La Monstrueuse Parade

qualitatifs. Remarque : lorsqu’on observe à quoi ressemble un chat ordinaire, apparaissent les canons les plus sexualisés de la masculinité et de la féminité (dans les pseudos par exemple). Ce sont des canons qui reproduisent ce que Goffman appelle les « parades de genre ». En outre, les filles, notamment en chat, peuvent ne pas respecter les convenances qui prévalent dans l’espace public : elles peuvent évoquer le fait de porter un string par exemple. Comment l’interpréter ? Contrairement à ce qui se passait

c’est absurde ! Cela n’aurait de sens que si les méchants prospéraient par le méchant et les justes souffraient par le juste. La vérité est que les lois générales qui gouvernent le monde valent pour toutes les créatures humaines, angéliques ou monstrueuses. Tout homme en qualité d’homme et sujet à tous les malheurs de l’humanité ; voici la loi générale et en étant générale elle est injuste. Ce qui est extérieur à l’homme lui est extérieur complètement, il ne prend pas en considération les notions

et morfondu, l’esprit fiévreux et trouble, Blessé par le mystère et par l’absurdité ! Vainement ma raison voulait prendre la barre ; La tempête en jouant déroutait ses efforts, Et mon âme dansait, dansait, vieille gabarre Sans mâts, sur une mer monstrueuse et sans bords ! 38 38 Perspectives culturelles XCI. LES PETITES VIEILLES La forme de la boîte où l’on met tous ces corps. À VICTOR HUGO — Ces yeux sont des puits faits d’un million de larmes, Des creusets qu’un métal refroidi pailleta… Ces

productions de l'Océan dans le que Jamblique 30 L EXOTISME « « une multitude de contes incroyables foule ; qu'une d'autres écrivains avaient raconté leurs voyages supposés, mêlant à leurs récits des descriptions de bêtes monstrueuses, de mœurs « étranges, d'usages barbares. » Antonius Diogène, de même, dans son roman de Dinias et Dercyllis, nous apprend qu'un certain Antiphanès avait écrit avant lui des récits du même « « genre. ture dans l'antiquité une littéramais

qui est tiraill entre eux il en rsulte une insatisfaction profonde. Lambition, suscite par ladmiration pour Napolon, rgne seule dabord pour la simple raison que Julien ne connat pas de femme. Lamour que lui porte Mme de Rnal, en lui permettant de parader lors de la visite du roi (pages 114-128), excite alors son ambition conqurir le coeur dune femme de rang suprieur, ctait gagner une bataille sociale. Il laime parce quelle est socialement leve, mais cette supriorit lempche daimer librement. Cet amour

tiraillé entre eux ; il en résulte une insatisfaction profonde. L'ambition, suscitée par l'admiration pour Napoléon, règne seule d’abord pour la simple raison que Julien ne connaît pas de femme. L'amour que lui porte Mme de Rênal, en lui permettant de parader lors de la visite du roi (pages 114-128), excite alors son ambition : conquérir le coeur d’une femme de rang supérieur, c’était gagner une bataille sociale. Il l’aime parce qu’elle est socialement élevée, mais cette supériorité l’empêche d’aimer librement

394 (XXXV, En ce moment l'abîme devenait magnifique. Le se couchait derrière plus que les ses la crête dentelée du Pilate. sommets extrêmes de Il v). soleil n'éclairait toutes les montagnes, et rayons horizontaux se posaient sur ces monstrueuses pyramides comme des architraves d'or. Alpes et Pyrénées, 44-4S (1839, 11). . LA COULEUR, [86 LA Le couchant flamboyait Comme ET L'OMBRE LUMIÈRE travers les bruines à fronton d'or d'un vieux temple en ruines. le Toute L'aurore

étude sur la Sotie en France (in-8, 1878), compte vingt-six pièces de ce genre. Il fait remarquer que la sotie était souvent représentée avec une farce et une moralité, dans des spectacles multiples ; dans ce cas on commençait par la sotie, sorte de parade bouffonne. La Sotie n’eut pas toujours pleine liberté ; sa plus brillante période se place sous Louis XII. ROMAN_FARCE (théâtre) : La farce est un genre théâtral né au Moyen Âge, qui a comme but de faire rire et qui a souvent des caractéristiques

est possible de considérer dans les vives et vaines résistances émises par ce que Durand définit comme un radotage scolastique 22 , que les assises philosophiques et scientifiques du moment sont périmées et qu'elles sont vouées à n'être que des « parades désespérées de retardement qui conduisent à des Gilbert Durand, Champs de l'imaginaire, Grenoble, Ellug, 1996. Durand, Champs de l'imaginaire, p.134. 221dem. 20 21 17 impasses épistémologiques 23 ». Les études alors menées par Durand

est possible de considérer dans les vives et vaines résistances émises par ce que Durand définit comme un radotage scolastique22 , que les assises philosophiques et scientifiques du moment sont périmées et qu'elles sont vouées à n'être que des « parades désespérées de retardement qui conduisent à des 20 Gilbert Durand, Champs de l'imaginaire, Grenoble, Ellug, 1996. 21 Durand, Champs de l'imaginaire, p.134. 221dem. 17 impasses épistémologiques23 ». Les études alors menées par Durand et établissant