La Machine Infernale Scene Ii Tableau Ii

découvre l’horreur et la souffrance qui seront, dès lors, à la base de ses œuvres I- Présentation de l’œuvre. L’œuvre : elle vient d’un des dessins qu’il a rapporté du front et qui font parti d’un important portfolio «Kriegsmappe» publié en 1924. Le tableau qu'il réalise en 1924 dénonce l'horreur des combats et les conséquences du conflit au travers de la souffrance atroce du blessé : "J'ai représenté avant tout les suites terrifiantes de la guerre. Je crois que personne d'autre n'a vu comme moi la

Exemples : Le prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant à une étape importante dans le déroulement de l'action. Les tragédies classiques sont divisées en cinq actes, l'action culminant généralement au quatrième . Une scène : Partie d'un acte ou d'un tableau au cours de laquelle le plateau est occupé par les mêmes personnages. Un tableau : Partie d'un acte caractérisée

des productions correspondent à l'apparition et à la disparition d'états d'esprit et de mœurs en relation avec le contexte historique. Il donne ensuite un grand nombre d'exemples historiques que l'on peut reprendre ici sous forme de tableau : b) Réalisez un tableau mettant en parallèle les époques, les œuvres et les caractéristiques communes. Que peut on conclure sur l’analyse de Taine ? L’analyse historique de Taine révèle un certain nombre de coïncidences historiques accompagnées d'explications

la fatalité ne pouvant justifier la déchéance du héros. Cette pièce marque le début du succès de Voltaire. * La Machine Infernale de Jean Cocteau Cette pièce de 1934 reprend très rapidement la pièce de Sophocle à laquelle Cocteau ajoute quelques innovations. Pour lui, les dieux sont mauvais et cruels et ils ont choisi Œdipe pour leurs petits jeux. Ici, Cocteau met en scène un Laïos pur de tout reproche : c’est Jocaste qui prend l’initiative de mutiler et d’abandonner l’enfant. De plus, une

« face » → « gorge » → « rondeur des cuisses » : balayage à la manière d'une caméra). D'une certaine manière, le portrait de Nana au miroir est une mise en abyme de l’esthétique réaliste qui rappelle la citation de Stendhal «  un roman est un miroir ... ». II – Qui prend une dimension mythique et symbolique a – Nana : un symbole Nana = symbole du peuple (métaphore de la plante + expression « les gueux et les abandonnés dont elle était le produit ») : Symbole d'un peuple miséreux et malsain (cf. champ lexical

la fiction dans la réalité : Allusion à des réalités connues du lecteur contemporain de Zola : « Le Grand-Balcon » = bal célèbre → c’est ce qu’on appelle un « effet de réel ». - Focalisation interne : « croyait l’avoir vu », « avait aperçu » → la scène est vue par le personnage : renforce son aspect vraisemblable, réaliste. Les personnages : → Gervaise : femme désespérée : vocab des pleurs (« fiévreuse », « joues trempées de larmes », « elle éclata en sanglots », « yeux voilés de larmes » → Elle

la mesure où celui-ci est construit sur une dualité : « un élément éternel » et « un élément relatif, circonstanciel ». Activité 3 : on demande ensuite aux élèves d’observer le tableau de Monet, et si quelque chose les frappe dans le traitement du sujet. Puis on les mènera vers une analyse plus détaillée. Le tableau est assez étonnant car le modèle, en tenue de promenade est de ¾ dos, et donc le spectateur ne peut quasiment pas la voir. On a l’impression qu’elle va nous quitter, ce qui est assez

prologue de La Machine infernale, de Jean Cocteau, récité par l'auteur ; le prologue d'Antigone de Jean Anouilh. Un acte : Partie d'une pièce correspondant à une étape importante dans le déroulement de l'action. Les tragédies classiques sont divisées en cinq actes, l'action culminant généralement au quatrième (Mots-clés). Exemple : La composition des Femmes savantes (1672), de Molière, résumée par rapport aux actions des personnages, est la suivante : I. Armande contre Henriette ; II. Philaminte

de Clèves 1678 Introduction - Ce que donne l’épopée dans le monde moderne. Monde du doute (comme dans Gargantua). Monde de la cour, monde de magnificences, alors qu’en réalité Mme de La Fayette va s’attacher à démolir cela, et mettre en scène les mensonges et les faiblesses de ce monde qu’elle semble célébrer. « Démolition du héros» Paul Benichou. (à propos de Molière et Racine) = Pessimisme fondamental, ambition moraliste qui s’inscrit dans cette démolition. Etre moraliste c’est décrire

C) Tirésias : l’oracle aveugle p.9 à 10 II) Œdipe dans les domaines de l’art p.12 à 18 1) Dans le domaine littéraire : p.12 2) Dans les autres domaines artistiques : p.13 à 17 III) Un mythe intemporel p.18 à 21