La Loi Des Rendements Decroissant

capital. Il est nécessaire d’établir la combinaison productive la plus judicieuse possible afin d’avoir les rendements maximum. La combinaison productive montre l’état technique à un moment donné avec les contraintes technologiques. Pour les classiques tels qu’A. Smith ou D. Ricardo, on considère que la production augmente lorsque les facteurs de production augmentent ce qui donnerait des rendements constants. Pour augmenter la production on peut donc augmenter les facteurs de productions. C’est ce

vapeur et le début de la révolution industrielle * Phase décroissante 1814-1849 2éme cycle : * Phase croissante 1849-1873 avec comme innovations la mise en place du chemin de fer et l’utilisation de l’acier * Phase décroissante 1873-1896 3éme cycle : * Phase croissante 1896-1920 avec comme innovations l’électricité, le développement du système bancaire et l’automobile * Phase décroissante 1920-1939 4éme cycle : * Phase croissante 1953-1973 avec

croissance économique Selon les monétaristes, un pays s’enrichit grâce aux nouvelles réserves d’or trouvées. D’après les théories néoclassiques de spécialisation du commerce international développées par Adam Smith (1723-1790) (loi des avantages absolus) et David Ricardo (1772-1823) (loi de avantages comparatifs), le libre-échange permet la croissance économique. L’évolution des mentalités joue un rôle très important comme le montre le sociologue allemand Max Weber (1864-1920) Pour Joseph Aloys Schumpeter

» -Les capitalistes eux, se partagent la différence entre la valeur de la marchandise et le montant des salaires versés. -Les propriétaires fonciers reçoivent une rente déterminée par l’écart de rendement de leur terre par rapport à celui de la terre la moins fertile. La valeur du prix du blé dépend de la quantité de travail mise en œuvre sur la terre la moins fertile. Les autres terres vendent le blé au même prix mais utilisent moins de quantité

implique des rendements croissants. Cependant, on a pu montrer que l’équilibre macroéconomique nécessite une fonction de production à rendements constants : c’est la "loi de l’épuisement du produit" : les revenus sont égaux à la production (c’est-à-dire qu’il peuvent l’acheter, mais ne pourraient pas acheter plus) s’il y a des rendements constants. Il apparaît donc nécessaire d’introduire un facteur particulier pour expliquer la croissance du produit par tête, tout en conservant des rendements constants

producteur 1.1 Les rendements et le choix de la combinaison productive optimal On ne peut améliorer indéfiniment la productivité et le rendement. On finit par atteindre une limite technique ou économique. Dans le cas des logiciel on le peut car il y a un cout fixe élevé qui diminue avec la quantité produite. La loi des rendements décroissant s’applique a la courte période ( période abstraite ou cour de la quel le facteur capital est constant, on parle de loi des marginaux décroissants)mais elle

production = maximiser les quantités produites en combinant les quantités de facteurs de production . * «  relation entre variation des quantités de facteurs utilises » INPUT * « variation des quantités produites » OUTPUT Loi fondamentale : lois des rendements décroissants On considère que le producteur ne peut pas maximiser les quantités produites indépendamment de ces ventes. Le prix de vente est détermine par le marché dans lequel le producteur n’a pas de prise PRICE –TAKER. Mais il peut

pédiode donnée. Fonction d'utilité: est une manière d'attribuer une valeur à chaque panier de consomation en accord avec les préférences du consomateur. U: X -> U(X) (x1,x2)>=(y1,y2) U(x1,x2)>=U(y1,y2) Utilité marginale: généralement positive et décroissante. Elle diminue au fur et à mesure que la consomation du bien augemente. Si le bien crée des nuissances alors l'utilité marginale sera négative et croisance. (Ex: le 50è verre à boire= gène, nuisance). Courbes d'indifférence: corespondent aux courbes

dans ce chapitre et le suivant. • La section 4.1 commence par la fonction de production, notion qui fournit une représentation claire et maniable de l’aspect physique et technique des activités de production. Cette notion est complétée par elles de rendements d’échelle et de productivité. • La section 4.2 considère ensuite la valeur économique des inputs, c’est-à-dire les coûts de production, tels que décrits successivement par les isocoûts, et les fonctions de coût total, de coût moyen et de coût marginal

budgétaire et ensemble d’opportunité, rapport des prix. 3. L’ensemble des possibilités de consommation intertemporelles : taux d’intérêt et comportement d’épargne. 4. L’ensemble des possibilités de production : taux marginal de transformation, loi des rendements décroissants, efficacité et croissance économique. Echanges internationaux. 1. Faits stylisés : degré d’ouverture et importance des échanges, destination et composition des échanges. 2. La théorie des avantages comparatifs. 2.1 spécialisation et coût