La Mendicité

développement urbain au XIII, de nouveaux ordres apparaissent, ces ordres tels que les Dominicains (derriere St Dominique) prêchent les évangiles aux pauvres et les Franciscains ( derriere François d'Assise), aident les pauvres.Ces 2 ordres vivent de mendicité et refusent la richesse ( = ordre mendiants)= enseigner et aider les pauvres, leurs habillement : robe de burre, pieds nus et une corde pour nouer la ceinture. Un église qui affirme son autorité à l'égard du clergé et des puissants. Société

la nature. Diogène de Sinope (413 - 327 av.) est de loin le plus célèbre cynique. Sa philosophie était de vivre comme un chien, donc a été appelé un “cynique” qui signifie un canin. Comme un chien errant, sa vie était un vagabond. Il vivait de mendicité : s’habillait comme il voulait, mangeait n’importe quoi, habitait n’importe ou. D’après lui, être indifférent aux biens du monde nous mène à nous émanciper et nous libérer. Diogène vivait d’une manière scandaleuse puisqu’il ne conformait pas aux

couleur l'insupporte tant, qu'il n'a de cesse de le dénoncer. Voltaire est pacifiste et s'engage (philosophiquement parlant) contre la guerre par laquelle la jeunesse est bafouée, saccagée et sacrifiée. La pauvreté, qui pousse dans les bras de la mendicité, est une pandémie qui perdure tout au long du XVIIIe ( restes du règne de Louis XIV). Enfin, Voltaire est pessimiste et décrie l'optimisme comme une illusion. En bref, cette société est construite sur des inégalités aussi injustes qu'inconcevables

Spirale déflationniste: Les consommateurs diffèrent leurs achats-> Baisse des prix -> Baisse des salaires, licenciements, faillites..La masse monétaire se réduit d’1/3; Près dLa crise touche très durement le secteur agricole, Famines, mendicité, vol de nourriture En 1931, 100 000 américains demandent un visa pour s’installer en URSS… Les faillites-> concentration industrielle et bancaire, e 10 000 banques font faillite, Montée des protectionnismes: - USA: 1930, tarifs douaniers

provinciaux « c'est l'apathie, la nonchalance, le goût de la tranquillité ». Dans le second extrait, Pierre Gringoire fonde un jugement sur le lieu où il s'est égaré, il expose la Cour des Miracles comme « la cité des voleurs », le « ruisseau de vices, de mendicité et de vagabondage » alors qu'il vient à peine de s'y rendre. Enfin, dans Aurélien, pour Bénéfice, Paris s'avère être un lieu d'évasion, de liberté « libre de penser à sa guise, sans se surveiller, sans craindre », Bénéfice n'a peur de rien, elle

Monsieur de Rénal, le maire de Verrières. Ce dernier, par vanité, recherche un précepteur pour ses enfants. Il juge nécessaire d'avoir recours à un tel service pour soutenir son rang face à la vie qu'affiche Monsieur Valenod, directeur du dépôt de mendicité. Timide et rebelle dans un premier temps, Julien ne tarde pas à trouver une certaine attirance à cette nouvelle vie. Il tombe sous le charme de Mme de Rênal et devient son amant. Elle l'initie aux intrigues de la petite ville et aux mesquineries

Julien. Il lui 5 donnera une promotion au séminaire et lui permettra d’entrer à l’hôtel de la Mole comme secrétaire du marquis. Mr Valenod : Politicien de Verrières il est l’exemple type du nouveau riche : il est le directeur du dépôt de mendicité du village et a triplé sa fortune depuis qu’il administre le bien des pauvres. Il joue un rôle important pour le dénouement du roman : membre du jury lors du procès de Julien, il sera l’unique responsable de sa condamnation. Fouqué : Ami fidèle

des hôpitaux. L’Eglise pour contrer ce début de laïcisation incite les Evêques à reprendre en main la surveillance de la gestion. Le développement de l’artisanat dans les villes au XVIe siècle génère un important exode rural. Le paupérisme et la mendicité deviennent insupportables. Cette crise sociale va bouleverser le système d’assistance. Le pauvre fait peur. Il est suspecté d’être un vecteur de propagation des maladies, d’être voleur, de simuler des infirmités et de troubler l’ordre public. Les

fabriquer d’arpilleras en 1973, les artisanes de Ramahaleo à Madagascar ne savaient pas couper ni confectionner. Pour certaines d’entre elles, majoritairement les seules avec enfants, le commerce équitable est leur seul revenu possible en dehors de la mendicité *

propose des emplois à Jeannot et sa mère. Jeannot, la rage dans l'âme, part se confesser. Le confesseur lui dit que Dieu a voulu ce malheur pour montrer à sa famille que l'argent ne fait pas le bonheur et c'est pourquoi Dieu à réduit sa famille à la mendicité. Sur la route, Jeannot rencontra Colin, qui lui vivait des jours heureux avec sa famille.Et, Jeannot décida de se marier avec une sœur de Colin. COLIN Colin est le fils d'un laboureur des environs d'Issoire qui cultive la terre et qui est dans