La Maestà

jaillir l'eau du rocher quand le peuple juif traversa le désert. 197. Titre en 1852: L'Homme libre et la mer. On rapprochera ce poème de La Musique (poème LXIX), de la deuxième strophe de Obsession (poème LXXIX), de Horreur sympathique (poème LXXXII), Maesta et errabunda (poème LXII), et, dans Le Spleen de Paris (Pl., t. I, p. 337-338), de Déjà! 198. Titre en 1846: L'Impénitent. Ce mot est commenté dans Un mangeur d'opium (Pl. I, p. 491). Outre de probables sources plastiques (deux toiles de Delacroix

molto occupati, e scrivevano senza tregua alla loro nobile parentela sparsa per tutta la Francia, e attendevano a mille piccole cose, e continuavano a farsi le cerimonie restando l'uno in faccia all'altro come estranei, e potevano sempre trattare con maestà le faccende più insignificanti. Quell'omino e quella donnina, così piccini, così corretti, così precisini, e come impacchettati nella biancheria, sembravano a Giovanna, sotto l'alto soffitto annerito del salone disabitato qualcosa come una marmellata

décennies après la mort de la reine, le virulent satiriste Juvénal esquisse une timide apologie de la magnanimité de Cléopâtre, citée parmi les plus grandes guerrières, aux côtés de la reine de Babylone : quod nec in Assyrio pharetrata Sameramis orbe, maesta nec Actiaca fecit Cleopatra carina.2 [ce que ne fit point, dans l’empire assyrien, Sémiramis, le carquois sur l’épaule, ni, sur son vaisseau d’Actium, Cléopâtre affligée.] Prise de peur, Cléopâtre combat sur les rives d’Actium mais Juvénal se

Hécube et des Troyennes ; les images, la gestuelle des personnages valent pour didascalies, les passions sont exprimées uniquement par les personnages, à tel point comme les didascalies : Fidae casus nostri comites soluite crinem, per colla fluant maesta capilli tepido Troiae pulvere turpes : paret exertos turba lacertos ; veste remissa substringe sinus uteroque tenus pateant artus. Cui conjugio pectora velas, captive pudor ? Cingat tunicas palla solutas, uacet ad crebri verbera planctus furibunda