La Main Coupée

Dans ma deuxième partie, à partir de ce document et de mes connaissances, je vais faire un point sur la forte mortalité durant cette guerre. Pour commencer, les conditions de vie semblaient affreuses, du moins elles l’étaient. Dans « La main coupée », Blaise Cendrars, démontre à quel point la vie dans les tranchée était horrible « pour un sale coin, c'était un sale coin » dit-il, le temps de ce premier hiver de cette première guerre mondiale n'arrangeait rien, il évoque le champ lexical du

grand reporter. Grièvement blessé au début de la guerre, il est réformé et s'installe à Aix-en-Provence puis à Villefranche-sur-Mer et ne reprend l'écriture qu'en 1943 en rédigeant des récits autobiographiques avec L’Homme foudroyé (1945), La Main coupée, Bourlinguer. De retour à Paris en 1950, il participe à des programmes artistiques et des entretiens radiophoniques réputés avant de mourir d'une congestion cérébrale le 21 janvier 1961. L'œuvre de Blaise Cendrars, poésie, romans, reportages

période d'inactivité jusqu'alors. Mais le feu n'est pas mort, la braise reste chaude, prête à raviver ses flammes au moindre souffle. Souffle qui l'emportera en août 1943 et c'est L'homme foudroyé. Premier livre de la série qui verra paraître, La main coupée, puis, Bourlinguer. Il y aura encore Les lotissements du ciel et La banlieue de Paris avec des photographies de Robert Doisneau. En octobre 1949, il se marie avec Raymonne en Suisse. Modérant ses activités, il termine Emmène-moi au bout monde

boxait son oreiller jusqu’à faire saigner son moignon et jonglait avec des oranges pour apprendre à se servir de son bras gauche et du restant de son bras droit. 5° Qu’avez-vous pensé de ce court texte extrait d’un roman autobiographique : La main coupée ? Justifiez votre réponse. J’ai pensé que ce court texte reprend bien un roman autobiographique, car Blaise Cendrars emploie toujours la première personne du singulier. Blaise décrit tout ce qui se passe dans l’hôpital avec beaucoup de détails

tranchées. Mais en septembre 1915, il est grièvement blessé et perd son bras droit, ce qui lui enlève tout espoir de devenir un jour musicien. Il écrit L’or qui bouleverse les règles du genre romanesque. De cet incident la littérature connaît alors La main coupée en 1946 Il est naturalisé français en 1916. Ensuite vient une période du cinéma dans laquelle Blaise Cendrars se donne avec passion mais il abandonnera quelques années plus tard à faute de succès. C’est alors qu’il voyagera au brésil. Cela deviendra

faut. Il se fait même respecter par ses soldats, et lui-même les respecte, car il les considère, pour la majorité, comme des amis. Blaise Cendras, comme l’indique le titre de son roman, perdit sa main lors d’une offensive allemande. Celle-ci fut coupée par un obus. Bien que n’ayant plus qu’une seule main, le narrateur ne renonce pas à continuer la guerre. Il se verra même attribuer des médailles comme la croix ou la légion d’honneur, mais il ne les acceptera pas. Très modeste, il revendique souvent

les plus actives lorsque le sujet bouge volontairement la main ( ce que je fais, avec quoi ) devant montrer ( résultats

gauche et la main droite. « Eh, mon Dieu ! lui dit Candide en hollandais, que fais- tu là, mon ami, dans l'état horrible où je te vois ? - J'attends mon maître, M. Vanderdendur, le fameux négociant, répondit le nègre. - Est-ce M. Vanderdendur, dit Candide, qui t'a traité ainsi ? - Oui, monsieur, dit le nègre, c'est l'usage. On nous donne un caleçon de toile pour tout vêtement deux fois l'année. Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous attrape le doigt, on nous coupe la main ; quand nous

votre verre, mais ne le bougez pas si c'est un serveur. • À la fin du repas, posez la serviette sur la table à coté de l'assiette sans la replier. |Tenir les couverts de table | • La fourchette se tient fermement dans le creux de la main sans poser l'index sur les dents. • Le couteau ne se serre pas dans le poing fermé, comme un poignard. L'index ne doit pas dépasser le cercle qui sépare la lame du manche. On ne le porte jamais à sa bouche. On ne l'utilise pas pour les oeufs, la

d’armes. Au centre, attachée par une grosse chaîne au mur, une main d’homme coupée au niveau de l’avant-bras. À l'expression de surprise du juge, l'Anglais répond : « C’est la main de mon meilleur ennemi. » Interrogé sur la raison de cette chaîne, Sir Rowell répond que la main voulait partir. Le juge croit à une plaisanterie. Une année plus tard, il apprend que l’Anglais a été assassiné. Il est mort étranglé, et la chaîne qui retenait la main au mur a été brisée. L’homme semble avoir lutté, car on