La Mondialisation Et Ses Ennemis

CH 4 : D’autres logiques d’organisation de l’espace mondial : la mondialisation en débat A Des limites à la mondialisation I La résistance des cultures à la mondialisation Bien des différences géographiques renvoient à des héritages plus lointains de faits culturels qui représentent des façons différentes de concevoir le monde, les individus et les rapports entre eux : une civilisation est l’ensemble des réalités culturelles, matérielles, économiques, sociales, et historiques communes

avenir dans les décennies et les siècles à venir. Pour ce faire, je m’appuierai d’article scientifique et de constat réel observé au cours de l’histoire de l’humanité. La mondialisation Dans un avenir très proche, l’espéranto va prendre un envol très prononcé pour plusieurs raisons. L’abolition des frontières et la mondialisation vont augmenter les échanges sociaux encore plus avec les années à venir. La baisse des tarifs douaniers, les accords de libre-échange, les espaces économiques exclusifs,

de sa propre culture au prolétariat en l’entrainant dans sa lutte politique, donc interaction constante des conditions matérielles et de la conscience sociale. Elle va mobiliser le prolétariat à des fins politiques, afin de combattre les ennemis de leurs ennemis et lui procurer les « linéaments de sa propre culture »,c est à dire ses propres éléments d’éducation politique et générale. Ils vont essayer de souder ces deux classes antagonistes par le ciment « patriotique », en partant du postulat que

aspects et inscription dans l'espace mondial II Composition 2 : La Russie : un territoire en recomposition / en Term S  : Des Nord, des Sud III - Etude d’un ensemble documentaire Quels sont les espaces moteurs de la mondialisation ? Liste des documents : Document 1 : Le commerce mondial Document 2 : Les principales places boursières dans le monde Document 3 : New York Document 4 : Publicité pour la ville d'Osaka destinée aux entreprises françaises Document 5 : Le

élus par les provinciaux. Les parisiens n'étaient donc déjà pas en accord avec ce gouvernement. Le 18, Adolphe Thiers est nommé chef du pouvoir exécutif. Le 26 février, un traité de paix est signé : l'Alsace et la Lorraine sont annexées par les ennemis, la France doit payer une indemnité de 5 milliards de francs et comble de l'humiliation pour les parisiens, les troupes prussiennes défilent sur les Champs-Élysée le 1er Mars. La garde nationale protège les canons, achetés par les parisiens, en les

Leur monnaies se sont effondrées. B – Les démocraties dans la crise 1) Le krach de 1929 La crise qui secoue la bourse de New York fait entrer toute l’économie américaine en dépression. 3) La mondialisation de la crise. En raison de l’interdépendance des monnaies et du poids des Etats-Unis, la crise devient mondiale. Dans les années trente, les pays Européens doivent faire face à une vraie guerre commerciale et à la montée du chômage.

Centres et périphéries dans la mondialisation INTRO [Bcp plus longue que ne l’exige l’exercice de la dissertation, ie « modèle » pour poser les réflexions, les thématiques conduisant à l’annonce de la problématique et du plan] – La mondialisation contemporaine modifie un ordre du monde que les Temps modernes ont esquissé et que le XIX e s parachève. Cet ordre était régenté par quelques grandes puissances d’Europe occidentale, organisées autour d’Etats affirmant leur autorité sur des peuples

néolibérale, met en avant des valeurs comme la démocratie, la « justice économique », la protection de l'environnement et les droits humains. Il s'agit donc pour les acteurs de ce mouvement de concevoir et d’œuvrer à une mondialisation maîtrisée et solidaire, par opposition à la mondialisation actuelle, jugée selon eux injuste et dangereuse. Assez hétérogène, le mouvement oscille entre un réformisme (par exemple à travers la revendication d'une Taxe Tobin[1] proposée par Attac) et un « imaginaire de la

Nations unies. Ces membres permanents étaient les vainqueurs de la guerre : États-Unis, URSS, Chine, Royaume-Uni, France. Or, nul ne pouvait prévoir qu’en moins de deux ans (1945-1947) les deux principales puissances victorieuses deviendraient des ennemies irréductibles et bloqueraient ainsi les rouages de l’ONU. En effet, plus de 200 propositions n’ont jamais abouti. • Le fait qu’il n’existe plus, depuis les années 1990, d’opposition idéologique majeure entre les grandes puissances donne l’espoir

l’effondrement du communisme, les Américains avaient moins de raisons de soutenir leur allié, devenu un rival dont ils redoutaient de plus en plus la concurrence. En 1945, les Etats-Unis, qui occupaient le Japon et cherchaient à affaiblir leur ancien ennemi, avaient imposé la dissolution des zaibatsu, sortes de conglomérats qui contrôlaient le quart des sociétés à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Cependant, dès les années 1950, la structure industrielle japonaise s’est progressivement réorganisée