, il était donc normal que le sujet d’engagement prend une place importante dans la littérature. Les écrivains sont d’abord des hommes qui appartiennent à leur époque, et même compte-tenu d’une sensibilité plus vive qui participe plus étroitement aux affaires marquantes

de chaque société la lutte des classes entretient une place centrale, que ce soit entre Hommes libres et esclaves, patricien et plébéien ou baron et serf, etc. Cette lutte, c’est à chaque fois terminée soit par une transformation de la société ou bien par la destruction de ces classes en lutte. Il a toujours existé une hiérarchie dans les classes que ce soit par exemple à la Rome antique ou au Moyen-âge. Marx, qu’explique que de nos jours (c’est-à-dire au 19e siècle pour Marx) la société bourgeoise

Edition : La littérature africaine a désormais sa « bible »... (MFI) Lylian Kesteloot est une spécialiste reconnue de la littérature africaine. Chercheur à l’Institut de recherches de l’Université de Dakar (IFAN) et chargée d’un séminaire au CIEF (littérature francophone) à la Sorbonne-Paris IV, elle vient de publier une Histoire de la Littérature négro-africaine qui apparaît d'ores et déjà comme une référence. Après avoir publié il y a une trentaine d’année sa première thèse de doctorat de lettres

que, lorsque celui-ci, du point de vue politique, capitula plus ou moins devant le communisme, le formalisme manifesta de toutes ses forces son opposition théorique au marxisme. » (Trotski, Littérature et révolution). Cela permet de comprendre l'importance qu'avait en Union soviétique, en 1924, l'école de critique littéraire baptisée « théorie formaliste » ou « formalisme ». Dès 1920, Roman Jakobson avait transporté à Prague l'esprit des recherches formalistes ; il fondait, en 1926, le Cercle linguistique

XVIIe siècle représente un tournant très important dans la mise en place du statut de l’auteur/écrivain. 1. Du point de vue social. On assiste à la constitution du « champ littéraire », ce qui signifie que la littérature (qu’à l’époque on n’appelait pas encore « littérature » mais Lettres ou Belles-Lettres) commence à se définir de manière autonome par rapport aux autres domaines de l’activité culturelle (les Arts par exemple), et, par conséquent, que les « auteurs »/écrivains acquièrent

artistique en devenir contre une critique virulente. La théorie du mouvement prend forme avec la publication du recueil d'articles de Champfleury (Ecrivain français, le Réalisme, 1857) et la création de la revue Le Réalisme en 1856 par Duranty (Romancier et critique d’art français). En 1857, Madame de Bovary, le roman de Flaubert, fait scandale. Contexte historique, économique et social Le mouvement réaliste naît au lendemain de la révolution de 1848 dans une société en pleine mutation, qui devient

dans la littérature africaine, une nouvelle orientation centrée sur les critiques des indépendances, les écrivains dressent alors un violent réquisitoire. Si la préoccupation de la littérature africaine d’avant 1960 (la négritude) portait sur deux thèmes : la réhabilitation de l’homme noir et de sa culture puis la dénonciation des abus du colonialisme et la lutte pour l’indépendance ; alors la préoccupation de la littérature des indépendances est l’analyse romancée et critique des sociétés africaines

accroissent leur influence sur les autres populations mondiales. Les Humanistes y voient une forme de progrès social. De la réflexion politique : les auteurs humanistes recherchent la voie d'une société idéale et équitable. Ce mouvement littéraire provoque une perte d'influence de l'Eglise sur la société. Celle-ci a pour conséquence : Le développement du Français (et des autres langues européennes) au détriment du latin. La naissance de courants spirituels dissidents, qui aboutissent à la Réforme