La Mort Des Pauvres Baudelaire

Prévert “Les feuilles mortes “ , Soleil de nuit (1980) p.7 - Paul verlaine “Nevermore ”, Poèmes saturniens (1866) p.9 - Paul verlaine “Colloque sentimental”, Fêtes galantes (1869) p.10 - Charles Baudelaire “J'aime le souvenir de ces époques nues”, les Fleurs du mal (1857) p.11 - Charles Baudelaire “J'ai plus de souvenirs

les plus grands penseurs de la bourgeoisie = corneille, racine, Rousseau ≠Chateaubriand et Rochefoucauld 3classes sociales : Aristocraties (terre dépense), Nobles, Classe bourgeoisie (pouvoir économique, argent) Milieu XVIIIe siècle : aristocratie pauvre => emprunt argent des bourgeois. Pouvoir politique domine par Aristocratie (terres) dépend du pouvoir économique domine par bourgeoisie. Aristocratie dépend de la bourgeoisie. XVIIIe siècle a un moment donne, aristocratie n’a plus d’argent. XIXe siècleaprèsXVIIIe

– adverbe : certainement)- temps -adjectifs Termes affectifs : sentiments de l’énonciateur Termes évaluatifs : opinions – termes mélioratifs ou péjoratifs - Dénotations /Connotations : Sens premier et second d’un mot (ex : rouge connotation : mort, violence) Etude rhétorique : Figure de styles : métaphores - comparaisons - personnification - allégorie (utilise perso / objet pour désigner idée) , antithèse (opposition de 2 idées), oxymore (rapprochement de 2 termes opposés : morts-vivants)

« mélangés » sont séparés et les pauvres se regroupent à l’est de Paris dans les quartiers non rénovés. On peut donc se poser une question morale sur la ville moderne qui est Paris et l’intérêt de ses travaux à réaliser quel qu’en soit le prix malgré des conditions humaines mise à l’écart. Était-il vraiment nécessaire d’effectuer ces grands travaux au point même de mettre toute la misère parisienne dans le même coin d’essayer de la cacher. Baudelaire effectue dans  les tableaux

pour nous permettre d'observer l’évolution de la représentation de la guerre dans les poèmes. Le premier poème que j'ai choisi est L'Homme et la mer de Charles Baudelaire, un poète français né en 1821 et mort en 1867. Certains de ses écrits sont à cette époque assez subversifs et ils attirent la colère des journalistes, Charles Baudelaire est d'ailleurs jugé pour son œuvre Les fleurs du mal en 1857 pour offense à la morale religieuse et publique. A la suite de ce procès, certains de ses poèmes sont

de Ville de Paris. Admirateur de Baudelaire, il se veut poète et, en août 1863, une revue publie son premier poème : Monsieur Prudhomme. Il collabore au premier Parnasse contemporain et publie en 1866 les Poèmes saturniens qui montrent l’influence de Baudelaire mais aussi une musique personnelle orientée vers « la Sensation rendue ». En 1869, paraît le petit recueil  Fêtes galantes, fantaisies inspirées par les toiles des peintres du 18 siècle du Louvre. La mort en couches en 1867 de sa chère cousine

Analyse du poème «LXXVIII.  Spleen » 1. Type de texte, auteur et époque : Poème de Baudelaire publié en 1857 dans « les fleurs du mal », ce première ouvrage fît l’objet d’un procès et a été réédité en 1867. 2. Disposition des vers, mesures et rimes : (Voir verso) Ce poème est composé de 5 quatrains en Alexandrin (12 syllabes), les rimes féminines et masculines sont croisées. 3. Situation évoquée : Le poème décrit une crise vécue par le poète. Ainsi, comme cet état d’esprit est

globale du poème : C’est un sonnet : deux quatrains et deux tercets. Les 4 strophes sont composées de vers en octosyllabes . Pour les deux quatrains : vers embrassés ( forme ABBA ) et de forme AAB –CCB pour les deux tercets. Ce sont des rimes pauvres ou suffisantes Registres élégiaque ( forme de poème avec l’évocation du sentiment amoureux, des regrets), lyrique et pathétique. Dans ce poème plusieurs éléments ressortent en particulier : ~V1 => 12 généralités sur la souffrance ( leçon de

Jean-Pierre Richard « italique » = citation de Baudelaire ‘ citation’ = citation de J-P Richard Création poétique : tentative pour posséder et pour humaniser le spirituel. L’exercice de l’imagination et les opérations du langage comblent l’étendue entre le poète et les choses, entre le poète et lui-même. « L’ivresse de l’art est plus apte que toute autre à voiler les terreurs du gouffre » Une mort héroïque. Similitudes entre Baudelaire et Poe : règne de l’incongru, du fantastique, image

artistique par excellence ? À commencer par Baudelaire, les « poètes maudits » considéraient le mal sous ses diverses formes comme l’objet artistique par excellence. N’est-ce pas le sens même des Fleurs du mal, dont les poèmes vénéneux illustrent la beauté de la laideur dans Une Charogne et du désespoir dans les Spleens, mettent en scène la mort dans La Mort des amants, des pauvres ou des artistes, et semblent exalter le vice dans les Femmes damnées ou les Litanies