La Mort Dans Tous Les Matins Du Monde

Plan 1 A la recherche d'une méthode Une ambition, une folie 2-La fixation de vertiges Une alchimie créatrice "Larme" et "Bonne pensée du matin" 3-Une entreprise de folie Le plaisir des sommets "Ô saison, ô château" Alchimie du verbe est le deuxième volet du diptyque poétique intitulé Délires. Dans le premier Délire, le poète donne la parole à "un compagnon d'enfer" qui confesse ses fautes pour exorciser son vice. Dans le second Délire, "Alchimie du verbe" se présente comme la confession

«Le chef» de Dino Buzzati I INTRODUCTION 1) L'auteur Dino Buzzati ==> est né en octobre 1906 et est mort en janvier 1972. C'est donc un auteur du XXème siècle. ==> a écrit de nombreux romans et nouvelles ainsi que quelques pièces de théâtre. C'est l'oeuvre le désert des Tartares, paru en 1945, qui le rendit célèbre. 2) L'oeuvre C'est un recueil de nouvelles : les nuits difficiles. La nouvelle « le chef » se trouve dans une sous-partie appelé « les monstres modernes ». Il est paru

Bouffioux »,aisé il craint d'être dans la tranché et s'est essayé à plusieurs métiers, un peu simplet, cuisinier qui se sert de son rôle pour ne pas aller combattre , normand; Belin, dit « le petit Belin » ; Broucke, le « chtimi » qui fait rire tout le monde (yeux d'enfant); Sulphart(roux) et Lemoine, deux camarades qui ne se quittent jamais (adore contredire Sulphart) ; et Gilbert Demachy (sa femme couturière), un engagé volontaire qui dès son arrivée se lie d’amitié avec Jacques Larcher et va se révéler

inondent de mauvaises nouvelles. Que cela soit à la radio | |quand vous prenez votre petit-déjeuner, dans la journée lorsque vous lisez votre quotidien préféré, ou le soir au Télé-journal. | |Un journaliste a recensé 32 conflits armés dans le monde. Bientôt nous en aurons un trente-troisième avec l’Irak. L’humanité | |connaît la pauvreté, des pays sont confrontés à la famine, on assiste régulièrement à des catastrophes écologiques et je ne vous | |parle pas des innombrables atteintes aux

morts dans Tous les matins du monde ? » PLAN et DISSERTATION REDIGEE PLAN : I La peinture est faite pour les morts C'est une offrande : un moyen de les retrouver C'est un moyen de se les remémorer Peindre ne se fait que sur fond d'absence II Elle est faite pour la vie : pour retrouver les choses, pour oublier le logos La peinture retrouve la vie brute et « insignifiante » 2) La peinture comme appel au désir La peinture comme alchimie III Elle est faite par la mort et s'adresse

peine de mort. Sa femme tombée victime d'assassinat veut la mort du présumé condamne Ron.--->Sharon Martin, journaliste se battant contre la peine de mort. Elle travaille avec Peterson. Ils sont amis même s'ils défendent des thèses différentes.--->Neil, fils de Peterson et de sa femme décédée Nina, et victime d'enlèvement avec la journaliste Sharon Martin. Il s'agit d'un enfant énigmatique.--->Ronald Thompson, age de 19 ans présumé de l'assassinat de Nina, Peterson veut sa mort a la chaise

d'un texte électronique provenant de la Bibliothèque Nationale de France : http://www.bnf.fr/ Le père Goriot 4 Le père Goriot Le père Goriot 5 Le père Goriot • I. Une pension bourgeoise • II. L'entrée dans le monde • III. Trompe−la−mort • IV. La mort du père Au grand et illustre Geoffroy Saint−Hilaire Comme un témoignage d'admiration de ses travaux et de son génie. DE BALZAC. Le père Goriot 6 Le père Goriot I. Une pension bourgeoise Madame Vauquer, née de Conflans

pour des revues, travaille sur un pétrolier et séjourne en France pendant trois ans. De plus il écriera des poèmes et des pièces de théâtre. En 1979, il essaye de faire publier son roman Fausse Balle sous le pseudonyme de Paul Benjamin. Après la mort de son père, il arrive à publier L’Invention de la solitude. Puis l’Art de la faim est publié en 1982 et Espaces blancs en 1985. Il enchaîne après les publications avec quatre livres. Sa notoriété est de plus en plus importante. De 1986 à 1994,

Albert Camus, L'étranger (1942) La mort de la mère Meursault, le narrateur, apprend la mort de sa mère avec une apparente indifférence. Il prend congé de son travail, à Alger, pour se rendre à « l’asile de vieillards » (p. 9) où elle vivait. Là, il veille sur sa dépouille toute une nuit, en compagnie des autres pensionnaires de l’asile, trompant l’ennui en fumant des cigarettes et en buvant du café au lait. Le lendemain, il accompagne le cortège funèbre qui serpente dans la campagne algérienne

croyances déterminées. Chaque société exprimait dans ses mythes des sentiments fondamentaux tels que l’amour, la haine ou la vengeance. Le mythe servait à donner des explications à des phénomènes incompréhensibles, comme par exemple, la création du monde, le sens de l’éxistence, ou les origines de la vie ; c’est pourquoi ils se ressemblaient. Le mythe signifiait autre chose que l’histoire qui y était racontée. C’était une histoire sacrée. Il devait être transmis de génération en génération : il contenait