La Mer Secrete

Chacun de nous voudrait savoir les secrets de la mort .Mais comment arrivons-nous à cet idéal ? La vie est le point de départ de toute quête .Pour dévoiler les secrets de la mort, elle nous offre une occasion à condition que cette quête se fait profondément dans le cœur de la vie. On doit concevoir la vie comme un symbole chargé de signes (désirs, espoirs, reves) ayant pour objet de décoder les secrets de la mort : la vie et la mort sont une, comme la mer et le fleuve sont un.

l’idéal ? Plan : I. La peinture d’un passé idéalisé 1) un décor superbe et exotique 2) souvenirs et sensations d’un paradis perdu II. La mise en scène du « moi » 1) un poète au centre de l’univers 2) la tension entre sérénité apparente et secret tourment I. 1) Dès le premier vers, le décor est planté et le lieu est placé sous le signe de l’antiquité et de la philosophie (portique : élément architectural de l’antiquité). Ce décor est développé par 2 propositions subordonnées relatives v

 le cimetière marin Ce toit tranquille, où marchent des colombes, Entre les pins palpite, entre les tombes; Midi le juste y compose de feux La mer, la mer, toujours recommencée O récompense après une pensée Qu'un long regard sur le calme des dieux! Quel pur travail de fins éclairs consume Maint diamant d'imperceptible écume, Et quelle paix semble se concevoir! Quand sur l'abîme un soleil se repose, Ouvrages purs d'une éternelle cause, Le temps scintille et le songe est savoir. Stable trésor

des exilés, s'en vont d'un pied traînard, Cherchant le soleil rare et remuant les lèvres ? Ange plein de santé, connaissez-vous les Fièvres ? Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides, Et la peur de vieillir, et ce hideux tourment De lire la secrète horreur du dévouement Dans des yeux où longtemps burent nos yeux avides ? Ange plein de beauté, connaissez-vous les rides ? Ange plein de bonheur, de joie et de lumières, David mourant aurait demandé la santé Aux émanations de ton corps enchanté

et la mer et a été écrit par Charles Baudelaire. Ce poème fait partie d’un recueil de poésie qui s’appelle Les Fleurs Du Mal publié en 1857. C’est un poème qui a été composé en Alexandrin, et celui-ci a quatre strophes de quatre vers. Les rimes sont de forme embrassée. Les coupes et les enjambements de ce poème, nous montre le lyrisme poétique, ainsi qu’un esprit harmonieux, musicale et mélancolique. Dans ce poème, l’auteur nous montre qu’il envie à la fois cette complicité qu’on la mer et l’Homme

Anthologie poetique LA MER SOMMAIRE : Preface.................................................................................3 A UlricnG……………………………………………………...…6 Brise marine……..…………………………………………… .7 L'homme et la mer……………………………………………. 8 Oceano nox..…………………………………………………. 9 Mer du paradis……..…………………………………………11 La mer secrète ……………………………………………….12 Toutes les mers…...........……………………………………..13 Quand la mer se dechaine…………………………………..14 La mer ,le soir……………………………………………….15

pour une sécurité collective liés à l’idéal démocratique. Selon W. Wilson chaque Nation grande ou petite dispose de droits égaux et il appartient aux peuples de sanctionner l’action de leur gouvernement. Le premier point fait référence aux accords secrets signés par la France, l’Italie et la Grande-Bretagne lors de la première guerre mondiale dans leur principe de l’équilibre continental. Les accords en question sont ceux du traité de Londres du 26 avril 1915 accordant à l’Italie sous réserve d’un

moment précis de l'histoire. Cresselia {draw:frame} Niveau: 47 Taille : 1 Localisation : Falaise Sharpedo Condition : Avoir battu Darkrai. *Phione * {draw:frame} Niveau de recrutement : 40 Taille : 1 Localisation : Mer Prodige : Fond (2ème Visite) Condition : Aucune *Manaphy * {draw:frame} Niveau de recrutement : 40 Taille : 1 Localisation : Falaise Sharpedo Condition : Il vient vous voir quelque jour après avoir battu Darkrai *Shaymin

da J.M.G. Le Clézio Mondo et autres histoires Racconti, Paris, 1978, 278 pagine Éditions Gallimard "Folio" [pic] Celui qui n'avait jamais vu la mer Il s'appelait Daniel, mais il aurait bien aimé s'appeler Sindbad, parce qu'il avait lu ses aventures dans un gros livre relié en rouge qu'il portait toujours avec lui, en classe et dans le dortoir. En fait, je crois qu'il n'avait jamais lu que ce livre-là. Il n'en parlait pas, sauf quelquefois quand on lui demandait. Alors ses yeux noirs

les hirondelles de mer. Léa était impressionnée. -Je n’en ai jamais vu. Nous continuons à nous balader, en sautant de rocher en rocher. J’étais content que la marée soit basse, je pouvais ainsi emmener Léa, dans mon coin secret. Devant nous, se montrait un très grand caillou. -Viens avec moi, si tu veux. Une fois de plus, elle s’exécuta. Nous nous assaillions, de façon à ce qu’une vue imprenable s’offre à elle ; s’offre à nous. Nous avons vu maintenant, sur la mer encore loin, sur le