La Marche des rois

philosophes des autres époques. Candide abandonne et se sauve de la bataille= acte moralement grave: il deserte. Voltaire dit de la guerre que cela est une boucherie= texte antimilitariste. « les 2 rois faisaient chanter des TE DEUM » = chant religieux, pour remercier Dieu d'avoir donner la victoire: les 2 rois pensent avoir gagnés la victoire, il va donc falloir tout recommencer. « candide passe au dessus des mourants » : il les as vu et les a ignorer, c'est le resultat de l'education de Langloss, sous

Souvent, pour s'amuser, les hommes d'équipage Prennent des albatros, vastes oiseaux des mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. À peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un

reviennent victorieux d'une bataille contre les rebelles. Interpellées, elles saluent le premier du titre de thane de Glamis et de Caudore et du nom du futur roi d'Écosse, tandis qu'elles prophétisent au second une vie plus heureuse et une descendance de rois. Les deux hommes restent stupéfaits de cette prédiction inattendue, mais, comme pour confirmer une partie de la prophétie, voilà qu'arrivent des messagers qui annoncent que Duncan a condamné à mort pour trahison le thane de Caudore : c'est Macbeth

Les albatros sont désignés par des périphrases montrant leur grandeur et leur majesté : vastes oiseaux des mers (v2), compagnons de voyage (v3), rois de l’azur (v6), prince des nuées (v13). La cruauté des marins :Dans ce contexte, Baudelaire décrit des marins cruels et brutaux s’en prenant aux albatros.

comparaison «  samblable », qui invite à réinterpréter la scène évoquée et permet de passer de l’anecdote à une allergorie, et donc, une nouvelle signification moral et philosophique. * La personnificatio de l’albatros : Le « prince des nuéess », le « rois de l’azur » sont des périphrases nobles qui idéalisent l’image du poète. Par ailleurs, l’animal est caractérisé par des sentiments humains : »insolent » , «  maladroit » , « honteux » . L’ensemble crée un réseau symbolique où l’albatros est le poète

peine, c’est son indépendance. La marche à pied permet en effet d’exercer sa volonté, sa liberté. De nombreuses expressions renvoient à cette idée de désir d’indépendance du marcheur : - verbes de nécessité : « dépendre » et « avoir besoin » employés à la forme négative « je ne dépends ni de […] ni de […] » (l.6), « je n’ai pas besoin » (l.7) ainsi que l’expression « à sa volonté » (l.2) insiste sur le libre arbitre dont dispose le marcheur. En effet, l’homme qui marche prend son destin en main et jouit

est une syllepse, qui à côté du sens propre énoncé, désigne le théâtre, la scène. Alors, l’albatros est en représentation pour le plaisir d’un public, les marins.● Le vers 6 est construit sur un parallélisme antithétique: la périphrase métaphorique « rois de l’azur » s’opposent dans le rythme binaire aux adjectifs péjoratifs « maladroits et honteux ». Cette opposition, que l’on retrouve par la suite dans le poème, s’inscrit dans une opposition plus vaste et plus spirituelle entre le ciel et le sol.

airs: le monde de lʼoiseau -  cet univers est caractérisé par le chp lex de la beauté, de la majesté. -  de la même manière, il comporte beaucoup de figures de style «nobles», comme la périphrase; ces périphrases connotent lʼidée de majesté («prince», «rois»), de liberté et de puissance («azur», «vastes», «voyageur»): aspect valorisant, univers ouvert, sans limites. -  le rythme des vers évoque le bien-être et lʼharmonie: v2 à 4, mais aussi plus simplement la beauté du vol de lʼalbatros; sonorités en

et de cet accompagnement est clair car si Oreste ne sait rien de ce qui l’attend, les Euménides, elles, le savent déjà. Elles incarnent la fatalité en marche, car le crime d’Oreste n’avait pas encore été commis qu’elles pistaient et suivaient déjà le futur assassin. La rapidité de leur croissance concrétise et illustre l’accélération de la marche du destin car au début de la pièce elles sont « petites », à la scène 12 de l’acte 1, elles sont âgées de « douze ou treize ans » et au dénouement, elles

baignaient ces rivages enchantés. Sa vaste maison, de trois mille pas de faÿade, s'élevait jusqu'aux nues. La plate-forme était entourée d'une balustrade de marbre blanc de cinquante pieds de hauteur, qui portait les statues colossales de tous les rois et de tous les grands hommes de l'empire. Cette plate-forme, composée de deux rangs de briques couvertes d'une épaisse surface de plomb d'une extrémité à l'autre, était chargée de douze pieds de terre, et sur cette terre on avait élevé des forêts d'oliviers