La Mort De Gervaise

réfugie dans les cafés et les salles de jeu. Il sombre alors et devient le personnage typique, acculé de dette, malchanceux au jeu, alcoolique, trompé par sa femme, violent. Jacques Lantier : C’est le personage principal du roman. Il est le fils de Gervaise Macquart mais est confié jeune à sa tante Phasie. Il aime son métier qui est celui de mécanicien. Cependant, malgré une apparence saine et robuste, il souffre depuis sa jeunesse de troubles inquiétants et d'une folie héréditaire. Il fuit les femmes

avril 1840 et mort a Paris le 29 septembre 1902. Il appartient au mouvement littéraire du Naturalisme. Il a joué un grand rôle dans la révision du procès d'Alfred Dreyfu. Germinal : Germinal est un roman d'Émile Zola publié en 1885.  L'action se déroule dans le bassin houiller du nord de la France, lors d'une grève provoquée par la réduction des salaires. Le roman est en même temps une histoire d'amour à la fin tragique. Resumer : Le héros est Étienne Lantier, fils de Gervaise Macquart et d'Auguste

d’enquêtes et de l’Assommoir, tous deux écrit par Zola. Nous allons essayer d’en analyser les ressemblances et les différences. Tout d’abord, une parution postérieur du texte 1 en 1986, car les Carnets d’enquêtes ont pu être lus et publié après la mort de Zola. De plus, le texte 1 est écrit comme une prise de note d’un lieu, avec des description, des informations en désordre sous forme d’ énumération « la porte au milieu, immense, ronde » à la ligne 6, avec un registre de langue courant «  la

évoluant par rapport au milieu dans lequel ils vivent. Zola crée des situations qui lui permettent d’exprimer ses observations scientifiques. Par exemple, il construit des exemples de l’aliénation mentale, de l’hérédité naturelle. Par exemple, Gervaise (L’Assommoir) a une fille, Nana (Nana), qui beaucoup de caractéristiques communes avec elle. Emile Zola, le maître du mouvement naturaliste Emile Zola, né à Paris en 1840, il grandit à Aix-en-Provence puis repart à Paris. Il échoue à l’examen

qui meurt à douze ans d’une malformation ; il peint cet enfant mort, est accepté au Salon mais méprisé, renié par ses amis et se considérant comme un peintre raté, il se suicide. Titre : Le titre montre un absolu, l’idéal auquel aspire Claude. L’œuvre est ce qu’il aurait voulu créer, une perfection comme Christine dans Plein Air, mais sur un tableau entier. N’y parvenant pas, il se suicidera. Personnages : Claude : Fils de Gervaise Macquart, c’est un « garçon maigre, aux articulations noueuses

comparé au héros du roman. Le lecteur veut être ému par les personnages comme si que les émotions de personnages du roman étaient ressenti chez le lecteur, ceci se fait grâce au registre pathétique qui amène à croire au personnage comme par exemple Mort de Gavroche ou Cosette dans les Misérables de Hugo ou certains passages de Zola. Mais aussi le lecteur peut croire au personnage sans pour autant être ému ou s’identifier à lui par la réalité en elle même, exemple: Bel Ami de Maupassant, le Personnage

Français note sur le texte «  La mort de Gervaise. » Termes techniques | Appuis | Interprétation | Pistes de lectures | Antiphrase Comparaison Champ lexical Registre familier | - « niche » - « on ne l'avait pas vu depuis deux jours » - « pour l'emballer » - « encore joliment soûl » - « Gai comme un pinson » - « Soin paternel » - « Tendresse » - « En v'la » ; « Va t'es heureuse » | - Animalisation -Indifférence des autres envers G. -Comparer a un objet

La mort est liée au désir (l.44-45) III. Roubaud, une bête humaine -Roubaud se comporte comme une bête (l.5, 31, 33,34) --> métaphore filée - Il devient très vulgaire, bestial (l.13, l.39 (« garce »)) -il utilise quatre fois « crever » (l.46) -Roubaud se comporte comme une bête mais il garde des caractéristiques de l’être humain car il résonne et délibère. -Comme Jacques il est prêt à étrangler la femme avec qui il se trouve -confusion entre le désir et la mort -Jacques confond désir et mort et

l’assommoir de Zola , où Gervaise évolue dans un monde ouvrier où la misère et l’alcoolisme règnent , Zola utilise un langage familier pour introduire le lecteur dans cet univers : « Vous êtes joliment pincée, dit virginie, ou avez-vous empoigné sa ? » , « Et sa m’amuse de me crever moi ! ». Depuis toujours , la langue verte et le langage familier font partis des ressorts comique , Rabelais l’avait bien compris lorsqu’il a écrit Pantagruel , chapitre 3 , Du deuil qui mena Gargantua a la mort de sa femme Badebec

l'Assommoir. Je donne encore cette citation, qui me parait tout à fait intéressante : « Sur les premières feuilles, il y avait une esquisse des personnages : des données sur la personne, le tempérament, le caractère. J'y trouvai le plan du caractère de Gervaise, de Coupeau, de maman Coupeau, des Lorilleux, des Boche, de Goujet, de madame Lerat ; ils y étaient tous! On eût dit des notes d'un registre de questure, écrites en langage laconique et très libre, comme celui du roman, et entremêlés de raisonnements