La Mort aux trousses

semble un prologue à une pièce « théâtrale » (décor, action, perso..) = effet d’attente de spectacle différé. Pourtant on voit apparaitre des petites intrigues, des anecdotes : le divorce du frère l.21-23 ; le prêche de 7 minutes ; l’apparition des trous dans la route l.62-89. = ces éléments annoncés seront développés dans la suite de la pièce (le divorce clôture la pièce). Pourtant l’écriture reste déroutante. C ) une présentation déroutante. Au contraire de la tradition « in medias res », ici

« tranquille », qui n’annonce pas encore la mort. Il s’agit un isolement malheureux, les « deux trous rouges » semblent faire partie de son corps déjà froid. En relisant le poème, nous remarquons des traces qui prédisent la mort avant la chute brutale. En premier lieu, il y a des ambivalences des mots. Nous faisons souvent une analogie entre le sommeil et la mort, et ce sommeil continu prépare la chute finale. Le symbole « lit » signifie à la fois le sommeil et la mort. Deuxièmement, on voit des indices d’abandon

révolté contre la guerre dans certains de ces 1ers poèmes : « Le Mal », « Les Corbeaux », « Le Dormeur du val »). Ce dernier poème publié en 1888, ne recourt pas au ton de l’indignation, le poète feint de découvrir avec le lecteur le spectacle de la mort. Si ce poème reprend la forme classique du sonnet, le thème choisi, le ton adopté et quelques audaces sur la forme, annoncent déjà la poésie moderne. I) Un paysage idyllique Quel est le cadre de ce poème ? Qu’est-ce qui caractérise cette nature 

ne peut pas le réchauffer. Il sourit comme un enfant affaiblit. • Quatrième strophe : La tournure devient inquiétante, il ne respire plus et on comprend qu’il est mort lorsqu’on lit le vers suivant: il a deux trous rouges au côté droit. Question 3: Quel est le sens général du poème? • Le sens général du poème : Un jeune soldat est mort durant la guerre. Autour de lui, il n’y a que la nature. On comprend l’horreur de la guerre dans le poème. Il n’est pas question directement de la guerre, mais on

soldat est mort. La répétition de la sonorité [ou] (trous rouges), les allitérations en [d], [t], [r] (tranquille, deux trous rouges, droit), la succession de mots monosyllabiques traduisent la violence et la brutalité du double coup de feu. De plus la triple répétition du verbe dormir placé en position de rejet au vers 7, est ainsi mis en valeur et donne l’impression d’un sommeil éternel pour le soldat. A la seconde lecture, on se rend compte que certains termes peuvent évoquer la mort et non le

sondé le fond de tes abîmes; O mer, nul ne connaît tes richesses intimes, Tant vous êtes jaloux de garder vos secrets! Et cependant voilà des siècles innombrables Que vous vous combattez sans pitié ni remords, Tellement vous aimez le carnage et la mort, O lutteurs éternels, O frères implacables! Charles Baudelaire J’ai choisi ce poème car il y a une musicalité grâce a une personnification de la mer au même plan que l'homme et grâce au Rîmes embrassées. L’homme et la mer partagent des sentiments

glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Le poème que nous allons analyser est « Le Dormeur du Val » de Arthur Rimbaud, écrit en octobre 1870. Rimbaud appartenait au mouvement symboliste. Notre analyse se fera en trois étape : la description, la compréhension et l’interprétation

Question de corpus -Victor Hugo "La mort de Gavroche" -Victor Hugo "Souvenir de la nuit du 4" Le corpus propose 2 textes de célèbre écrivain Victor Hugo: l'un extrait du recueil de poésie "Les Chatiments" ; l'autre extrait du roman "Les Miserables". Les 2 extraits mettent en scène la mort d'enfants innocents pour mettre en valeur la cruauté imbécile et aveugle issue de la guerre civile. Le registre tragique dans cette mise en scène, symbolique de la violence vient servir l'efficacité persuasive

sous C'est d' la plaisance, c'est le pied [Refrain] C'est pas l'homme qui prend la mer C'est la mer qui prend l'homme Mais elle prend pas la femme Qui préfère la campagne La mienne m'attend au port Au bout de la jetée L'horizon est bien mort Dans ses yeux délavés Assise sur une bitte D'amarrage, elle pleure Son homme qui la quitte La mer c'est son malheur [Refrain] C'est pas l'homme qui prend la mer C'est la mer qui prends l'homme Moi la mer elle m'a pris Comme on prend un

Voyage au bout de la nuit : La mort de Robinson Etude du style célinien I « L’émotion du parlé à travers l’écrit » : une fausse oralité A Les marques de l’oralité 1) Vocabulaire a) simplicité pour dire la mort («  c’était une affaire où tout était nouveau » (l. 10), « il s’en allait », euphémisme, l.11), la compassion (« la grande idée humaine », l. 24), les derniers mots du mourant (« des choses », l. 37) b) registre familier : « crever (l. 25 ; 28 ; 30), sale pilule (l.15), vacherie