La Mer Dans L Economie Ivoirienne

2004 67 2004 3 107 000 Population active dans le secteur agricole habitants % habitants • en % de la population active 2004 45 % • féminine 2004 40 % • masculine 2004 60 % Économie et développement 2003 13 700 Produit intérieur brut (PIB) • valeur ajoutée du secteur agricole (% du PIB) 2003 27.6 % • PIB par habitant 2003 828 $EU/an Indice de développement humain (plus élevé = 1)

ajoute que la demande domestique peut même avoir un impact sur le prix. Un pays profite du marché intérieur parce que sa lui donne des économies d'échelle, s'est a dire que plus on produit un bien, ou achète un bien, plus le prix est bas. Exemple : quand les japonais produisent 10 millions de voitures alors que la France en produit 5 millions, et bien les économies d'échelles sont plus fortes pour le Japon que pour la France, en effet, il peut vendre moins cher ses voitures et vendre plus. Un

............................................................................................12 1.2.2. Peuplement............................................................................................................................13 1.2.3. Economie...............................................................................................................................13 1.3. Forces, faiblesses, opportunités et menaces de développement.............................................14 1.3

Côte d’Ivoire……………………15 CHAPITRE 2 : L’AGRICULTURE IVOIRIENNE ET LA QUESTION DE LA DURABILITE………………………………………………..… 14 I – Objectifs de la durabilité de l’agriculture…………………………………………..16 1- Créer l’équilibre entre développement agricole et protection environnementale ………………………………………18 2- Les menaces environnementales de l’agriculture en Côte d’Ivoire ………………………………………………………………………..18 a- la forêt ivoirienne……………………………………..……………...18 b- l’augmentation de la

.......................................................................................................13 Histoire de Cotonou et caractérisation de son modèle de consommation alimentaire ..........16 L'attiéké, une semoule de manioc d’origine ivoirienne ........................................................21 Le manioc, une plante riche en énergie venue d’Amérique tropicale...................................21 L’attiéké ......................................................................

l’environnement socio-économique national ou régional reste une dimension clé de leur développement. Une approche plutôt optimiste définit les ports comme des pôles de croissance permettant aux activités productives et commerciales de réaliser des économies d’échelles, conférant par là aux pays, villes et régions concernés un avantage comparatif durable. Cette conception classique basée sur les théories de la localisation économique implique que l’efficacité d’un port permet d’accroître les bénéfices

............................................ 36 Photos 13 : Évènements abidjanais : le grand écart des codes de la communication sur panneaux.......................................................... 37 Photo 14 : Publicité pour des produits ivoiriens, zone industrielle de Yopougon, Abidjan .......................................................................... 38 Photos 15 : Types de publicités par des entrepreneurs locaux pour des produits utilitaires..................................

Ecole Supérieure d’Agronomie (ESA)                            Centre Ivoirien de Recherche  Economique et Sociale (CIRES)          Département Gestion Commerce et  Economie Appliquée (GCEA)                Division Macroéconomie et  Modélisation         MEMOIRE DE FIN D’ETUDE  Pour l’obtention            DU DIPLOME D’AGRONOMIE APPROFONDIE (DAA)  SPECIALISATION : Agro-économie IMPACTS DE L’OMC ET DES APE SUR  L’AGRICULTURE IVOIRIENNE :   APPLICATION DU MODELE ATPSM  Présenté par KADJO Kadjo Didier 

une nécessité vitale à cette étape du processus économique. En effet, avec la mise en place d’un système économique plus concurrentiel, il s’avère désormais impérieux de mieux gérer l’ensemble des facteurs utilisés dans le système de production ivoirien, et le transport se révèle être parmi les plus importants. Par ses multiples fonctions, il sous-tend toutes les activités économiques et sociales. Le transport intervient ainsi en amont et en aval des productions agricoles et industrielles, il

opérations bancaires en faveur de certaines structures financières et bancaires. Ce dispositif s’avère restrictif dans la mesure où l’exonération ne concerne que les agios des crédits et prêts consentis par les banques étrangères aux banques ivoiriennes, à l’exclusion des prêts et crédits octroyés aux autres types d’établissements de crédit. L’exonération concerne également les prêts consentis par les institutions financières à caractère mutualiste ou coopératif, à leurs adhérents, alors que