La Maison Nucingen

qu’autrefois se trouvait la maison Vaquer (côté impair) a été reconstruit et est maintenant un bâtiment très moderne.Quartier de la Chaussée d’Antin L'appartement de Delphine de Nucingen et de Rastignac se situe rue d'Artois dans le quartier de la chaussée d'Antin (9ème arrondissement de Paris, rive droite de la Seine).Ce quartier est, à l'époque de Balzac, le quartier des « nouveaux riches ». C'est le Quartier de la nouvelle bourgeoisie avec l'hôtel de Restaud, la maison de Nucingen, et enfin la garçonnièred’Eugène)

thèmes les plus importants de l'œuvre d'Honoré de Balzac et elle est très présente dans "La comédie humaine". Une citation d'un personnage de "La maison Nucingen" y fait notamment référence : «tuer les passions ce serait tuer la société». C'est un roman qui retrace l'histoire d'Eugène de Rastignac, jeune homme ambitieux, qui après avoir séduit Delphine de Nucingen s'associe en affaires avec son mari. Eugène de Rastignac est un personnage qui commence son ascension sociale. Dans "Le père Goriot", c'est

quartier Latin. Elle représente socialement les «petits» bourgeois et les étudiants Quartier de la Chaussée d’Antin L'appartement de Delphine de Nucingen et de Rastignac se situe rue d'Artois dans le quartier de la chaussée d'Antin., le quartier des « nouveaux riches ». C'est le Quartier de la nouvelle bourgeoisie avec l'hôtel de Restaud, la maison de Nucingen, et enfin la garçonnière d’Eugène. Au centre, c’est le quartier des Halles, celui des affaires, où résidait Goriot. Faubourg Saint-Germain :

exploiter par Andoche Finot dans une revue où collabore aussi Rubempré, il fréquente les mêmes gens qu'il démolira le lendemain sur commande dans le journal de Finot. 1829-1830 : dans Splendeurs et misères des courtisanes, il est un des habitués de la maison d'Esther Gobseck rue Saint Georges. Irrespectueux des gloire littéraires, il parie dans Modeste Mignon de faire perdre sa superbe au poète Melchior de Canalis en fixant obstinément ses cheveux, ses bottes et son habit. Canalis perd en effet contenance

Tu connais bien Nucingen, dit Bixiou, dans les premiers temps, Delphine(1) et Rastignac le trouvaient bon ; une femme semblait être, pour lui, dans sa maison, un joujou, un ornement. Et voilà ce qui, pour moi, rend cet homme carré de base comme de hauteur : Nucingen ne se cache pas pour dire que sa femme est la représentation de sa fortune, une chose indispensable, mais secondaire dans la vie à haute pression des hommes politiques et des grands financiers 1-.Delphine de Nucingen, fille de Goriot

EUGENIE GRANDET par Martine REID   I. L'HISTOIRE Tonnelier devenu extrêmement riche à la suite de la Révolution, Félix Grandet vit à Saumur dans une maison froide et triste. Sa femme, sa fille Eugénie et sa servante Nanon subissent au quotidien son avarice sordide, ses colères de despote. Le 15 novembre 1819, Eugénie a 23 ans. Parents et amis sont réunis quand un élégant jeune homme se présente : c'est Charles Grandet, le cousin d'Eugénie. Pendant que Félix Grandet apprend par une lettre

explore un aspect particulier de la société française de la première moitié du XIXe siècle. Ils peuvent être résumés sous la structure suivante : 1. Étude des mœurs. C’est la partie la plus importante. Elle contient les : Scènes de la vie privée (La Maison du Chat-qui-pelote, Le Colonel Chabert, Le Père Goriot…) Scènes de la vie de province (Le Lys dans la vallée, Eugénie Grandet, Illusions perdues…) Scènes de la vie parisienne (Sarrasine, Splendeurs et Misères des courtisanes…) Scènes de la vie

comtesse Ferraud et Derville au Colonel Chabert, le comte de Sérisy à Un début dans la vie, le baron Auguste de Maulincour à Ferragus, Gondureau, sous le nom de Bibi-Lupin, à Splendeurs et misères des courtisanes, la baronne Delphine de Nucingen à La Maison Nucingen (et à seize autres débouchés). A l'inverse, des personnages disparaissent. Ayant eu l'idée de faire de Eugène de Rastignac, personnage secondaire de La Peau de chagrin, le héros du Père Goriot qu'il est en train de rédiger, Balzac renvoie

présence de leurs « voitures armoriées » accuse paradoxalement leur absence. Le narrateur semble en outre avancer l’idée d’un lien presque métonymique entre les voitures et leurs propriétaires : si elles appartiennent désormais à l’aristocratie, Mme de Nucingen et Mme de Restaud n’en demeurent pas moins vides et dénuées d’amour et de gratitude. La générosité du défunt est restée sans effet : il est enterré dans l’indifférence avec les égards que l’on réserve aux indigents. Quelques accents pathétiques

campagne, 1833 * Eugénie Grandet, 1833 * La Recherche de l'absolu, 1834, 1839, 1845 * Le Père Goriot, 1835 * Le Colonel Chabert, 1835 * Le Lys dans la vallée, 10 juin 1836 * La Vieille Fille, 1836 * César Birotteau, 1837 * La Maison Nucingen, 1838 * Les Secrets de la princesse de Cadignan, 1839 * Béatrix, 1839 * Illusions perdues (I, 1837; II, 1839; III, 1843) * La Rabouilleuse, 1842 * Caractéristiques générales de l’œuvre : Le Colonel Chabert est un roman d’Honoré