La Littérature Moyen De S Instruire De Se Divertir

Littérature Générale et Comparée Clémentine Blayo 16 avril 2008 20601514 Sujet de dissertation – Lecture de mondes imaginaires : « Il ne s’agit là que d’un récit de fiction, sans importance, une « bagatelle littéraire échappée comme à son insu » à la plume de l’auteur, comme le dit fort bien More. Il ne faut cependant point faire preuve de trop de naïveté face à ces déclarations […]. Sous l’apparente légèreté se cache en fait une critique sociale sans concession, car les sociétés

milieu bourgeois, à ses 24 ans, suite au succès de sa première tragédie philosophique, Œdipe. C’est chez les jésuites qu’il reçoit une solide éducation littéraire. Il se fait connaître pour divertir la haute société de son esprit mordant et abandonne vite ses études pour se consacrer pleinement à la littérature. C’est grâce au succès croissant de ses œuvres qu’il se fait connaître à la cour. Contexte de la publication : La première publication de Zadig de Voltaire s’effectue en 1747, à Amsterdam

de Pierre et Jean. Quelle définition donner à ce genre omniprésent qui lie épistolaire, picaresque,… ? Dans le dictionnaire de Furetière, on peut lire : « Livres fabuleux qui contiennent des histoires d’amour et de chevalerie inventées pour divertir et occuper des fainéants. » L’Académie française parle « d’ouvrage ordinairement en prose, contenant des aventures fabuleuses d’amour ou de guerre. » Dans l’Encyclopédie de Diderot, on peut lire : « Récit fictif de diverses aventures, extraordinaires

(j'vous rassure, je n'ai pas mis en ligne une dissert où j'ai eu 2/20 ;-) ) Objet d'étude n°2 – Etude d'un mouvement littéraire La littérature des Lumières Dissertation n°1 Sujet : Pourquoi, selon vous, certains écrivains préfèrent-ils recourir à la fiction pour transmettre des vérités ou des leçons ? Depuis des siècles, les écrivains cherchent à instruire leurs lecteurs par le biais de leurs œuvres. Cette volonté didactique s'affirme particulièrement au siècle des Lumières, époque à

d’emploi de la littérature. Ceci remonte à loin dans l’Antiquité. Depuis que la littérature existe on a besoin de faire le point. POETIQUE (et non poésie). 1er sens : poésis (grec) vient de faire, agir et donc produire, créer, agir sur un matériau du langage, de l’expression pour créer. La poésie est donc ce qui se fait, se refait avec les mots (la fiction, la fable). C’est donc approximativement un synonyme de littérature, car il y a une recréation de la réalité par le moyen des mots, la technique

. CITATIONS . 1. Horace,  Art poétique dans Œuvres , G.F., 1973, vers 334 344 : « La poésie veut instruire ou plaire ; parfois son objet est de plaire et d'instruire en même temps. Pour instruire, sois concis ; l'esprit reçoit avec docilité et retient fidèlement un court précepte ; s'il est trop plein, il laisse échapper tout ce qu'il a reçu de trop. La fiction, imaginée pour amuser, doit, le plus

progressivement en Occident, au point que le parchemin constitue le principal support de l’écriture pendant la période médiévale, avant l’apparition du papier. Il faut plusieurs peaux pour fabriquer un ouvrage (une quinzaine pour un livre de format moyen), ce qui entraîne un prix de vente très élevé. Jusqu’au XIIIe siècle, la production de manuscrits s'opère principalement dans les scriptoria monastiques. Les copistes les plus actifs travaillent non seulement pour leur propre monastère, mais jouent

et des institutions Apologue : Récit bref symbolique avec un enseignement moral 1. Récit argumentatif, ne se préoccupe pas de la vraisemblance 2. Leçon morale qui ne peut pas être formulée explicitement 3. Visée argumentative 4. Veut divertir et instruire 5. Principe de réalité (ex : chemin montré par la mère du petit chaperon rouge) qui s’oppose au principe de plaisir (ex : fleurs que cueille le petit chaperon rouge). 6. Symbolisme : couleurs (ex : rouge = émotions violentes et sexuelles)

action noble, conduite jusqu’à sa fin et ayant une certaine étendue, en un langage relevé d’assaisonnements dont chaque espèce est utilisée séparément selon les parties de l’œuvre ; c’est une imitation faite par des personnages en action et non par le moyen d’une narration, et qui par l’entremise de la pitié et de la crainte, accomplit la purgation des émotions de ce genre. » Aristote, Poétique, chapitre VI, traduction de M. Magnien, Le Livre de Poche. La tragédie classique (XVIIe siècle) La tragédie

expliquer leurs découvertes au moyen de symboles. (Des symboles verbaux en littérature mais iconographiques en peinture etc..) Un autre but que les poètes tentent d'atteindre, c’est une certaine fluidité, un poème musical et pur. Ils inventent le vers libre, ils sortent de la métrique habituelle, d’une certaine rigueur. Les deux poèmes évoqués ci-dessous sont de bons exemples de ces caractéristiques. Un synonyme du symbolisme pourrait être l’idéalisme de la littérature. 2.2. Chanson d’automne, Paul