La Littérature Une Juste Vue Du Monde

Le problème du vrai sens d’un texte, la réception de celui-ci fait débat dans le monde de la littérature. En effet, l’écrivain-poète Paul Valéry s’exprime à ce sujet : « Il n'y a pas de vrai sens d'un texte. Pas d'autorité de l'auteur. Une fois publié, un texte est comme un appareil dont chacun peut se servir à sa guise ». Selon Valéry, l’auteur ne serait pas garant du vrai sens du texte, il ne ferait pas autorité. Après la pu-blication, le texte est remis au lecteur tel un « appareil » dont

physique n'enseigne pas un point de vue c'est a dire une opinion dépendante de ses idées ou de ses préférences mais il enseigne des vérités objectives basé sur le concret. Arrivés à ce point certains émettrons une objection contre la légitimité de la philosophie, en effet si la philosophie n'est pas une science elle ne pourrait pas être une discipline sérieuse,idée qui repose sur un présupposé qui est que la science étant sérieuse tout le reste ne serait que littérature. Parvenu à ce stade il est donc

mais aussi dans le monde francophone ou anglophone. Auteurs de nombreux articles et de conférences, notamment sur le rôle des femmes dans la culture et la littérature, elle fut directrice des Lettres et de la Propriété Intellectuelle au Ministère de la Culture au Sénégal, fondatrice du Centre Africain d’Animations et d’Echanges culturels, du Bureau Africain pour la Défense des Libertés de l’Ecrivain, du Centre International d’Etudes, de Recherche et de Réactivation sur la Littérature, les Arts et la

de synthèse, il sera intéressant d’amener les élèves, en groupe ou de manière plus individuelle, à compléter le tableau ci-dessous avec les pour et les contre mis en avant par les personnages de cette histoire ainsi que les deux visions de la littérature qui

secrètement en lisant les pages de ce roman ne pas être confronté un jour à l’absurdité, à la folie de l’expérience du personnage central. En toile de fond, Olympe Bhêly-Quenum dépeint avec une maîtrise de la langue française la société coloniale, le monde rural, le bagne. Un coup de coeur dont le souvenir ne risque pas de s’estomper. Bonne lecture Olympe Bhely-Quenum, Un piège sans finEdition Présence Africaine, 284 pages 1ère parution en 1960 …………………………………………………………………………………………………………………………………

révolution française et l’industrialisation ont ouvert l’âge d’or de la culture, la société s’ouvre au monde et à la connaissance. La multiplication des découvertes scientifiques : D’incroyables découvertes permettent au siècle d’être résolument moderne, on pense que l’homme va nécessairement s’améliorer (progrès). Valorisation de la raison et des démarches scientifiques, même dans la littérature. Le rejet du romantisme : Fin de la nostalgie de la royauté, l’idéal naturaliste devient l’aspiration

vieillesse était vue comme une bénédiction divine car pour ces sociétés anciennes la vieillesse touche au monde du sacré : une longue vie est donc une récompense divine accordée aux justes. De plus, le vieillard ayant plus d’expérience et de sagesse, joue un rôle politique important dans toutes les sociétés anciennes du Proche-Orient ainsi que dans le domaine judiciaire. En conclusion, la condition du vieillard au Moyen-Orient ancien semble relativement supportable. Chapitre II Le monde hébraïque : du

gigantesque, mais nous verrons que ça vaut la peine. Nous retrouverons un écrivain de notre époque, très lisible, dans lequel le peuple pourra encore facilement se reconnaître. D’ores et déjà, je pense que l’invitation lancée par Jean Cocteau est très juste : « On devrait le relire (2). »   Le « lyrisme prophétique (3) » de Zola est d’une grande actualité. Il sait encore libérer notre imaginaire. Il a cette force inouïe qui traîne le peuple. Écrivain « rouge sang (4) », emporté par l’énergie de la parole

l'ami comme vertu quand on ajoute un sentiment d'attachement à autrui. Le premier commentaire qu'appelle ce tableau : dimension temporelle, contextuelle. Par exemple, aujourd'hui on peut retenir un enjeu qui peut être retenu parce qu'il y a une littérature importante sur ce sujet. On assiste a un renouveau de la pensé des vertus sur la crise environnementale. On peut y distinguer les grandes traditions éthique. Une approche déontologiste, utilitariste et par la pensée des vertus. On assiste a un renouveau

par l’amour, la souffrance, la solitude, la fuite du temps, la mort est traduite par l’utilisation du lyrisme. Or ce lyrisme est une tonalité majeure de la poésie romantique. Mouvement littéraire du début du XIXème siècle, le romantisme est une littérature du « moi », de l’individu. Ce mouvement met en scène des œuvres où on peut observer une exaltation du « je ». Les poètes romantiques s’accordent une liberté totale, ils prônent une esthétique de la prose. C’est en ceci qu’on pourrait dire que Les