La Morte Amoureuse Ouverture

Analytique : I : Les mouvements de la passion et leur défense. Une lettre illustrant les mouvements de la passion et la défendant : deux moments dans la lettre qui font écho au moment d’euphorie et d’abattement caractéristiques de la passion amoureuse, reflet de deux philosophies de vie. A. Ecrire le trouble (avant l’amour) * Valmont cherche à impliquer la destinataire de la lettre. – Omniprésence d’un « je » à un « vous » – Les apostrophes (« Madame », répété trois fois) – L’utilisation de l’impératif

la vérité de la chaîne signifiante, de la loi fuyante qui préserve le signifié. Entre le langage en présence et l'investissement de l'expérience du sujet, s'établit l'entreprise d'écriture appelée à occuper le lieu de la béance, béance "comme ouverture vers tout désir12". Dès lors, s'annonce la pluralité irréductible du texte, de l'écriture qui impose son exigence dans la convocation du multiple, dans la transgression de l'unique, dans la traversée infinie et générale. La traversée des genres

évident à analyser. Que désire donc réellement la femme héroïne des romans de Colette ? Même si la figure féminine telle que la conçoit l’écrivain paraît souvent ambiguë, il semble que celle-ci soit double. La femme veut tout ; à la fois la dépendance amoureuse mais aussi une indépendance complète. En effet, si elle souhaite « posséder » l’homme et ressentir les sentiments de l’amour-passion, elle désire également plus que tout rester libre et redoute l’emprisonnement affectif qui entraîne la plupart du

les Muses qui les inspiraient, leur soufflaient les poèmes d’amour qui les rendaient célèbres. Mais ce sonnet de Ronsard, tiré du Second livre des Amours, publié en 1578, évoque la perte de sa bien-aimée, Marie, prématurément disparue. La Muse est morte : que devient alors la poésie ? Comment chanter la femme aimée trop tôt décédée ? La poésie n’est-elle pas un moyen de soulager la souffrance du poète ? Nous verrons d’abord comment Ronsard fait l’éloge de la femme aimée à travers une comparaison pleine

publique, de son nom, de l'argent de sa femme, son cynisme (il préfère être veuf que ridicule). L'ironie du narrateur sur la veulerie de M. de Rênal transparaît dans la périphrase qui désigne la femme de celui-ci : « cette femme qu'il eût voulu voir morte. » Le narrateur exprime aussi son mépris de M. de Rênal de façon explicite par la phrase : « L'exécution [d'un plan] demandait une force de caractère bien supérieure au peu que le pauvre homme en avait. » 9. Portrait de M. de Rênal. Le portrait qui

selon les catégories anglaises au « romance » plutôt qu’au « novel ». Le « novel » décrit des évènements réels de façon vraisemblable, alors que le « romance » laisse plus de place à l’imaginaire. Roman inclassable : à la fois un roman de relation amoureuse, un roman réaliste et un roman dit « noir » (gothique/frénétique) proche de la tragédie grecque (avec les thèmes de la fatalité, les thèmes oedipiens…), proche notamment du mythe. Roman familial : trouble de l’apparition d’un enfant bohémien à la

les qualités propres au texte étudié, en résumant très brièvement ce qui a été analysé dans le développement. b) L’« ouverture » sur d’autres textes Pour ce qui est de l’ouverture, on établira des rapports d’opposition ou de ressemblance avec d’autres textes, d’autres auteurs ou d’autres mouvements littéraires. Quand il s’agit d’un sujet de type bac, on fait une ouverture sur les autres textes du corpus. Comme l’introduction, elle est isolée du développement par deux lignes blanches.  Fiche

.....................................................................................99 La piété punie, la foi démentie : une impossible théologie ? ..............................103 CHAPITRE 4 – MELPOMÈNE ET VÉNUS : LA TRAGÉDIE DE LA PASSION AMOUREUSE.............107 Chants amoureux, chants tragiques.....................................................................109 Quand la parole cesse d’être performative : craintes et soupçons......................115 La victoire du pathos sur l’ethos

confite. Des kumquats Lacérer : mettre en lambeaux = déchirer Laconique : qui s’exprime en peu de mots = concis, bref Langueur : 1- mélancolie douce et rêveuse. Langueur amoureuse 2-manque d’activité ou d’énergie Languir : attendre avec impatience. Dépêche-toi tu nous fais languir Languissant : qui exprime la langueur amoureuse Lapalissade : affirmation évidente qui prête à rire (exemple : s’il est malade, c’est qu’il n’est pas en bonne santé). Dire des lapalissades Laquais : valet portant la

exprimée dans le texte car il s’agit de focalisation interne : les personnages réfléchissent peu sur leurs parents. Dans L’Assommoir, Gervaise, « la banban » explique sa boiterie par les conditions familiales : « sa mère, une grosse travailleuse, morte à la peine, qui avait servi de bête de somme au père Macquart pendant plus de vingt ans ... » « [. .. ] même si elle boitait un peu, elle tenait ça de la pauvre femme que le père Macquart rouait de coups » (11.43). Et son dégoût premier pour l’alcool