La Monarchie Absolu Conclusion

DESJARDIN : PRESIDENT BOCKET CHLOE : MEMBRE LUABEYA MURIELLE : MEMBRE NAKOMBO IGNACE PEA :MEMBRE TOKOFEISSE SARAH : MEMBRE YADILA LORY : MEMBRE THEME : LA France DE 1787 A LA REVOLUTION (MONARCHIE CONSTITUTIONNELLE CHUTE DE LA ROYAUTE) QUELQUES DEFINITIONS Monarchie constitutionnelle : dans une monarchie constitutionnelle, le pouvoir du roi est un peu plus limité puisqu’il se doit de respecter la constitution. Constitution : une constitution est un document qui regroupe l’ensemble des

ouvert. Il n’y a pas d’inégalité sociale. Toutes les personnes respectent cette monarchie libérale, personne ne viole les lois car il n’y a pas de prisons ni de justice. L’auteur critique la monarchie absolue de l’époque et la tyrannie qu’il ne supportait pas. Il est pour une monarchie libérale. La richesse n’a pas rendu mauvais les habitants. Cependant, nous avons une idée très vague de l’eldorado. Il y a une monarchie libérale mais pas d’organisation. . L’auteur nous propose plutôt des valeurs comme

commentaire de texte suivant, est en fait une courte analyse de cette lettre contenant une brève présentation de l’auteur, une explication claire du point de vue de Fénelon et du contexte historique dans lequel l’œuvre fut écrite et enfin, une courte conclusion afin de vous faire réaliser l’ampleur de cet écrit. Fénelon, de vrai nom François de Salignac de La Mothe-Fénelon est né en 1651 au château de Fénelon dans le Périgord. Il est issu d’une famille noble ancienne mais appauvrie. Dans sa jeunesse

cycle. - Le sens politique : Révolution renvoie à un changement brusque et extraordinaire des institutions et des affaires politique d’un État. C’est en 1789 qu’à lieu en France ce changement brusque, on assiste à l’effondrement de la monarchie absolue qui est remplacée par des institutions et structures politiques nouvelles. Or, ses nouvelles institutions sont fondées sur nouvelle conception du pouvoir, en effet, les idées qui dominent cette même année sont : le transfert de la souveraineté

absence de rides, chirurgie … -> « starisation » des hommes politiques. Cf. Berlusconi, le corps du chef de Marco Belpoliti = politique n’est pas l’art d’une argumentation sophistiquée. Importance du corps du pouvoir cm le corps du Roi sous la monarchie absolue. -> individualisation du pouvoir * Articulation avec programme de Science Politique S2 L’imaginaire du pouvoir. Comment le pouvoir se représente ? Question posée dans tout le champ des humanités : littérature, roman, théâtre, musique

fonctionnement de l’Etat Chapitre A : Garantie de l’Etat de droit Chapitre B : Organisation des pouvoirs II. Des pays sans constitution Chapitre A : Des pays sous régimes dictatorial Chapitre B : Constitution coutumière ou lois constitutionnelles Conclusion Introduction : Aujourd’hui, la Constitution est devenue comme obligatoire pour une bonne organisation de l’Etat, elle est la base de l’Etat de droit. La Constitution, c’est un ensemble de règles, formant un texte qui fixe l’organisation

et un risque de non pérénité de l'Etat. Cette doctrine endigue l'instabilité politique nottament sous Louis XIV et sa déclaration sur son lit de mort : "Je m’en vais, mais l’état demeurera toujours". Cependant Louis XIV emporte avec lui ce pouvoir absolu. Et l'absolutisme va faire l’objet de critiques du XVIII siècle jusqu'à la Révolution de 1789.C’est au nom de la raison que certains aspects vont être critiqués (combattre la tradition et valoriser la raison.) Ce n’est pas une croyance nouvelle, Descartes

de régence, Mazarin renforça le pouvoir royal en réprimant notamment la révolte des nobles contre le jeune roi. En 1661, à la mort de Mazarin, Louis XIV, devenu adulte, décida de gouverner seul. Il fit évoluer le système politique en une monarchie absolue de droit divin, c'est-à-dire que toute l’autorité résidait dans les mains du roi et il détenait son pouvoir de dieu. Seul Dieu était en mesure de juger ses actes et ses décisions. Le monarque n’ entend pas déléguer son autorité à un Premier

lesquelles dans un pays donné les hommes sont gouvernés». De longue tradition l’on s’efforce de classer les régimes politiques par rapport aux conditions d’exercice des grandes fonctions étatiques : oligarchie, démocratie, tyrannie pour Platon et monarchie, aristocratie ou polities pour Aristote. Le régime parlementaire est l’une des formes d’exercice de la démocratie libérale en ce sens qu’il découle du principe de séparation des pouvoirs. Il correspond à la première et la plus simple distinction

d’Ancien Régime. France/Angleterre : naissance de deux « nations » ? Histoire comparative de deux modèles : monarchie absolue et monarchie parlementaire. III : Les Lumières, la Révolution, le premier Empire. Les fondements des institutions et des débats politiques contemporains. IV : Fondations et refondations républicaines : la question du régime politique en France au XIXe siècle. Monarchies constitutionnelles et suffrage censitaire. La Seconde République (1848-1852) et le Second Empire (1852-1870)