La Maximisation Du Profit

pragmatisme, dont la base théorique demeure très largement inspirée de L'école classique (d'où son nom ...).  Les principes généraux, sous-jacents à cette école, sont les suivants: 1. Le but premier (mais non unique) de l'entreprise est la maximisation du profit. C'est lui qui mesure l'efficience de l'organisation et tous les autres objectifs (sociaux) restent subordonnés à l'accomplissement prioritaire de celui-ci; 2. L'entreprise est le moteur principal de la richesse économique; 3. Le management

d’appel) Niveau 5 : Métagouvernance (constitution, traités internationaux) Galbraith : les taches doivent etre executer par des professionnels hautement qualifiés dans le but d’assurer la pérénité de l’entreprise et non pas seulement la maximisation des profits. Trentes glorieuses (trente ans apres-guerre) stopper par le choc pétrolier et a l’intégration grandissante des NTIC(techno de l’info et de la com) Nouvelle économie basé sur la connaissance. Donc le capitalisme devient cognitif et financier

marginale = cout de la dernière unité B) La décision d’offre et la courbe d’offre (l’équilibre du producteur) C’est quel quantité offrir sur le marché et il faut pas perdre de vue que le producteur cherche à maximiser son profit. Règle de maximisation du profit : le producteur doit augmenter sa production tant que le cout marginal est inférieur à la recette marginale (variation de la recette totale à cause de la dernière unité produite et vendu). La production doit s’arrêter d’augmenter

et l’observation de processus de décision. La rationalité parfaite, omnisciente ou substantive: Théo néoclassique Capacité de connaître touts les choix possibles, conséquences de ces choix capacité de les calculer… BUT : Utilité espèrée :Maximisation utilité. Procédures effectives de prise de décision : -Pb traitement incertitude : Information imparfaite. -Pb capacité de calcul des agents -Pb interdépendance : Conjecture act° des autres. SIMON propose un principe de rationalité procédurale :

reconnaître sa responsabilité sociétale (RSE). I. Les finalités économiques et financières A. Les finalités liées au profit Le projet entrepreneurial est un projet à long terme. Or, dans une économie de marché, la pérennité de l’entreprise dépend de sa capacité à dégager des profits, c’est-à-dire des revenus résultant de l’excédent des produits sur les charges. L’obtention de profits apparaît comme une finalité commune à toutes les entreprises car elle constitue leur principal moyen de survie. Cependant

l’atteinte des objectifs fixés par l’entreprise. Ces objectifs relèvent de la stratégie définie : ainsi, Porsche avait pour objectif de renouer avec les profits. L’efficience ajoute la notion de moyens utilisés. L’entreprise la plus performante sera celle qui utilise le minimum de moyens pour obtenir un résultat. Le groupe Porsche recherche non seulement le profit mais aussi une rentabilité maximale. Dans la recherche de la compétitivité, les deux dimensions de la performance sont essentielles et complémentaires

Thème 4: La production dans l’entreprise L’entreprise désigne un agent économique qui a pour fonction de produire des biens et des services marchands dans l’objectif de réaliser un profit. I) La diversité des entreprises A) Des entreprises différentes selon leur statut juridique. Il existe différent statuts juridique d’entreprise : Les entreprises individuelles, les entreprises unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL), les sociétés à responsabilité limitée (SARL)

DYADIQUE DES DÉTERMINANTS ET DES FREINS Soumaya Ben Letaifa et Jean Perrien Février 2006 Le relationnel est vu dans le secteur bancaire commercial (services bancaires aux entreprises) comme un moteur de croissance, par les ventes croisées (maximisation de la part du portefeuille), tout en permettant de faire face à l’élargissement des jeux concurrentiels (Moriarty, Kimball, et Gay, 1983). Les études démontrent que 5% d’accroissement dans le taux de rétention des clients fait augmenter la profitabilité

humain hiérarchisé qui met en œuvre les moyens intellectuels, physiques et financiers pour extraire, transformer, distribuer des biens ou des services conformément à des objectifs définis par une direction en faisant intervenir les motivations de profit et d’utilité sociale à des degrés divers ». C’est une définition de l’entreprise selon : a) L’approche économique b) L’approche sociale c) L’approche relative aux conceptions traditionnelles de l’entreprise d) L’approche systémique 2. Le dividende

rationnel, il est le seul capable de juger et de décider ce qui est bon pour lui. L’interventionnisme de l’Etat, même à but louable, est donc pervers dans ses conséquences. - Chaque individu poursuit son intérêt particulier (utilitarisme) par la maximisation des satisfactions et la minimisation de l’effort (hédonisme). Ce postulat « smithien » a été précisé par Jeremy Bentham et la théorie néoclassique (marginalisme) avec la plus grande netteté. Dérivé de l’ordre naturel, le modèle de l’homo oeconomicus