La Mort aux trousses

Vampire des Origine.. A leurs connaissance. Mais aujourd’hui les dangers ressurgissent, le passé la rattrape. Elle frôle la mort dans un accident de voiture, provoqué par Solomon. Puissant Vampire des Origines doté du pouvoir d’invisibilité mais elle est sauver par un chasseur de Vampire qui a toute une troupe pour les aidés au bonheur de Meredithe , Solomon s’est lancé à ses trousses pour la détruire une fois pour toutes… Damon, quant à lui, continue de sillonner l’Europe au bras de Katherine. Mais leur

dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme:Nature, berce-le chaudement: il a froid. Les parfums ne font plus frissonner sa narine;Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrineTranquille. Il a deux trous rouges au coté droit. Arthur Rimbaud Annonce des axes      Après avoir montré comment le poète nous dépeint la nature puis l'homme, nous verrons l'interaction réunissant les aspects contradictoires du poème. Etude I - La Nature     La

somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner sa narine ; Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. Champ lexical de la nature Lexique évoquant la mort Arthur Rimbaud    Arthur Rimbaud (1854-1891) est un poète français, mort à l’âge de 37 ans. Il écrit ses premiers poèmes à 15 ans et ses derniers à 20 ans. Il renonce à l’écriture pour se consacrer à une vie aventureuse qui l’emmène au Yémen et

intensifie l'impression de confort ; vers 8 " un lit vert", la nature lui a construit un lit.     Si on regarde d'un peu plus près, nous voyons qu'il paraît mort : vers 14 "deux trous rouges sur le côté droit», allitérations en "r".     À partir de ce moment nous basculons dans l'horreur, dénouement très brutal. III - Aspects contradictoires La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie l'agitation de la rivière. Nous avons

ŒDIPE- Tu t'es fait mal? JOCASTE- Non... non... Elle recule, regarde les pieds d'Œdipe, comme une folle. ŒDIPE- Ah! mes cicatrices... Je ne les croyais pas si laides. Ma pauvre chérie, tu as eu peur? JOCASTE- Ces trous... d'où viennent-ils?... Ils ne peuvent témoigner que de blessures si graves... ŒDIPE- Blessures de chasse, paraît-il. J'étais dans les bois; ma nourrice me portait. Soudain un sanglier débouche d'un massif et la charge. Elle a perdu la tête, m'a lâché. Je suis tombé, et un

les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement : il a froid. Les parfums ne font pas frissonner se narine ; Il dort dans le soleil, la main sur la poitrine Tranquille. Il a deux trous au côté droit. Arthur Rimbaud 1854/1891 Introduction      L'horreur de la guerre a inspiré de nombreux textes, l'un des plus célèbres par la sobriété de sa dénonciation est peut-être le sonnet Le Dormeur du Val d'Arthur Rimbaud. Lecture

qui évoque la mort du soldat. Le lecteur révise alors brutalement son interprétation du poème. Problématique : Comme, à travers l’évocation lyrique d’une nature idyllique, Arthur Rimbaud dénonce-t-il le caractère contre-nature de la guerre ?Plan du texte :I Dans les deux quatrains, le poète dépeint une nature idyllique au sein de la quelle il introduit une figure ambiguë, celle du soldat. II Dans les deux tercets, le poète produit une effet de surprise en annonçant brutalement la mort du soldat dans

tempérée du fait qu’il s’agit de couleurs froides et, le champ lexical de la maladie, « pâle », « lit », puis « malade » ou encore l’adjectif « froid » renforce ce malaise. Rimbaud emploie également un langage à double sens où le sommeil évoque la mort : "la nue" vient du latin nubes qui signifie "voile de tristesse" et les "glaïeuls", fleurs remarquables par la beauté de ses teintes, sont ici piétinés. Le jeu des couleurs dans le vers "Pâle dans son lit vert où la lumière pleut." est également porteur

allitérations en l et en r pour la pluie et la pelle qui creuse). Il lui semble bien dur de rassembler, d’utiliser, ce qu’il nomme "la pelle et les râteaux" (vers 6), c’est-à-dire les outils de sa force créatrice. Il se résigne comme au déclin de sa vie ("des trous grands comme des tombeaux"). L’automne est la période de dépérissement des forces créatrices du poète (la nature). c) Un élan d’espoir vers un nouveau printemps Cet élan d’espoir est transmis par "et qui sait". A l’image des fleurs qui renaissent

frissonner), avec des sifflements en « s » (frissonner, sa). Le « pas » est placé à l’hémistiche pour accentuer le fait que ses narines ne frissonnent pas. Les sons « ou » de « trous » et « rouges » font ouvrir la bouche lorsqu’on les prononce, tout comme dans « bouche ouverte » (2° quatrain). Dans « Tranquille, il a deux trous rouges au côté droit »., les consones utilisées sont « d » et « t », des dentales, sons dures et le « c » (sonore). Le soldat est décrit par métonymie, on ne le voit jamais