La Moralité Consiste T Elle à Se Contraindre Soi Même

INTRODUCTION GENERALE L’obligation renvois à beaucoup de langages de la vie courante, (la dette, les devoirs) à l’idée de contrainte, autant de notions qui sont proches ou qui paraissent proches et qui est nécessaire de distinguer les unes des autres afin de définir ce qu’est le droit des obligations. SECTION 1 : LA DEFINITION ET LES SOURCES DE L’OBLIGATION I.La notion d’obligation A.La définition 1.La conception moniste de l’obligation Classiquement, l’obligation est définie comme un lien

qui lient deux personnes. Un créancier, que l’on appelle aussi sujet actif en droit et un débiteur, que l’on appelle aussi sujet passif, qui est engagé à l’égard du créancier. C’est précisément ce type de rapport juridique qui fait l’objet du droit des obligations. Comment ces rapports prennent-ils naissance ? Comment le débiteur doit il s'exécuter à l’égard de son créancier ? Que se passe-t-il s’il ne s'exécute pas correctement ? Le créancier. Sujet passif : Le débiteur. Obligation juridique

Introduction : Le droit commercial est une partie du droit privée qui s’applique spécialement à certaine personne les commerçants, et à certaines opérations juridiques, les actes de commerces. Mais cette conception ne rend pas compte de la réalité juridique, car le droit commercial régît à la fois les activités de régulation de service et de production, c’est pourquoi on parle plutôt de droit des affaires. Celui-ci à un domaine plus acte que le droit commerciale, car il englobe des questions de droit publique

Introduction On ne peut pas jouer à la sourde oreille, on entend partout depuis les 50 dernières années des scandales touchant des compagnies gigantesques qui donnent l’impression d’être au-dessus des lois et des pays. On les nomment : les multinationales et dans leur rang on peut y retrouver des joueurs tels que Apple, Exxon Mobil, Google, Berkshire Hathaway , Petrochina, Wal-Mart Stores, General Electric, Microsoft, IBM, Nestlé, etc.. Cependant, même si tout le monde connait ce qu’est une

INTERMON – OXFAM VIOLENCE A L’EGARD DES FEMMES Etude Documentaire et Analyse des violences subies par les femmes au Tchad. Réalisée par Mme BAÏWONG DJIBERGUI AMANE Rosine Juriste, Consultante indépendante. REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier sincèrement toutes celles et tous ceux qui ont bien voulu collaborer avec nous, en nous permettant l’accès à leur documentation ou en répondant à nos questions pour la réussite de cette

NOTIONS D’INSTITUTIONS ET DE JUSTICE INTRODUCTION Nous allons dans la première partie de ce cours définir ce qu’il convient d’entendre par « institutions judiciaires » (Chapitre 1) avant d’aborder le principe du monopole de la justice confié à l’Etat qui souffre de quelques atténuations (Chapitre 2) pour enfin évoquer les modes alternatifs de résolution des conflits (Chapitre 3). CHAPITRE 1. Définition des institutions judiciaires Avant d’exposer les principes généraux de fonctionnement

c’est le droit appliqué ou relatif à la constitution et aux institutions politiques. Le droit, dans le langage juridique : - Un individu à des droits : un droit subjectif, on l’applique à un sujet, on le définit par rapport à celui qui exerce une aptitude juridique. (ex du droit de vote) - C’est le sens du terme lorsque l’on parle de droit français, droit civil, droit constitutionnel, un ensemble de lois, de normes juridiques qui est cohérent parce qu’il a un même élément de définition. Cette définition

nous dit le dictionnaire Littré. Pourtant si la force est inhérente à la violence , toute force n’est pas violente. Il n’est pas aisé de définir la violence. Où commence-t-elle ? En quoi est-elle différente de l’agressivité et de la destructivité ? Est alors susceptible d’être ressentie comme violente toute force qui agit le sujet. Celui-ci se retrouve de ce fait en situation d’être passivisé, emporté et dépossédé de lui-même par cette force. Ce peut être une force venue de l’extérieur ou de l’intérieur

Droit de la famille : Introduction : Famille : c’est un mode d’organisation en société. C’est un phénomène social, un regroupement social que par définition le droit ne peut pas négligé. La famille a deux aspects : C’est une réalité sociale connue et vécue par chacun d’entre nous. C’est une réalité juridique qui est organisée par le droit. I/ la famille : une réalité sociale. La famille est un phénomène naturel, constant dans toutes les sociétés quelque soit le nom qu’on peut utiliser, on peut

politique recherche a fournir une analyse savante du politique. Si la s.p est contemporaine, elle s’appuie notamment et surtout sur des grands penseurs classiques de philosophie politique (notion de pouvoir). Des précurseurs célèbres 1) Les prémisses d’une démarche scientifique : Aristote (élève de Platon, ami de Socrate) accordait une importance essentielle à la politique. Pour lui, l’homme est un animal politique qui ne se réalise pleinement que parce qu’il appartient à la polise (cité)