La Littérature Dénonce T Elle Les Injustices

quelle mesure la littérature peut-elle dénoncer les inégalités, les injustices, les scandales ? La littérature, du latin « littera » (la lettre) se définit comme une forme particulière de la communication verbale qui met en œuvre la richesse de la langue pour atteindre le destinataire. La littérature est souvent employée pour exposer des prises de position et a pu permettre de changer les mentalités. Dans quelle mesure la littérature peut-elle dénoncer les inégalités, les injustices, les scandales

le sujet de l’intolérance et du fanatisme religieux. Nous nous demanderons quelles sont les intentions des auteurs et les moyens utilisés pour atteindre leurs objectifs. On remarque que les trois auteurs ont écrit ces textes dans le même but : dénoncer l’intolérance religieuse. Ainsi le texte 1 traite d’un homme étranger aux querelles et différences entre les religions, se posant des questions sur leurs biens fondées : « Seigneur, je n’entends rien dans les disputes que l’on fait sans cesse à votre

ouvres. Ils utilise ainsi l’ecriture littéraire pour dénoncer des conditions sociales difficiles ou injustes, afin de montrer au peuple la voi à suivre. Nous pouvons alors nous demander en quoi la littérature en toutes ses formes est particulièrement apte a dénoncér les problèmes de la société. Autrement dit, quelles sont les ressources dont l’écrivain dispose pour montrer les injustices sociales ? Nous verrons, dans un premier temps, que la littérature utilise souvent l’ironie pour montrer les problèmes

dans quelle mesure la littérature est-elle un bon moyen de défendre des idées I- L'écriture engagée Depuis très longtemps, les romanciers (Dickens, Rousseau, Zola...) mais aussi des poètes, des dramaturges utilisent leurs oeuvres à des fins « sociale », en intervenant et/ou dénonçant certains abus de la société dans leurs écrits. A- Les moralistes Parlez de Molière par exemple : véritable moraliste. Désir de « corriger les vices des hommes » Castigat ridendo mores. Par le rire

Piacenza Liceo Gioia ELEMENTS DE CORRECTION POUR LA QUESTION SUR LE CORPUS Contexte : Quarta Thématique culturelle : XVIIIe siècle – Les Lumières Problématique de l’itinéraire : la littérature, une arme de combat (comment la littérature peut-elle être une arme de combat efficace ?) Objectifs : Après avoir étudié les textes, au terme de l’itinéraire, faire la synthèse sous forme d’un essai bref Travail en classe par groupe pour élaborer un plan et restitution orale avec vidéoprojecteur

Quel est le rôle de la littérature dans les débats d'idées ? Définitions ■ débat : Discussion d'un problème qui en examine tous les aspects et qui présente des positions diverses. ■ idée : Parfois synonyme de représentation mentale, parfois de concept (idée générale et abstraite); dans le platonisme, et avec un I majuscule, les Idées sont les modèles des choses, existant en soi, que l'âme contemplait avant son incarnation. Nous fabriquons les concepts, nous contemplons les Idées. I-

de la littérature. Elle est traitée depuis l’Antiquité, avec notamment la révolte des Titans contre les Dieux de l’Olympe, les héros des légendes mythiques tels Achille ou Héraclès, ou encore Prométhée qui a volé le « feu sacré » des Dieux pour le donner aux Hommes. La révolte fut ensuite traitée en littérature durant les différentes périodes de l’Histoire. L’écrivain du XXème siècle Albert Camus définit dans son essai L’homme révolté comme étant « un homme qui dit non ». Mais la littérature ne dit-elle

La littérature selon Sartre, a pour principal but d’agir sur les lecteurs. Il s’efforce de sauver les hommes de l’époque, des incertitudes, des hésitations et des obscurités . Grâce à la littérature nous avons pu voir évoluer notre société. Je vous montrerais comment, à travers certaines œuvres, elle s'est mise au service de la liberté et du progrès de l'humanité. Je vous parlerais tout d'abord de thèmes marquants tel que l' injustice de notre société ou encore de la peine de mort . Puis j'évoquerais

La littérature présente le paradoxe inhérent au fait qu’elle soit à la fois art et langage, de s’inscrire dans une dimension universelle mais aussi actuelle. Nombre de polémiques ont eu lieu, sur la fonction qu’elle devait ou non adopter, d’être utile ou d’être seulement expression artistique, sans autre légitimité que d’exister. Théophile Gautier et les tenants de « l’art pour l’art » allaient jusqu’à refuser toute utilité à la littérature, proclamant que « tout ce qui est utile est laid », tandis

La littérature présente le paradoxe inhérent au fait qu’elle soit à la fois art et langage, de s’inscrire dans une dimension universelle mais aussi actuelle. Nombre de polémiques ont eu lieu, sur la fonction qu’elle devait ou non adopter, d’être utile ou d’être seulement expression artistique, sans autre légitimité que d’exister. Théophile Gautier et les tenants de « l’art pour l’art » allaient jusqu’à refuser toute utilité à la littérature, proclamant que « tout ce qui est utile est laid »,