La Maison Hantée

présente sous la forme d’un journal intime écrit à la première personne du singulier, celui d’un homme hanté par son double, invisible, un être surnaturel qui agit à son insu ; le Horla , dont il perçoit chaque jour la présence de plus en plus obsédante. Cette folie le conduira à de nombreuses actions insensées, lui-même ne comprend pas ce qui lui arrive. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison afin de se débarrasser de son double et laissera brûler vif ses domestiques. Le héros habite dans

Henri Fournier est né le 3 octobre 1886 à la Chapelle-d'Angillon, au nord du département du Cher, dans la petite maison de ses grands-parents maternels. Fils d'instituteurs, il passe son enfance en Berry. Après cinq années passées à Marçais, près de Saint-Amand-Monrond, il suit son père, nommé en 1891 directeur de l'école d'Epineuil-le-Fleuriel, le dernier village au sud du département, non loin de Montluçon L’enfant y sera son élève jusqu'en 1898, avant d'entrer en sixième, comme pensionnaire

être malfaisant qui se nomme le Horla. Il sombre peu à peu dans la folie en cherchant à se libérer de cet être qu’est le Horla. Ce dernier est un être surhumain qui le hante et agit la nuit, durant laquelle, il absorbe sa vie. Cette folie le conduira à de nombreuses actions insensées. Il en viendra même à mettre le feu à sa maison et laissera brûler vif ses domestiques. Dans les dernières lignes de la nouvelle, face à la présence de cette présence qu’il ne supporte plus, il entrevoit le suicide comme

vécus par ces soldats. Pour les honorer, il s’imprègne de leur mémoire et les fait revivre au cours de son récit. « J’offrais mes insomnies à leur souvenir. Le jour, mon imagination à leur sacrifice ». Tesson opère aussi un voyage introspectif, il est hanté par les souffrances de ces fantômes et comme Ulysse dans

le genre fantastique avec la présence de phénomènes surnaturels au film d’horreur avec un personnage principal prêt à exterminer toute sa famille. Aujourd'hui considéré comme un classique du cinéma d'horreur. Il intègre deux concepts : la maison isolée et hantée, et les perceptions extrasensorielles d'événements passés et futurs. Jack Torrance, ancien enseignant désirant écrire un roman se fait engagé comme gardien d’hiver par le directeur de l'hôtel Overlook, un somptueux hôtel niché en haut des

corps se rapproche dans l'obscurité croissante. Les rires de plus en plus nerveux s'arrêtent brusquement quand surgit devant eux le manoir d'Unheimlich. Le silence est vite brisé par un jeune homme: « -Qui veut entendre la terrible histoire du manoir hanté de Sarrebourg? Demanda t-il d'un ton grandiloquent, insistant sur le mot « terrible ». Tous la connaissait, pourtant ce fût un oui enthousiaste et unanime. -C'était au siècle dernier, le couple qui habitait là était le plus important et le plus riche

adultes (Hemingway, Kipling et Steinbeck), sous l'émerveillement de Mme Folyot. Le père de Matilda, M. Verdebois, est une sorte de marchand de voitures d'occasion, un concessionnaire peu scrupuleux qui monte des arnaques et floue ses clients. À la maison, il fait de nombreuses remarques à Matilda sur ses occupations qu'il juge inutiles, sur son intellect qu’il prétend vain. Sans surprise, Matilda n'aime pas ses parents qui la considèrent comme une idiote, alors qu'eux-mêmes sont malhonnêtes et fainéants

(lui et son valet ont pénétré de force dans un château). Il se trouve certainement en Italie (car l’histoire se déroule dans les Apennins).Il est très cultivé (référence à Mistress Radcliffe écrivain de son époque qui écrivit un roman sur une maison hantée) Il a une très grande connaissance de l’art et de la peinture: il est très intéressé par un livre qu’il trouve dans la chambre, contenant l’analyse des tableaux et de leurs histoire. Il aime la lecture. 5) L’histoire se déroule dans

délecter d’un met rappelant les saveurs d’une cuisine généreuse. Il était un homme simple, sans manière, ni principe mais qui aimait être apprécié. Il avait les cheveux courts, beau garçon, et déjà quartenaire. Sa vie était déjà bien entamée. Dans cette maison, il était le client d’une serveuse, jeune et jolie fille. Elle avait environ la vingtaine, la peau toute juvénile et une odeur à faire épanouir un prince. Elle gérait avec son père le lieu d’accueil et était donc la serveuse. On pouvait distinguer

Acte I - Arnolphe, qui vient de changer son nom en celui, plus aristocratique, de « M. de La Souche », est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal ; mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été maintenue dans l'ignorance. Arnolphe rencontre ensuite Horace, fils d’Oronte