La Mort De Gavroche Analyse

de l’histoire dans Les Misérables Claude HABIB – « Autant en emporte le ventre ! » Yves GOHIN – Une histoire qui date Josette ACHER – L’anankè des lois Nicole SAVY – Cosette : un personnage qui n’existe pas Jacques SEEBACHER – Le tombeau de Gavroche ou Magnitudo parvuli France VERNIER – Les Misérables : un texte intraitable Anne UBERSFELD – Les Misérables, théâtre – roman Guy ROSA – Réalisme et irréalisme des Misérables Jean GAUDON – Illustration / lecture PHILOSOPHIE(S) : COMMENCEMENT

(1815) et les émeutes de juin1832. On y suit , pendant cinq tomes, la vie de Jean Valjean, du retour dubagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certainsvont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère dece siècle, misérables eux-même ou proches de la misère : Fantine, Cosette,Marius, mais aussi les Thénardier (dont Eponine et Gavroche) ainsi que lereprésentant de la loi Javert. Tome I : Fantine Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de

engagés spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée   quipés avec des armes récupérés sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - celui de gauche : main crispée sur pavé, ongles sales, regard dilaté             [3] l'homme au béret  - tablier et pantalon de manufacturier/ouvrier - sorte de cocarde en plume bleu blanc rouge      

XVII ème au XX ème siècle SEQUENCE 1: LA MORT DES ENFANTS Texte étudié (lecture analytique): 1) Victor Hugo, Les Misérables, (1862) La Mort de Gavroche De: "Le spectacle était épouvantable et charmant" à "cette petite grande âme venait de s'envoler". Textes complémentaires: 1) Jules Vallès, L'enfant (1879), La mort de Louisette 2) Albert Camus, La Peste (1947), La mort du fils du juge Othon 3) Ahmadou Kourouma, Allah n'est pas obligé (2000), La mort de Kik SEQUENCE 2: OEUVRE COMPLÈTE: LA

du XVII ème au XX ème siècle SEQUENCE 1: LA MORT DES ENFANTS Texte étudié (lecture analytique): 1) Victor Hugo, Les Misérables, (1862) La Mort de Gavroche De: "Le spectacle était épouvantable et charmant" à "cette petite grande âme venait de s'envoler". Textes complémentaires: 1) Jules Vallès, L'enfant (1879), La mort de Louisette 2) Albert Camus, La Peste (1947), La mort du fils du juge Othon 3) Ahmadou Kourouma, Allah n'est pas obligé (2000), La mort de Kik SEQUENCE 2: OEUVRE COMPLÈTE: LA VIE DEVANT

où elle fut l'une des œuvres les plus fréquentées. II. Biographie I. Frise II. Complete Il naît à Saint-Maurice, près de Paris, en 1798, mais passe une partie de son enfance à Marseille où son père est Préfet d'Empire. a sa mort, la famile Delacroix se fixe à Paris, et le jeune Eugène entre en 1816 dans l'atelier de Guérin. Il copie les maîtres classiques au Louvre, fait la connaissance de Géricault qu'il admire profondément et qui le prend comme modèle pour un naufragé de

réaliste Influence du picaresque espagnole → Gil Blas de Santillanne de Lesage (1735) : le héros part sur les chemins à la recherche de la réussite et connaît de nombreuses aventures. → Le paysan paveur et La vie de Marianne de Marivaux : analyse des sentiments et comportements et la façon comment laquelle les personnages arrivent à faire leurs places dans la société. (Note sur ce texte : Marianne, jeune fille belle et intelligente mais orpheline qui affronte des obstacles pour avoir un statut

- engagés spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée - équipés avec des armes récupérés sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - celui de gauche : main crispée sur pavé, ongles sales, regard dilaté [3] l'homme au béret  - tablier et pantalon de manufacturier/ouvrier - sorte de cocarde en plume bleu blanc rouge [4] l'homme au haut de forme à genou

aventure. Il revêtit le haubert* et le heaume* d’acier bruni. Les barons pleuraient de pitié sur le preux* et de honte sur eux-mêmes. « Ah ! Tristan, se disaient-ils, hardi baron, belle jeunesse, que n’ai-je, plutôt que toi, entrepris cette bataille ! Ma mort jetterait un moindre deuil sur cette terre !… » Les cloches sonnent, et tous, ceux de la baronnie et ceux de la gent menue, vieillards, enfants et femmes, pleurant et priant, escortent Tristan jusqu’au rivage. Ils espéraient encore, car l’espérance

(Victor Hugo s’inspirera même du jeune garçon à droite de la femme pour son personnage de Gavroche que l’on découvrira dans Les Misérables trente ans plus tard) - engagés spontanément dans les combats - symboles de l'avenir - symboles de la jeunesse révoltée - équipés avec des armes récupérées sur les morts - celui de droite qui de guerre à la bouche : Inspiration de V. Hugo pour futur personnage de gavroche dans Misérables ? - A ses pieds, sur sa droite, un homme vêtu d’un pantalon noir, d’une ceinture