La Maison Hantée

LE DEPART DE MAX JACOB Adieu l'étang et toutes mes colombes Dans leur tour et qui mirent gentiment Leur soyeux plumage au col blanc qui bombe, Adieu l'étang. Adieu maison et ses toitures bleues Où tant d'amis, dans toutes les saisons, Pour nous revoir avaient fait quelques lieues, Adieu maison. Adieu vergers, les caveaux et les planches Et sur l'étang notre bateau voilier, Notre servante avec sa coiffe blanche, Adieu vergers. Adieu aussi mon fleuve clair ovale, Adieu montagne! Adieu

narguant les pions de mes jeunes rancunes, Je montais à l’assaut des pommes et des prunes Dans les vergers bordant les murailles des cours. Étant ainsi resté loin des autres élèves, Loin des bancs, tout un mois, à vivre au gré des rêves, Un soir, à la maison, craintif, comme j’entrais, Devant le crucifix où sa lèvre se colle Ma mère était en pleurs !... Ô mes ardents regrets ! Depuis, je fus toujours le premier à l’école. 14 Ma mère Quelquefois sur ma tête elle met ses mains pures, Blanches, ainsi

vain, sa mort m'avait tellement traumatisé et procuré une telle souffrance, que j'en étais incapable. Je crois que mon esprit avait occulté ce moment de ma vie. C'est donc troublée que j'allais récupérer dans un placard au fond d'une pièce de notre maison, quelques affaires qui lui appartenait. Je me rappelle encore nos conversations, et nos rigolades quand on se retrouvait pendant les vacances scolaires, lorsque nous étions encore adolescents et amis, avant que notre amour naisse. Puis nous avons

Page 46 - ''accroupi dans un coin'' : cela souligne le fait que le narrateur soit entièrement soumis à la tribu qui le torture, au point d'être accroupi dans le coin d'une pièce tel un chien qui se sent dominé. Page 47 - ''Et là, dans cette maison blanche, entre ces murs que le soleil brûlait'' : on souligne le fait que le lieu soit infernal pour le narrateur, ce qui amplifie la souffrance de celui-ci. Page 49 - ''fleuves de flammes au-dessus du désert'' : idem, cette figure de style donne

mourut à Croisset le 8 mai 1880.       De son vivant, on définit Flaubert comme étant le chef de l'école réaliste car il s'était donné pour objet d'étude la réalité sociale et historique. Deux veines d'inspiration se situent dans ses romans : l'une hantée par la tentation romantique et lyrique, l'autre tendue dans un perpétuel effort vers le réalisme le plus absolu.       A la partie réaliste, se rattachent des romans tels que Madame Bovary, jeune fille qui, après le mariage, s'ennuiera de tout. Elle

représentés avec une grande précision seraient, selon une tradition qui reste sans preuve, ceux du peintre. La terrer ou échoue le saint est un lieu couvert d'étranges constructions et peuplé d'habitants inimaginables_ le mal est partout. L'homme-maison n'est pas sans évoquer un bordel ainsi que très probablement al sodomie. L'architecture animale sauterelle-poisson dévorant un autre poisson incarne un monde en conflit total et permanent capable d'engendrer des dignitaires ecclésiastiques également

Tout s’annonce pour le mieux, le lecteur devrait partir serein. On peut remarquer le champ lexical de la beauté et celui de la courtoisie. L’auteur utilise le champ lexical de la beauté pour traduire son état d’esprit face à cette grande et belle maison comparée à sa modeste demeure. Il utilise le champ lexical de la courtoisie pour montrer sa surprise car elle n’est pas habituée a tant d’amabilité et de gentillesse, c’est la première fois qu’elle est considérée comme un hôte important. Un

"tour de la baignoire," participant de toilettes à travers Brooklyn, Manhattan et le Queens pour éviter d'incommoder quiconque pour plus d'une nuit. ("Je me sens toujours coupable demander des choses," explique t-elle.) Amis généreux ont ouvert leurs maisons, la traiter avec des cadeaux de bougies, chocolats et bain moussant; leur gentillesse quitté son accablé. Un peu plus tard, Loughlin prenait un bain dans l'une de ces toilettes, racontant l'incident à un ami travers la porte fermée, quand une idée

Aux abords du 20e siècle, est né le compositeur Romain Gary. Nombreuses furent ses œuvres et parmi celles-ci, on compte «Le luth», composé en 1961. Cette nouvelle nous transporte dans les tumultes de la vie d’un homme, le comte de N, hanté par ses désirs refoulés. Nous démontrerons que le comte de N, en dépit de l’image de confiance qu’il donne à voir, est en fait un homme qui cache à son entourage et à lui-même, sa vraie nature. Étant issu d’une classe sociale distinguée, le comte de N s’est vu

brusquement : c’est un évènement inexplicable par la raison et souvent désagréable pour le héros. Il arrive que c’est ce dernier qui provoque l’apparition du fantastique, parce qu’il dérange des forces obscures ( il entre par exemple dans une maison hantée, dans un lieu chargé d’histoires maléfiques…) ou qu’il transgresse un interdit qui lui a été signifié ( il pénètre la nuit dans un cimetière, il ouvre un boite scellée…). Ce phénomène perturbe le personnage, provoque sa perte et fait naitre un