La Mère confidente

un roman comptemporain français de Delphine de Vigan paru le 22 aout 2007. Résumé de l’histoire : Lou Bertignac, adolescente surdouée âgée de treize ans, est en classe de seconde avec deux ans d’avance. Elle vit à Paris avec ses parents mais sa mère ne va pas bien car, dans le passé, elle a perdu une petite file nommé Thaïs. Lou est différente des autres filles de son âge, elle est introvertie, elle aime observer les gens, collectionner les mots, lire les encyclopédies et faire des théories

l'enfance de l'accusé"(L1). Nous pouvons rappelé que dans les pages précédentes du livre, nous avons accès au fait que la mère de Jean Claude Romand était dépressive puisqu'elle n'avait pas pu avoir d'autre enfant que son fils, et cela l'a plongeait dans un état de détresse et de tristesse. Par conséquent ce dernier n'a jamais témoigné son mal être pour ne pas intensifié le mal de sa mère. Il a en effet tout garder pour lui depuis petit. Précédemment dans le livre et donc dans le procès, la présidente de

Thésée, fils d’Égée, roi d’Athènes Phèdre, femme de Thésée, fille de Minos et de Pasiphaé Hippolyte, fils de Thésée et d’Antiope, reine des Amazones Aricie, princesse du sang royal d’Athènes Œnone, nourrice et confidente de Phèdre Théramène, gouverneur d’Hippolyte Ismène, confidente d’Aricie Panope, femme de la suite de Phèdre Résumé : La pièce commence avec Hippolyte qui annonce à Théramène son intention de quitter Trézène (petite ville de Grèce) pour aller à la recherche de son père

ayant perdu tout espoir, vivait ses dernières heures. Sans obstacles, elle avoue à Hippolyte son amour, en présence de sa confidente, Oenone. Au cours de cet aveu, un trouble de personnalité s'empare d'elle et elle se présente tour à tour comme victime de sa passion et comme bourreau d'elle-même. En effet, Phèdre n'est pas responsable de la passion douloureuse qui la ronge : sa mère Pasiphaé ayant donné naissance au Minotaure par son union à un taureau, Vénus veut se venger, et " utilise " donc Phèdre

Florence, c’est là qu’on l’a perdu » « Comme Dieu est partout » ( Catherine ) Acte II, scène 2 : « catin » ( de Lorenzo pour Florence )/  « J’aime ma mère Florence » (Tebaldeo) Acte II, scène 3 : « Que tu es belle Florence » (Marquise) « Que tu es triste » La Marquise se confie à Florence. Florence devient sa confidente. Acte II, scène 4 : « …où la marquise ne sait plus si elle agit manipulé ou pour l’amour du duc » Le double de Lorenzo / « La

tenté de s ‘en défendre,ce dernier va tomber sous le charme de sa jeune élève Saint-Preux et Julie vont alors s’aimer dans le décor romantique du Lac Léman ,Mais La différence sociale interdit tout espoir à Saint-Preux et Julie. après la mort de sa mère, accepte d'épouser M. de Wolmar, un homme bon et plus âgé qu'elle à qui son père l'avait promise. Ce mariage provoque une crise profonde entre eux et pousse Saint Preux à faire le tour du monde. A son retour, désireux de revoir les cousines, il part

Le Barbier de Séville (1775), Le Mariage de Figaro (1784) dont des opéras ont été tirés, respectivement par Rossini (Le Barbier de Séville) et par Mozart (Les Noces de Figaro), qui eut d’ailleurs plus d’une centaine de représentations, ou encore La Mère coupable (1792) sont caractéristiques de ce nouveau genre théâtral qu’est le drame bourgeois. Beaumarchais est aussi l’homme de combat, l’homme qui récuse tout privilège, l’homme qui veut une société fondée sur le mérite et le travail. Ceci est clairement

époux, ils vont tous succomber aux libertins. Nous assistons à plusieurs duels libertins vertueux où les libertins gagnent toujours. La jeune Cécile qui au début est innocente et ne connait rien de la vie va aussi apprendre à manipuler (notamment sa mère) et à dissimuler sa vrai nature. « Dans ce court intervalle, l’écolière est devenue presque aussi savante que le maître. Oui, en vérité, je lui ai tout appris, jusqu’aux complaisances ! » Lettre 110. Néanmoins la perversité et l’immoralité ne sont

fin du livre I est perdue ainsi qu'une partie du livre V. Résumé Acte I (5 scènes) Hippolyte, fils de Thésée, annonce à son confident Théramène son intention de quitter Trézène pour fuir sa belle-mère Phèdre qu'il n'aime pas et surtout pour fuir son amour pour Aricie, sœur des Pallantides, un clan ennemi. Phèdre, épouse de Thésée, avoue à Œnone, sa nourrice et confidente, la passion qu’elle ressent pour son beau-fils Hippolyte. On annonce la mort de Thésée… Acte II (6 scènes) Hippolyte propose

sont incomparables. Le lexique utilisé pour parler de la belle-mère de Catherine la rend sympathique aux yeux du spectateur « sa belle-mère qui s’était donné tant de mal » l.703, « la pauvre, la délicatesse même » l.734 et lui donne toute légitimité pour apparaitre sur ce carton. Le vocabulaire utilisé ici contraste avec celui qu’Yvan choisi pour parler de sa belle-mère « que je hais, qui est une salope » l.706.D’autre part, la mère d’Yvan se sent exclue de la famille. On peut le remarquer sur les