La Mort De Gervaise

actes sont héroïques et qu'il est un modèle 1) Un personnage ambitieux 2) Un personnage qui accompli une quête 3) Un personnage courageux, prêt à tout III.Dans la mesure où ils sont la peinture des êtres humains 1) La peur 2) La solitude 3) La mort 4) L’avarice Conclusion Le roman, sous la forme que nous connaissons, existe depuis le XIIème siècle. Il se distingue du conte ou de l’épopée par sa lecture individuelle et non orale. Le personnage principal du roman s’oppose au héros antique

campagne publicitaire. A partir de là, les succès de librairie de Zola ont été considérables. En 1891, 50 000 exemplaires de L'Argent furent vendus en quelques jours: c'était le moment où, dans la presse et dans les revues, il n'était question que de la mort du roman naturaliste. En 1902, Nana avait été tirée à 193000 exemplaires, La Débâcle, à 200000, L'Assommoir, à 142000, Germinal et Le Rêve à 110000. Si l'on écrivait un jour une sociologie du roman, il faudrait méditer ces chiffres.    Les ennemis

épidictique de l'éloge. : « grande était la beauté »-> antéposition qui met en valeur la beauté « si »superlatif mélioratif Conclusion : Texte N2 : Pierre de Ronsard ( 1524-1585) Comme on voit sur la branche... (1578) Sonnet sur la mort de marie écrit en 1578. → Poésie de commande s'inscrit dans la tradition de la renaissance. Auteur de la pléiade : défense et illustration de la langue française → émancipation de la langue fr → reprise des anciennes formes et thèmes poétiques

neuvième épisode des « Rougon-Macquart » et raconte l’histoire d’Anna Coupeau, dit Nana, une jeune fille de 18 ans ayant des problèmes d’alcoolisme, comédienne sans talent, ayant plusieurs amants qu’elle n’a pas de scrupule à dépouiller et fille de Gervaise Lantier et de Coupeau. Avec « les Rougon-macquart », Zola a voulu, en s’inspirant et en se démarquant de « la comédie humaine » de Balzac, retracer la vie naturelle et sociale d’une famille sous le second empire. Pour cela, Zola fit de nombreuses

prisaient le ‎plus, peut-être nous échappe-t-il ; ce qu'ils regardaient ‎à peine nous touche quelquefois étrangement."‎ Le changement est-il signe de la mort progressive de l'oeuvre ou au contraire signe de renouveau, de ‎résurrection ?‎ Extrait du document: Sans doute la littérature a-t-elle une vie, c'est-à-dire une naissance et une mort, un début et une ‎fin. Sans doute cette vie se développe-t-elle différemment entre ces deux pôles selon l'époque ‎dans laquelle elle est prise, les conjectures

nouvelles théories médicales qui posent la question de l’hérédité. Ainsi, par exemple, l’alcoolisme et la folie se transmettraient par filiation. Par la suite, Emile Zola exploitera ces théories avec le cycle des Rougon-Macquart (dans l’Assommoir, Gervaise finira alcoolique comme sa mère). Thérèse Raquin, troisième roman d’Emile Zola, raconte l’histoire de Thérèse, orpheline d’un père militaire et recueilli par la sœur de ce dernier, Madame Raquin. Thérèse finit par se marier avec son cousin

celui de la mort dont l'idée est évoquée soit de façon directe (« bêtes massacrées », cris d'assassinés », « ventre troué de coups de couteau ») soit de façon indirecte (« abattoirs », « tabliers sanglants »). Le personnage, cette fois, est dévoré d'inquiétude et Zola nous fait sentir cette inquiétude par l'évocation de la mort avant de la formuler explicitement (« avec la peur de découvrir le corps de Lantier ») puis d'en détailler les effets par une description du comportement de Gervaise (« elle se

monde moderne au XIX. - La passion apporte le bonheur même si elle est coupable Ex : Lantier tue Chaval dans Germinal b) La passion donne de la beauté à l’œuvre. - Les scènes de rencontre : Le Rouge et le Noir - Les scènes de mort : Goriot dans Le Père Goriot, Gervaise dans L’Assommoir - Les scènes d’ambition : Rastignac surplombant Paris et la défiant dans Le Père Goriot c) La passion fait exister le héros. - Le héros romanesque est exceptionnel, il vit des sentiments très forts, des passions

impossible d’analyser correctement le texte en les dissociant. Une tension entre ces deux pôles antagonistes existe indubitablement – le double titre reflète la dualité du texte et du projet d'Émile Zola, par exemple L’Assommoir ou la simple vie de Gervaise Macquart –, lire le texte en l’occultant serait le réduire. Il faut, par conséquent, pour aborder la spécificité du texte zolien une clef adéquate : cette clef prend la forme du concept de "réalisme symbolique" qui, sous forme d’oxymore, intègre

enfant (…) était une grande créature, mince, pâle, aux regards effarés, d’une singularité d’allures qu’on put prendre pour de la sauvagerie tant qu’elle resta petite fille. Mais en grandissant, elle devint plus bizarre encore (…) » . Son père étant mort fou, elle est rapidement considérée comme atteinte psychologiquement elle aussi. Son mariage avec un garçon de ferme alors qu’elle est une héritière aisée aggrave encore la mauvaise opinion que les gens s’en font. On se rend d’ailleurs rapidement compte