La Maison Hantée

lance quand soudain il me rattrape. Ses bras m’entourent, je me sens en sécurité. Il me souffle dans le creux de l’oreille qu’il veille sur moi et que je peux compter sur lui. Je me réveille en sursaut, couverte de sueur. Qui est donc cet homme qui hante mes nuits ? Je sens une présence familière, mais que je ne connais pas. Un sentiment d’habitude qui m’effraie. Je quitte l’église en remerciant le prêtre qui a mené une oraison que mon père aurait beaucoup apprécié. L’ecclesiaste me demande

révolution de 1848, il perd les élections face à Napoléon 3. Il terminera sa vie tristement en 1869. Ses œuvres s’inspirent de sa vie. Médiations poétiques(1830) (Julie), Harmonies poétiques (hanté par la mort).Jocelyn (Amour) Recueillements(1839) L’histoire des Girondins(1847) et La vigne et la maison(1857). 1.3 Musset Alfred de Musset (1810-1857), brillant, il est introduit chez Victor Hugo. Fasciné par le théâtre, il considère la poésie comme le moyen d’exprimer le mal du siècle. Il ne

la solitude. Tout ce qu’elle souhaite c’est que Léopold devienne fou pour être seule : Cette accumulation illustre à qu’elle point Marie-Lou souhaite d’être seule dans sa vie. D’ailleurs, Manon souhaite aussi la solitude, en s’isolant dans la maison de ses parents, en n’ayant pas d’amis, et en brisant les ponts avec sa sœur. Bref, Manon ressemble à sa mère car les deux sont coincées sexuellement et elles veulent vivre dans la solitude. Par la suite, Manon ressemble plus ou moins à Léopold

dans laquelle il se trouve, l'idée de la mort ne le hante plus en présence de sa petite fille. "Marie, ma petite Marie" l.8, "je l'a serait violement contre ma poitrine" l.9, exprime la joie du père à la vue de sa fille, mais très vite, le rêve va tourner au cauchemar. Le retour à la réalité est violent lorsque Marie lui annonce que pour elle, son père "est mort", "il est dans la terre et dans le ciel" l.32 Elle lui dit "venez ce soir dans ma maison" l.37 Hélas, le narrateur réalise que ce soir, il

|De Brie | Résumé[ • Acte I - Arnolphe, aussi appelé M. de La Souche, est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Il fait part de ses projets à son ami Chrysalde, qui désapprouve la façon dont la jeune fille a été tenue

retrace la vie de l'auteur, troublé par l'amour, et par ses crises. Le narrateur raconte alors son amour sans espoir pour Jenny Colon, qui s'appelle désormais Aurélia. Il porte en lui une image qui, nuit et jour, le hante, et sombre ainsi dans la folie. On l'interne alors dans une maison de santé, où il sera pris en charge par le docteur Blanche. Plus tard il apprend la mort d'Aurélia, ce qui le jette dans le désespoir, mais se juge indigne de la rejoindre parmi les morts. Quelques années après cette

le parapet, déjà il sait, ne la cherche pluds, Tania a disparue. » p100« leur age de dilaté entre treize et dix sept, et c’est un seul et meme age, celui de la conquete:on detourne la joue du baiser maternel, on crache dans la soupe, on deserte la maison. » p15Chacune de ses citations sont en liens avec mes choix pour se livre, sur le fait de prendre sa liberté en sautant dans le vide le fait de se liberer,ou meme pour sylvestre un des personnages emprisonnés dans son passé, on voit la qu’il prend

connaissant tous des relations entre les deux amants. Il hante Thérèse, qui sombre peu à peu dans la superstition, et Laurent finit par croire que le spectre de Camille est entré dans le chat. Il le tue. Parmi tous ces personnages, certains interviennent, lors des soirées du Jeudi soir. Le Commissaire Michaud : C'est un ami d'antan, de Madame Raquin, ancien commissaire de police à Vernon, désormais à la retraite. Il habitait dans la même maison que celle-ci ( page 34 ). Son visage étalait une face

qu'une fois qu'il aura pénétré ce milieu qui lui semble si inaccessible et merveilleux. A la recherche du temps perdu – 1 - Le narrateur, lorsqu'il ne trouve pas le sommeil, laisse vagabonder son esprit. Dès le début, on a affaire à un personnage hanté par le temps, par la veille, le sommeil ou le rêve éveillé durant lequel il recrée son propre monde où tous les sens sont en éveil : l'œil s'habituant à l'obscurité, regardant une lanterne magique qui renvoie au passé dans un présent ou le baiser maternel

peu commune, aimant beaucoup les classiques, particulièrement Shakespeare. En 1856, elle donne naissance à Hervé, le frère cadet de Guy. Séparée de son mari volage en 1860, elle s'installe avec ses deux fils à Étretat. Guy passe son enfance dans la maison « Les Verguies » à Étretat, où, entre mer et campagne, il grandit dans l’amour de la nature et des sports en plein air ; il va pêcher avec les pêcheurs de la côte et parle patois avec les paysans. Il est profondément attaché à sa mère. À l'âge de