La Morale Est Elle Compatible Avec Le Bonheur

Sujet : Dissertation: Est-il moral de rechercher le bonheur ? Aperçu du corrigé : Dissertation: Est-il moral de rechercher le bonheur ? I - INTRODUCTION. Se sacrifier pour autrui est le gage d’un sens moral très élevé. Mais dès lors avoir un sens moral n’implique-t-il pas de renoncer à son bonheur ? Nous pouvons donc nous demander si il est moral de rechercher le bonheur. La morale connote le bien. Le bonheur connote lui le bon. A l’évidence le bien et le bon sont très proches. Donc on pourra

par un obstacle, réel ou psychologique, entre la pulsion et l'objet choisi pour la satisfaire. Il parait donc logique de suivre ses désirs , de les assouvir à tous prix dans le but de la recherche du bonheur , du bien-être mais peut e^tre aussi afin de donner un sens à la vie .. . Est il compatible de suivre ses désirs humains en vivant avec la société actuelle. Faut il suivre ses désirs ou bien les combattre? Il apparaît que c'est vraiment un problème de liberté de choix par rapport aux

conduire au laxisme et à l’autoritarisme qui empêchent l’humanité d’être heureuse. En retrouvant la religion c'est-à-dire la foi, on comprendra les limites de la raison et on s’interdira de tomber dans ses excès. Ainsi on retrouvera l’unit perdue (le bonheur) Le scepticisme et le dogmatisme semblent s’opposer mais en réalité, ils se complètent car la qualité de l’un corrige le défaut de l’autre (tableau au verso). En dépassant cette pposition, on verra le véritable statut de la raison Dialectique :

aux respect de droits correspondant a la culture démocratique moderne.Par ailleurs, sur un point de vue plus philosophique, RAWLS tente de faire de la justice la vertu première de la société. Il ne veut pas rompre de façon radicale avec les valeur morale et philosophique du libéralisme anglo-saxon, mais il veut faire coïncider liberté et égalité dans une théorie de la justice et montrer comment elle peut-être efficace dans le l'organisation d'une démocratie libérale. Pour bien comprendre cette théorie

N'est-on moral que par intérêt ? L'homme est communément comme un être supérieur au reste des êtres vivants car celui-ci, contrairement aux animaux, aux végétaux, ou aux autres éléments naturels, n'est pas immanent, il ne dépend pas entièrement de la nature, il a le pouvoir de la transcender. En effet, l'homme apparaît comme un être libre en puissance, capable de fixer lui-même ses propres fins, de ne pas répondre simplement à une cause comme le font les animaux soumis à leur instinct. Ainsi

I Loi morale et loi juridique La différence entre la loi morale et la loi politique est que la loi morale porte sur soi-même et suppose la réversibilité commander / obéir. Je me commande à moi-même. Dans l'Etat, au contraire, celui qui commande n'est pas nécessairement celui qui obéit. Qui commande ? Telle est la question politique essentielle. Pour Kant, l'Etat est ce qui rend possible une vie en commun plus conforme à la raison. Mais attention ! la raison pratique pose ses exigences dès l'état

qui signifie bonne fortune, faveur divine. L’étymologie indique que le bonheur est quelque chose qui vient forcément de l’extérieur : il ne nous appartient pas de le construire par nous-mêmes. Il faut distinguer bonheur et plaisir : le premier est un état de complétude, de plénitude, donc stable ; le second correspond au mouvement de combler de manière temporaire le vide ouvert dans le désir. Il faut distinguer bonheur et vertu même si les deux peuvent se rejoindre : la vertu est produit de

intellectuel peut être jugé au final acceptable, et justifier ainsi l'idée qu'un monde bon doit nécessairement contenir une certaine proportion de maux. De même, en ce qui concerne les tenants d'une morale de la vertu (comme par exemple les Stoïciens), certaines des vertus qu'il s'agit d'acquérir pour parvenir au bonheur (courage, prudence, etc.) n'auraient aucun sens s'il n'y avait ni adversité ni efforts à fournir. De ce point de vue, l'éradication totale du mal serait une mauvaise chose. On entre cependant

bien-être minimal pour toute personne morale qui s’engage dans une vie sociale. Son but est d’élaborer une théorie de la justice qui représente une solution de rechange à la pensée utilitariste en général et donc à toutes les versions différentes qui peuvent en exister, respecter la liberté et l’égalité des citoyens. Chez Rawls les trois valeurs de tête sont la justice (le premier principe prime sur le second), l’équité et la dernière valeur est le bonheur (l’État ne doit pas constituer d’obstacle

L’art (L - ES - S - Techn.) ..................................................................................... 3 2. Autrui (L - ES)....................................................................................................... 8 3. Le bonheur (L - ES - S - Techn.) ......................................................................... 10 4. La conscience (L - ES - S)................................................................................... 13 5. La croyance (Techn.) .......