La Mer Est Plus Belle Verlaine

de composer des œuvres poétiques; au sens littéraire : art du langage, généralement associé à la versification, visant à exprimer ou à suggérer quelque chose au moyen de combinaisons verbales où le rythme, l’harmonie et l’image ont autant et parfois plus d’importance que le contenu intelligible lui-même. - Distinction traditionnelle des divers genres de poésie : a) poésie lyrique (lyrisme) ; b) poésie épique ; c) poésie dramatique, didactique, satirique, pastorale ; d) poésie sacrée / poésie profane

recueils de poésie, des pièces de théâtre, des romans, et a traduit des livres comme La Chasse au Snark de Lewis Carrol. Sa prose s’affranchit souvent des rigoureuses contraintes de l’Oulipo. Ce jeu avec les consignes apparaît avec sa série Hortense (La Belle Hortense, L’Exil d’Hortense et L’Enlèvement d’Hortense) et dans ses mémoires intitulés Le Grand incendie de Londres, véritable chef-d’œuvre autobiographique où l’auteur avance sans retour en arrière, sans se relire. acques Roubaud a reçu plusieurs prix

« L’Arlésienne » de Vincent Van Gogh (1888) Les Huit Textes : _ « La Chevelure » de Charles Baudelaire (1857) _ Extrait de «La Femme de trente ans », Chapitre 1 (1831) de Honoré de Balzac. _ « Mon rêve familier » , Poèmes saturniens (1866) de Paul Verlaine. _ « Hymne à la Beauté », Extrait des Fleurs du Mal (1857 – 1861) de Charles Baudelaire. _ « La Maline » (1870) de Arthur Rimbaud _ « Le Front » (1536) de Maurice Scève, 1536 _ « Ô beaux yeux bruns, ô regards détournés » (1555) de Louise LABÉ

Sommaire 1-Présentation…………………………………….….2 2- La ballade des pendus- F.Villon……………….…3 3- Fatras-G.Flamant………………………………....5 4- Je n’ai plus que les os…-P.Ronsard……………...6 5- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante- T.A d’Aubigné………………………………..…...7 6- Sur la mort d’une dame-G de Scudéry…..............9 7- La mort et le malheureux-J de La Fontaine…......10 8- La fontaine du cimetière- T.Gauthier………...…11 9-Les morts du 4 décembre-V.Hugo…………….......13 10-Une charogne-C.Baudelaire…………………

demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste et le jour pour moi sera comme la nuit. Je ne regarderai ni l’or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur Et quand j’arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houe vert et de bruyère en fleur. Texte 2 : « Mon rêve familier», Poèmes Saturniens, Verlaine Je fais souvent

Anthologie Poétique sur l'Amour Préface La poésie concerne tous les peuples et toutes les époques ; il s'agit donc d'une des plus anciennes formes littéraires. Les poètes peuvent faire passer un sentiment qu'ils ressentent au moment où ils écrivent, c'est plus particulièrement le cas dans les poèmes d'amour que ceux-ci déversent leurs sentiments les plus intimes. C'est justement ce déversement intimiste dans les poèmes d'amours qui les rendent si intéressant, car bien que le poète s'adresse souvent

subordonnée est une interrogative et le poète doute de ce retour. Le second quintil est empreint de douceur harmonieuse qui exprime le rêve, la promesse d'un bonheur facile. Les " masques " et la musique évoquent la fête galante chère à Verlaine où l'excès de plaisir se dissout dans la légèreté. Le seul alexandrin du poème contient une déclaration d'amour dans son premier hémistiche et l'affirmation de sa souffrance à la manière des romantiques. " Et mon mal est délicieux " renvoie à " vous

Jean Nicolas Arthur, Victorine Pauline Vitalie (elle mourra peu après sa naissance), Jeanne Rosalie Vitalie et Frédérique Marie Isabelle. Après la naissance de cette dernière, le couple vivra séparé, car, désormais, le capitaine Rimbaud ne reviendra plus à Charleville. En 1865, Arthur entre au collège municipal de Charleville, où il se montre excellent élève ; collectionnant les prix d'excellence en littérature, version, thème… Il rédige en latin avec aisance, des poèmes, des élégies, des dialogues

Les Romances sans paroles marquent un tournant décisif dans la carrière de Verlaine. Le recueil est en effet contemporain (1874) de l'orage personnel qui traverse sa vie en la personne de Rimbaud. Le poème intitulé « Beams », qui est extrait de la section « Aquarelles », ne garde nulle trace pourtant de cette tourmente. Tout auréolée de lumière, une femme énigmatique guide vers (ou sur ?) la mer une cohorte de soupirants fidèles. Cette évocation ne touche-t-elle pas au symbole ? Peut-on considérer

À Aurore La nature est tout ce qu’on voit, Tout ce qu’on veut, tout ce qu’on aime. Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on croit, Tout ce que l’on sent en soi-même. Elle est belle pour qui la voit, Elle est bonne à celui qui l’aime, Elle est juste quand on y croit Et qu’on la respecte en soi-même. Regarde le ciel, il te voit, Embrasse la terre, elle t’aime. La vérité c’est ce qu’on croit En la nature c’est toi-même. George Sand Automne malade Automne