La Marchéisation Des Opérations Bancaires

Lexique de la banque Plus de 500 termes bancaires et financiers sont expliqués, des plus simples, comme carte bancaire, aux plus complexes, comme RTGS ou comitologie. Les définitions proposées sont indicatives, elles ne sauraient en aucun cas engager la responsabilité de la FBF. NOUVEAU ! Voir également le glossaire des principaux termes utilisés pour les opérations bancaires courantes. Les banques ont élaboré ce glossaire à caractère pédagogique dans le cadre du CCSF, auquel participent les

des problèmes d’ordre commercial, économique, financier et social. Dans ce tumulte, les entreprises de micro finance ont vu le jour pour satisfaire l’éventail grandissant des demandes des consommateurs notamment à faible revenu exclus du système bancaire classique. D’après la revue de presse Epargne Sans Frontière, « la micro finance désigne l’offre de produits et services financiers aux populations démunies, exclues des systèmes financiers traditionnels ; elle ne se limite pas seulement au microcrédit

liées à la création monétaire : la Banque Centrale, qui va conduire la politique monétaire et qui contrôle, régule le systèmes bancaire ; les banques ou intermédiaire financiers, qui reçoivent les dépôts des agents et accordent des prêts (banques commerciales) ; les déposants, agents économiques qui détiennent des dépôts bancaires ; les emprunteurs, les agents économiques empruntent aux institutions de dépôts sous 2 formes : 1) l’emprunt d’argent ;

la stabilité financière Service des Études sur les marchés et la stabilité financière Fruits d’innovations financières relativement récentes, les CDO (Collateralised Debt Obligations) sont des titres représentatifs de portefeuilles de créances bancaires ou d’instruments financiers de nature diverse. Au confluent de la titrisation et des dérivés de crédit, ces produits de finance structurée, en plein essor, recouvrent des montages répondant à différentes motivations des institutions financières,

dans la plupart des pays industrialisés un essor de la marchéisation financière (financement direct sur les marchés) au détriment de l’intermédiation (financement indirect par les intermédiaires) en respectant de la formulation de JOHN HICKS, une économie de marché se substitue à l’économie d’endettement. Cette évolution née dans les pays anglo-saxons, a été ensuite adoptée progressivement dans les autres pays. Les partisans de la marchéisation financière démontrent qu’elle conduit à une meilleure

Section 1 : Les intervenants dans une opération de titrisationSection 2 : Les techniques de titrisation des créances Chapitre 2 : La nouvelle Réforme juridique de la titrisation : la loi 33-06 Section 1 : Diversification des champs des actifs éligibles à la titrisation Section 2 : Elargissement du rôle de fonds de placements collectifs en titrisation Partie II – Risques et intérêts de la titrisation Chapitre 1 : Les intérêts que présente une opération de titrisation Section 1 : Les avantages

CHAPITRE 4 4. Les principales caractéristiques du système bancaire et financier français Le système bancaire et financier français 1 connaît depuis la deuxième partie des années quatre-vingt-dix une restructuration continue et a vécu quelques opérations de concentration d’envergure dont les effets ont affecté aussi bien son organisation que les conditions d’activité de l’ensemble de ses établissements, quelle que soit la diversité de leurs statuts. Le taux de bancarisation de la population et la

rachat aux banques émettrices de prêts à taux préférentiels consentis à des ménages qui, autrement, n’auraient pu accéder aux crédits « normaux ». Le statut de Fanny Mae garantissait que les obligations émises seraient remboursées même si le prêt bancaire associé était pris en défaut. Afin de créer un semblant de concurrence sur le créneau des MBS (Mortgage Backed Securities) et de couvrir l’ensemble du spectre des prêts d’accession à la propriété, l’administration Nixon créa, en 1970, la FHLMC

LES ENJEUX ÉCONOMIQUES ET SOCIAUX DE L’INDUSTRIE BANCAIRE ______________ Rapport réalisé sous l’égide du Comité consultatif du secteur financier par un Comité de pilotage présidé par Olivier PASTRÉ Professeur Université Paris VIII MAI 2006 144 06-04 Ont participé à la rédaction de ce rapport : Rapporteurs : Mme Christine Bardinet, Secrétaire générale adjointe du CCSF, M. Xavier Payet, ministère de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, direction générale du Trésor et de

situation macroéconomique instable 15 II- des dysfonctionnements microéconomiques 20 III- Des pratiques financières à haut risque 22 Section 2 : Les effets de la crise financière sur l’économie mondiale 23 I- les effets sur le système financier et bancaire 23 II- les autres effets néfastes de la crise sur l’économie mondiale : 26 Section3 : Les interventions pour endiguer la crise 31 I - Défendre la solvabilité des emprunteurs 31 II - La politique monétaire 33 III- Nationalisation et structures