La Mère confidente

parfois un personnage presque grotesque et caricatural mais à qui on ne peut retirer une certaine grandeur tragique dans les dernières scènes. Lady Capulet, son épouse, elle n'a pas de rôle précis dans l'histoire. Juliette, Préadolescente dont la mère souligne qu'elle n'a pas encore quatorze ans[1], elle est la seule héritière du vieux Capulet. Promise au comte Pâris, elle est néanmoins follement amoureuse de Roméo et voudrait lui être unie par les liens du mariage. Elle est déchirée entre l'amour

l’usage de la force commerciale du département « rubans adhésifs », l’autre famille de produit commercialisée par son entreprise. C’est alors que sa vigilance est alertée, au sortir d’une réunion, par un lapsus du directeur de production : « la maison mère a beaucoup de contacts avec les clients français ». Jacques ressent une bouffée de rage face à cette trahison : l’entreprise ferait-elle des livraisons à son insu ? Les commissions dues à la filiale française ne seraient pas perdues pour tout le monde…

lui, auteur d’Émile ou De l'éducation (portant justement sur l’éducation des enfants). Rousseau écrit ainsi ses Confessions pour se justifier et répondre aux nombreuses accusations dont il est victime. On peut aussi s’écrire pour avoir un confident, notamment dans le cas du journal intime. Un journal intime peut aider à apaiser la solitude de quelqu’un, en outre la plupart de ceux qui écrivent un journal intime se sentent très seul, ils n’ont souvent pas d’amis, ne veulent pas ou ne peuvent

28 mai 1830 Victor Hugo (1820-1885) [pic] « Ce doux protecteur de l’enfance » « A ma mère », est un poème d’Alfred de Musset. Auteur romantique né le 11 décembre 1810 à Paris et mort en mai 1857 à Paris également, il a composé ce poème le 16 septembre 1824 à l’occasion de l’anniversaire de sa mère. Dans ses biographies, on peut lire qu’il était proche de sa mère, qu’elle avait beaucoup d’admiration envers lui et cela se ressent vraiment dans ce poème. En effet, il l’a définit

madame Pernelle. Elle décrit l'adoration d'Orgon de manière ironique « Il l'appelle son frère, et l'aime dans son âme Cent fois plus qu'il ne fait mère, fils, fille, et femme. C'est de tous ses secrets l'unique confident, Et de ses actions le directeur prudent. Il le choie, il l'embrasse ; et pour une maîtresse, On ne saurait, je pense

qui va mourir et décide de retourner voir sa famille après une longue absence de 12 ans pour leur annoncer la nouvelle. Au cours de la pièce on témoigne d’une crise personnelle et familiale entre Louis son petit frère Antoine, sa sœur Suzanne et leur mère. En effet, le théâtre de Lagarce est le théâtre de la parole où les silences de Louis incarnent l’échec de cette parole. Ainsi, dans son œuvre il rompt avec les étapes traditionnelles du théâtre et la parole tient lieu d’action.· Recopier la question

par découvrir son visage défiguré dans le reflet d’une vitre. Il songe alors à se suicider. Pourtant, il devient l’ami et le confident d’Henri et Pierre, deux autres « gueules cassées » qui lui ressemble plus ou moins et essayent tout trois de réapprendre à vivre...Enfin s'ils y arrivent, mystère... Quittant l’hôpital au bout de cinq ans, Adrien retrouve sa famille mais sa mère ne peut accepter son nouveau visage. On le voit victime d’un malaise, où il croit revoir Clémence. Adrien se met à la recherche

mari, Hector, tué pendant la guerre de Troie. Les personnages : * Andromaque, veuve d'Hector, captive de Pyrrhus, mère d'Astyanax, princesse troyenne * Pyrrhus, fils d'Achille, roi d'Épire  * Oreste, fils d’Agamemnon  * Hermione, fille d'Hélène, fiancée à Pyrrhus  * Pylade, ami et confident d’Oreste * Cléone, confidente d'Hermione * Céphise, confidente d’Andromaque et amie de Pylade * Phœnix, gouverneur d'Achille, puis de Pyrrhus La scène est à Buthrot, ville d'Épire

Honoré de Balzac est né à Tours le vingt mai 1799. Il ne portait pas encore le nom de « Balzac », sa famille l’emprunta un peu plus tard à une vielle famille noble. Sa mère était de 32 ans moins âgée que son père. Il fût, dès sa naissance, mit en nourrice. Il y resta jusqu’à ce qu’on l’envoie à la pension Le Guay de Tours en 1804. L’indifférence de ses parents qui cherchaient à s’en décharger le redit mélancolique. L’année de ses quatorze ans, il sortit du pensionnat pour aller s’installer à Paris

et ne s’attribue pas cette même sympathie de la part du lecteur – provoquée par le partage à Sophie, qui fait d’elle une jeune fille normale et qui ressent le besoin de se confier – mais apparaît directement comme une idiot, présentée ainsi par sa mère qui confie lui apprendre à ne pas trop parler. Par ailleurs le genre épistolaire de l’œuvre romanesque apporte une certaine omniscience au lecteur, qui ainsi en saura toujours plus que le personnage, ce qui provoque de l’ironie dramatique, d’autant