La Morte Amoureuse La Beauté

triste, ce qui est le propre des natures affectueuses. Somme toute, pourtant, c'était quelque chose d'assez endormi et d'assez insignifiant, en apparence du moins, que Jean Valjean. Il avait perdu en très bas âge son père et sa mère. Sa mère était morte d'une fièvre de lait mal soignée. Son père, émondeur comme lui, s'était tué en tombant d'un arbre. Il n'était resté à Jean Valjean qu'une sœur plus âgée que lui, veuve, avec sept enfants filles et garçons. Cette sœur avait élevé Jean Valjean, et tant

pas adhérer. Charles Baudelaire, lui, était incompris par la société de son époque qui censura une partie des Fleurs du mal. En effet, sa vision de la mort, entre autre, choqua les mœurs du XIXème siècle : dans « La charogne » il fait de la mort une beauté « Et le ciel regardait cette carcasse superbe comme une fleur s’épanouir » ce qui une fois de plus l’isole du monde qui ne peut, dans la plupart des cas, comprendre cette vision plutôt macabre. Ainsi, les poètes sont des exilés du monde mais leur

des scènes les plus mythiques de la pièce : la fameuse scène dite du balcon. Les deux amants s’expriment tout d’abord chacun de leur côté.  Roméo aperçoit Juliette qui se tient, pensive à la fenêtre de son balcon. Roméo fait l’apologie de la grande beauté de la jeune fille. De son côté Juliette pense à voix haute. Elle s’adresse à Roméo sans même savoir que l’élu de son coeur se trouve dans le jardin et écoute chacune de ses pensées. Juliette est lucide. Elle se rend compte que sa situation est vouée

quelqu’un d’autre. Cette femme est obsédée par son image et à besoin d’un miroir à tout prix ! Inès, lesbienne, ne cesse d’observer Estelle mais celle-ci s’intéresse à Garcin. S’ensuivent alors plusieurs querelles. Estelle n’admet pas qu’elle soit morte, elle préfère utiliser le terme « absente ». Et elle admet encore moins le fait qu’elle soit en enfer. Inès : Je vois. (Un temps.) Pour qui jouez-vous la comédie? Nous sommes entre nous. Estelle, avec insolence : Entre nous? Inès: Entre assassins

très étrange. On dirait une femme qui sort d'un tombeau. Elle ressemble à une femme morte. On dirait qu'elle cherche des morts. LE JEUNE SYRIEN Elle a l'air très étrange. Elle ressemble à une petite princesse qui porte un voile jaune, et a des pieds d'argent. Elle ressemble à une princesse qui a des pieds comme des petites colombes blanches…On dirait qu'elle danse. LE PAGE D'HÉRODIAS Elle est comme une femme morte. Elle va très lentement. [Bruit dans la salle de festin.] PREMIER SOLDAT Quel vacarme

    amour, métaphore           ⤷ «faillir» (v.102) encore un jugement d’H sur Th           ⤷ opposition entre H et T comparaison H inférieure à T «par moi» / «comme lui» Obstacle du père            - Lancement de l’intrigue amoureuse Hippolyte est amoureux d’Aricie. «Nous» (v.106) Hippolyte + Aricie mais le problème c'est le père ⇨ Termes de la justice «lois» (v.107) «défend» (v.107)  - dernière vers métaphore végétale pour dire que T ne veut pas qu’Hippolyte ne

yeux ! Je levai par hasard ma tête, que j ’avais jusque-là tenue inclinée, et j’aperçus devant moi, si près que j’aurais pu la toucher, quoique en réalité elle fût à une assez grande distance et de l’autre côté de la balustrade, une jeune femme d’une beauté rare et vêtue avec une magnificence royale. Ce fut comme si des écailles me tombaient des prunelles. J’éprouvai la sensation d’un aveugle qui recouvrerait subitement la vue. L’évêque, si rayonnant tout à l’heure, s’éteignit tout à coup, les cierges

(koets). Là où la vieille femme était morte, il y était un lac ou le pasteur avait patiné quand il était petit. Il n’avait pas été là pendant 15 ans. Ils doivent passer le lac et ils vont dans le bois. Derrière un coteau (heuveltje) il voit une chaumière (hut). Là était la femme morte. Le pasteur attache le cheval et rejoint le jeune fille dans la chaumière où la femme morté était. La petite fille qui avait emmené le pasteur n’était pas la petite-fille de la femme morte mais sa servante, elle n’a pas parlé

le décès de Pauline et réalise, se glissant à son chevet, qu'il ne s'agit pas d'elle, mais d'une autre femme, inconnue. À la nuit tombée, il se rend à l'abbaye où, par de sombres couloirs, il parvient à un cachot où il retrouve Pauline, presque morte... Il la sauve et s'enfuit avec elle en Angleterre, où il prend soin d'elle comme un frère. Ainsi passent quelques mois où Pauline tente de recouvrer sa santé. Un jour, Alfred reçoit une lettre de sa mère lui annonçant les fiançailles de sa sœur

l’autre (rapport sexuel) ou, dans une grande partie des romans libertins comme désir de l’esprit de l’autre (conquête), mais ce qui nous intéresse de focaliser est de montrer la représentation littéraire du désir passionnel dans le roman de la passion amoureuse. Sans doute l’Histoire du Chevalier des Grieux et de Manon Lescaut (1731) de l’Abbé Prévost et Pamela; or, virtue rewarded (1740) de Samuel Richardson sont tous les deux des romans de la passion, dans le sens que la passion du désir agit comme “moteur”