La Machine Infernale Jean Cocteau

INTRO En 1932, Jean Cocteau rédige et fait jouer La Machine infernale, pièce de théâtre dans laquelle il réécrit le mythe d'OEdipe. 1) UNE SCENE THEATRALE A VOIR ET A ENTENDRE A) L’INTENSITE D’UNE ACTION CONDENSÉE ET ACCELEREE B) LA VARIETE ET LE JEU DES OPPOSITIONS C) A VOIR, A ENTENDRE, ET A IMAGINER 2) SOUS LE SIGNE DE LA TRAGEDIE GRECQUE A) ELEMENTS DE LA TRAGEDIE GRECQUE Trag grecque à dieux « les dieux te pardonnent »(l.7) à excès puni (jocaste abandonne son enfant, meurt à la fin) à voc

La machine infernale de Jean Cocteau. Auteur :L'auteur de cette pièce est Maurice Eugène Clément Jean Cocteau, né le 5 juillet 1889 et mort le 11 octobre 1963 à l'âge de 74 ans. Jean Cocteau est né d'une famille bourgeoise, à l'âge de 15 ans il entre au lycée Condorcet mais est renvoyé pour indiscipline, sans son baccalauréat. Son premier recueil de poèmes La lampe d'Aladin est publié en 1909, durant toute sa vie il côtoie des artistes connus tels que M.Proust, R.Radiguet, Apollinaire et P

JEAN COCTEAU (1889 - 1963)   [pic]   LA GENESE DU "SURREALISTE"     J'AI L'AGE DE LA TOUR EIFFEL !   Né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte, Jean Cocteau prit place dans une famille bourgeoise, entouré de son père, rentier, de sa mère et de leurs deux autres enfants, Marthe (12 ans) et Paul (8 ans). Il passa son enfance au grès des réceptions musicales que donna son grand-père. Ce dernier, d'une grande culture artistique, n'avait de cesse d'initier le petit cancre de la famille à la musique

Jean Anouilh écrit dans Antigone que la tragédie est reposante parce qu’on sait « qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir ; qu’on est pris, qu’on est enfin pris comme un rat, avec tout le ciel sur son dos ». Introduction : Jean Anouilh développe une vision plutôt mauvaise de l'humain. Les mythes antiques contraint les dramaturges à faire périr Antigone et Jocaste, à salir les mains d’Oreste du sang d’Egisthe et de Clytemnestre, à crever les yeux d’Œdipe. A moins de transgresser radicalement

lecture La machine infernale Récit mythologique Jean Cocteau (1889 - 1963) 1. Analyse du titre Tout d’abord, le titre « La machine infernale » est ambigu : en effet, on pourrai penser qu'il s’agit d’un drame policier, ou d’un roman de science fiction, alors qu’il s’agit d’une histoire qui se passe dans l’antiquité et qui raconte le mythe d’Œdipe. Le terme « machine infernale » est une métaphore, qui compare l’action des dieux sur Œdipe à une ’machine infernale’, notamment “machine” : ainsi

Titre : La Machine Infernale Auteur : Jean COCTEAU Editeur : Le Livre de Poche Date de publication : 1965 Langue d’origine : Français AUTEUR Jean Cocteau est né le 5 juillet 1889 à Maisons-Laffitte et mort le 11 octobre 1963 dans sa maison de Milly-la-Forêt. Il était un poète français, un artiste aux multiples talents, graphiste, dessinateur, dramaturge et cinéaste. Il compte parmi les artistes qui ont marqué le XXe siècle. LE TITRE Le titre de la pièce est « La Machine Infernale » car on

de théâtre La Machine infernale de Jean Cocteau et la page de bande dessinée Cinémastock de Gotlib et Alexis sont une réécriture mais aussi une parodie de Hamlet de William Shakespeare. Sur quels procédés repose la parodie de ces deux œuvres ? Premièrement, nous nous baserons sur la pièce de théâtre de Jean Cocteau, puis deuxièmement sur la bande dessinée de Gotlib et Alexis. Tout d’abord on peut constater des passages comiques, comme dans la pièce de théâtre de Jean Cocteau, au moment où Jocaste

Commentaire : La Machine Infernale de Cocteau Jean Cocteau est née en 1889 à Maisons-Laffitte. Cet artiste aux multiples talents est considéré comme un des artistes ayant touché le XXème siècle. Il a eu beaucoup d’impact sur la société de son époque. On peut dire qu’il a touché à toutes les formes d’art qui existe. Il fut élu à l’Académie Française en 1955. C’était un personnage mondain, grand ami d’Edith Piaf, il a même écrit pour elle. Il vit tellement mal sa mort qu’il en mourra de crise cardiaque

corpus met en relation trois textes théâtraux ainsi qu’une photographie. La première pièce est un extrait de la scène d’exposition de Beaumarchais intitulé Le Mariage de figaro publiée en 1784. Le document B est une œuvre de Jean Cocteau publié en 1934 appelé La Machine infernale. Ensuite, le troisième texte de théâtre est un passage de l’acte I d’Oh les beaux jours de Samuel Beckett édité en 1961. Enfin le dernier document est une photographie d’Yves Borrini qui est une représentation de la mise en

XXème siècle. On assiste en effet, entre les deux guerres mondiales et au début de la seconde, à la réécriture des tragédies héritées de l’âge d’or antique. Avec ce retour au mythe s’engage une réflexion sur le genre tragique en plein renouvellement. Jean Anouilh écrit dans Antigone que la tragédie est reposante parce qu’on sait « qu’il n’y a plus d’espoir, le sale espoir ; qu’on est pris, qu’on est enfin pris comme un rat, avec tout le ciel sur son dos ». Cette conception de la tragédie s’inscrit